Spectaculaire Dom Juan

romaines. Qu'est ce que l'art français du 17ème siècle ? On l'a considéré comme classique et opposé au baroque, mais cet art a beaucoup emprunté à l 'art baroque romain. Le classicisme français n'est autre que du baroque assagi (plus symétrique). Don Juan justement est une pièce de l'époque classique mais qui n'est pas une pièce classique dans son esthétique. La règle des unités est mal menée, le sujet est d'origine espagnol, il a du sérieux mélangé à du comique . La place capitale du théâtre dans

sont exclues de la scène. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportées au spectateur sous forme de récits. Quelques exceptions comme le suicide de Phèdre, ou la folie d'Oreste dans Andromaque, chez Racine ou celle de Dom Juan chez Molière sont restées célèbres. Boileau la résume ainsi : "Ce qu'on ne doit point voir, qu'un récit nous l'expose : Les yeux en le voyant saisiront mieux la chose ; Mais il est des objets que l'art judicieux Doit offrir à l'oreille et reculer

» avec ces verbes au participe présent ou au gérondif à valeur durative qui soulignent son accablement, son effondrement. Il ne reste plus à Caligula qu'à mourir, à se laisser tuer !  II. Un dénouement tragique, spectaculaire et riche de sens 1. Une scène d'action spectaculaire L'arrivée quasi simultanée des conjurés et d'Hélicon arrache Caligula à sa réflexion. Les didascalies annoncent « des bruits d'armes et des chuchotements en coulisses » et le retour précipité du confident de Caligula

costumes, et maquillages Si Lorenzaccio est joué dans la rue, il se différencie du pur théâtre de rue en ce sens qu’il est avant tout un spectacle basé sur le texte, sur les mots qu’ils soient crus ou poétiques. Ce qui lui donne alors son côté « spectaculaire », c’est bien-sûr l’ampleur et la beauté des lieux utilisés, mais aussi la fantaisie et le relief portés par une musique (bande son) évocatrice, combinaison de chansons populaires et de mélodies originales. Ces quelques notes qui reviennent entre

spectateur, mais surtout le faire rire et réfléchir. On peut citer quelques uns de ses nombreux rôles principaux dans les œuvres qu’il a lui-même écrites : Arnolphe dans l’ Ecole des femmes , Sganarelle dans Dom Juan , Harpagan dans l’ Avare , Monsieur Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme ou encore Argan dans le Malade imaginaire . Cependant, autrefois le rôle d’acteur était

1661 dans celle du Palais-Royal. Consécration et contestation : celle des comédiens et auteurs rivaux, bien sûr, mais aussi celles des « beaux esprits » qui se sentent attaqués ( Les Précieuses Ridicules), des dévots (Tartuffe, Dom Juan). Succès public, amitiés solides de Boileau, de La Fontaine , protecteurs à la Cour, y compris le Roi. Les épreuves : malade, vie très agitée. Brouille avec le compositeur Lully, grand favori de la cour, l'a fait tomber dans

d’objets d’étude librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille

excelle également dans l’art du portrait, comme le prouvent ceux de Costanza Buonarelli (1635, Florence) et du Pape Innocent X (1647 Rome).Parmi les commandes publiques de l’époque du « plein-baroque », les fontaines romaines sont souvent les plus spectaculaires. La fontaine des Quatre-Fleuves (1648-1651), édifiée par le Bernin sur la place Navone à Rome, est l’une des plus célèbres. Commandée par le pape Innocent X, elle est organisée autour d’un obélisque tronqué, et présente quatre allégories. Le

prologue “cadre idyllique (= Qui est marqué par une entente parfaite, sans nuages : Amour idyllique ; Qui est merveilleux, idéal) avec des intermèdes variés. Surtout le prologue et les intermèdes musicaux sont les grands passages spectaculaires. D’autres passages sont spectaculaires, comme les scènes de théâtre dans le théâtre, ou les déguisements s’ajoutent aux costumes, ou les scènes de va-et-vient des médecins. 2) Molière reprend les motifs de la comédie pour divertir le publicEx 1 : le mariage

enfin la solitude éternelle que je désire » (périphrase de la mort) -       dans la scène : « bruit d’armes » pendant le soliloque, associé au « chuchotement  en coulisses » + miroir brisé = signe symbolique b)            Une mort dramatisée  (spectaculaire et rapide) - en deux temps accélérés : 1° entrée précipitée du fidèle Helicon surgissant au fond pour prévenir C en criant : « garde toi, Caïus » X2 -> dramatisation ; 2° entrée par toutes les issues + hurlement de C qui « fait face avec un