Spéculation immobilière

opérations qui reposent sur la pure spéculation en vue de réaliser un profit sont illicites (haram) et donc nulles en droit musulman. Ce principe ferme notamment aux investisseurs islamiques l’accès au marché des produits dérivés en tant que source de profit à titre principal et fait obstacle à ce que ces derniers participent à la négociation spéculative de titres de sociétés. Il existe cependant une nette distinction entre les opérations relevant de la pure spéculation et une activité certes spéculative

L’excès de spéculation boursière Évolution des dividendes : comme les entreprises font des bénéfices, elles rétribuent les actionnaires par des dividendes. Ces actionnaires investissent. Développement des crédits : les actionnaires contractent des crédits pour acheter des actions. La bulle spéculative : situation où les cours du marché s’éloignent de manière cumulative de leur valeur fondamentale (c’es à dire de leur valeur économique justifiée). Excès de crédit et de spéculation. Spéculation :

variations ne répondent pas toujours à une logique d’offre et de demande. L’augmentation actuelle du prix de l’essence n’est pas cohérente avec le ralentissement de la croissance lié à la crise. Il est à craindre qu’une logique financière de spéculation sur le cours du pétrole et surtout des matières premières agricoles (blé) nous amène vers une nouvelle crise. Certains marchés peuvent nécessiter une régulation initiée par l’Etat. L’avenir appartiendra-t-il aux pays qui réussiront les premiers

pas encore très présents sur la place par méconnaissance de l’univers boursier. a Bourse ! Un terme qui suscite bien souvent des réactions vives. Bien souvent acculé d’idées reçues et de connotations péjoratives, parce qu’en relation avec la spéculation, l’univers boursier reste un domaine bien méconnu -voire inconnu- des Marocains. En ces temps de crises mondiales, de nombreuses voix accusatrices s’élèvent et pointent du doigt les marchés financiers. Le colloque qui s’est tenu le 30 septembre

de reconstruction et de prospérité, soutenue par la hausse des profits des entreprises et par celle du cours des actions. Mais le système repose sur des bases fragiles, car le fonctionnement du capitalisme américain repose principalement sur la spéculation boursière (qui déconnecte les investisseurs de la réalité économique) et sur le crédit. Pour investir en Bourse, les ménages empruntent sans crainte. Ils comptent sur la hausse du cours des actions pour faire une plus-value en les revendant et rembourser

l’Internet et des communications (NTIC) promettent des bénéfices colossaux, en même temps que les innovations technologiques prolifèrent. La "quatrième révolution industrielle est en marche", avancent certains. 3) La phase d’euphorie, marquée par la spéculation, la surestimation des rendements, la montée de l’endettement. Les bulles spéculatives s’accompagnent d’une hausse des prix, des tx d’i et de la vitesse de circulation de la monnaie. En cause, une survalorisation des entreprises du secteur n’est

enclenchée … M Vers la crise de 1929 Les années 1920 marquent une période de forte croissance aux États-Unis. Entre 1921 et 1929, la production industrielle augmente de 50 %, et donc le « boom » boursier n'apparaît pas ex nihilo. Mais la spéculation aidant, si la hausse de la production est de 50 %,la hausse de la bourse est de 300 %…. L’élément spéculatif devient prépondérant à partir de 1928 . A partir de cette date , ce n’est plus la « santé réelle » de l’action,ni les dividendes qui

la crise Grecque : 1) La crise financière de 2007. 2) L’application de politiques néolibérales et l’absence d’ajustements budgétaires. 3) D’autres origines. II. Les conséquences de la crise grecque : 1) L’impact de la spéculation sur la dette grecque. 2) Le défaut de paiement de la Grèce. 3) L’impact de la crise grecque sur la construction européenne. III. Les solutions face à la crise grecque : 1) Le plan de sauvetage européen. 2) Les propositions

En 1927, la hausse des valeurs, liée à trois ans de spéculation, paraît excessive à bien des économistes. Mais le krach attendu (effondrement des cours de la Bourse par suite de ventes massives d’actions) surprend par sa soudaineté, sa violence et son ampleur. Le jeudi noir. Le jeudi 24 octobre 1929, 19 millions d’actions sont mises en vente à la Bourse de New York contre 4 millions d’ordinaire chaque jour, un tiers de ces actions ne trouve pas acquéreurs, les cours baissent de 10%, la chute

balance des paiements, * Une plus grande autonomie des politiques monétaires, * Et la formation de cours de change « vrais » permet par la non intervention des banques centrales. Sur ces quatre points, Milton Friedman prétendait même que la spéculation aurait un effet stabilisateur dans la mesure où les opérateurs vendent quand le cours est élevé et achètent quand il est bas, jouant ainsi un rôle d’équilibrage au juste prix. Trop souvent réduite à la seule tentative de stabilisation des cours