Sonnets Pour Hélène Conclusion

____________________________________________________________ _____________________ ‘’L'étoile a pleuré rose…’’ (1871) Poème Commentaire Dans la copie de Verlaine, ce quatrain sans titre se trouvait sur la même feuille que le sonnet des ‘’Voyelles’’ : il doit donc dater de la même époque. Il paraît compléter le sonnet ; il manifeste en tout cas le même colorisme. C'est, lui aussi, un « blason» du corps féminin, où chaque vers, construit toujours de la même façon, met en relief à la césure un adjectif de couleur. Ce poème

le démasquer. Après son exploit, il reprend l’apparence du bagnard (Jean Valjean) en toute humilité et modestie car «souffrance heureuse et céleste (l.45) : il s’est fait démasqué mais il l’a fait ce qu’il fallait (conscience tranquille). CONCLUSION Madeleine accède au statut de héros -> tension extrême et rédemption. ELARGISSEMENT (LECTURES COMPLEMENTAIRES) • « Episode du Petit-Gervais » des Misérables -Vol d’un innocent (Petit Gervais) -Les remords de Jean

_________________________________________________________________________________ ‘’L'étoile a pleuré rose…’’ (1871) Poème Commentaire Dans la copie de Verlaine, ce quatrain sans titre se trouvait sur la même feuille que le sonnet des ‘’Voyelles’’ : il doit donc dater de la même époque. Il paraît compléter le sonnet ; il manifeste en tout cas le même colorisme. C'est, lui aussi, un « blason» du corps féminin, où chaque vers, construit toujours de la même façon, met en relief à la césure un adjectif de couleur. Ce poème

____________________________________________________________ _____________________ ‘’L'étoile a pleuré rose…’’ (1871) Poème Commentaire Dans la copie de Verlaine, ce quatrain sans titre se trouvait sur la même feuille que le sonnet des ‘’Voyelles’’ : il doit donc dater de la même époque. Il paraît compléter le sonnet ; il manifeste en tout cas le même colorisme. C'est, lui aussi, un « blason» du corps féminin, où chaque vers, construit toujours de la même façon, met en relief à la césure un adjectif de couleur. Ce poème

frères humains » […] Elles n'ont pas d'état civil, ne peuvent attester de l'identité de l'auteur, c'est comme si elles se composaient d'elles même, par je ne sais quelle magie du verbe 1 1 BEN SOUSSAN, Patrick, BUSTARRET, Anne H., CAZALET, Marie-Hélène, [et al.]. 1,2,3 ...comptines ! pp. 18-19. 3/52 dumas-00639164, version 1 - 8 Nov 2011 Table des matières Remerciements.....................................................................................................................2 Introduction

de celui qui chanta dans les supplices » d’Aragon. Le sonnet : créé au XIV°s par l’italien Pétrarque, il est très fréquemment utilisé dans la poésie française à partir du XVI°s. Il se compose de deux quatrains (rimes embrassées) et de deux tercets. Le sonnet se divise généralement en deux parties : les quatrains forment une unité ; les tercets en forment une autre. Le derniers vers est appelé la « chute », il forme la conclusion du poème. Ex : « Le dormeur du val » de Rimbaud. La chanson

professeur agrégé, Académie de Grenoble BATY-DELALANDE, Hélène, professeur agrégé, Académie de Versailles BAZIN-TACCHELLA, Sylvie, professeur des universités, Académie de Nancy-Metz BELLON, Roger, professeur des universités, Académie de Grenoble BENZEKRI, Sylvie, professeur agrégé, Académie de Versailles BERTRAND, Olivier, maître de conférences, Académie de Grenoble BESNARDEAU, Wilfrid, professeur agrégé, Académie de Caen BIU, Hélène, maître de conférences, Académie de Paris BLANC-HALEVY,

mourir ; puis elle mourut en effet en 1824, et, son décès l’affectant grandement, il vint souvent lire sur sa tombe les vers qu’il avait composés pour elle (elle allait être la Lénore du ‘’Corbeau’’, et il parla de sa « chevelure d’hyacinthe » dans ‘’À Hélène’’), retrouvant dans son souvenir celui de sa mère morte. En 1848 encore, il parla d’elle comme “du seul et idolâtre amour, purement idéal, de sa jeunesse passionnée”. John Allan, s'éloignant progressivement de son épouse, qui était toujours malade

se met-il en place ? Comment ce monde prend-il fin ? Et après ? Chapitre I De la Grande Alliance au « Grand schisme » (R. Aron) Guerre Froide = « Guerre impossible, paix improbable » (selon le philosophe Raymond Aron). « Ni paix ni guerre » (Hélène Carrère d’Encausse, spécialiste de l’URSS). « Triomphe et tragédie » (Winston Churcill, à propos de la victoire de 1945). 1) L’URSS de Staline, principale vainqueur de la guerre Pour rebâtir un nouvel ordre mondial après la défaite

j’immortaliserai ma Laure. Soyez mon Ange gardien, ma Muse et ma Madone, conduisez-moi sur la route du Beau», lui écrivit-il. Il lui consacra un cycle de poèmes où se dessina la critique de sa froideur sinon de sa frigidité : ‘’Ciel brouillé’’, “Sonnet d'automne” («Ô ma froide Marguerite !...»). Endetté, il cherchait à gagner sa vie dans le journalisme, logeait ici et là, la plupart du temps chez sa maîtresse, Jeanne Duval. Une dernière «scène» avec Aupick, à la veille de son départ pour Constantinople