Solitude De Lorenzaccio

hitlérienne de 1945. Se détruire n’était rien pour les fous qui se préparaient dans des terriers une mort d’apothéose. L’essentiel était de ne pas se détruire seul et d’entraîner tout un monde avec soi. D’une certaine manière, l’homme qui se tue dans la solitude préserve encore une valeur puisque, apparemment, il ne se reconnaît pas de droits sur la vie des autres. La preuve en est qu’il n’utilise jamais, pour dominer autrui, la terrible force et la liberté que lui donne sa décision de mourir, tout suicide

répliques éclaire-t-il le propos ? Le même exercice est possible avec un poème de Keats. Demander aux élèves de choisir, parmi les poèmes de l’auteur anglais, un poème qui fait écho aux pensées et réflexions de Coelio dans la première scène (Hymn to solitude, Femme lorsque je te vois, La belle dame sans Mercy, Ode à un Rossignol, Ode sur la mélancolie, Brigth Star). Ce poème est lu et précédé ou suivi de répliques du personnage. RENCONTRE AVEC LES PERSONNAGES D’HIER Proposer aux élèves un jeu de questions-réponses

162) ; les deux soirées (page 77) ; David-Lucien ; Châtelet-Lucien (pages 80, 81 : l’escarmouche entre eux, pages 151-157) ; les deux appartements (page 153) ; le succès espéré et la pauvreté réelle (pages 179, 182) ; les joies de la famille et la solitude à Paris (page 183) ; la scène et les coulisses (page 264) ; les contrastes de la vie littéraire (page 269) ; la vie littéraire et l’imprimerie de David (page 270) ; l’amour des actrices et leur entourage (page 273) ; l’amour entre Camusot et Coralie

162) ; les deux soirées (page 77) ; David-Lucien ; Châtelet-Lucien (pages 80, 81 : l’escarmouche entre eux, pages 151-157) ; les deux appartements (page 153) ; le succès espéré et la pauvreté réelle (pages 179, 182) ; les joies de la famille et la solitude à Paris (page 183) ; la scène et les coulisses (page 264) ; les contrastes de la vie littéraire (page 269) ; la vie littéraire et l’imprimerie de David (page 270) ; l’amour des actrices et leur entourage (page 273) ; l’amour entre Camusot et Coralie

162) ; les deux soirées (page 77) ; David-Lucien ; Châtelet-Lucien (pages 80, 81 : l’escarmouche entre eux, pages 151-157) ; les deux appartements (page 153) ; le succès espéré et la pauvreté réelle (pages 179, 182) ; les joies de la famille et la solitude à Paris (page 183) ; la scène et les coulisses (page 264) ; les contrastes de la vie littéraire (page 269) ; la vie littéraire et l’imprimerie de David (page 270) ; l’amour des actrices et leur entourage (page 273) ; l’amour entre Camusot et Coralie

Renart n’a rien d’héroïque et demeure sauvage et instinctive : « l’aert parmi la gole ». Il n’y a donc même pas eu de combat, et le burlesque l’emporte sur l’héroïque. D’autres traits, en revanche, humanisent la scène, mais de façon suspecte : la solitude tragique du « héros » est soulignée par deux vers qui font se répondre à la rime les deux antonymes « ami » et « enemi » : « Renart n’i avoit nul ami, / Tuit li estoient enemi ». Quant à Grimbert, l’ami fidèle qui reproduit peut-être le modèle du

adolescence dans le château de Combourg. Un texte qui décrit son héros (inspiré de son propre personnage) tourmenté par un besoin du cœur, de l’âme, un élan vers l’infinie qui est avant tout une insatisfaction : une mélancolie romantique, un sentiment de solitude, sans parents, sans amis... Étroitement associé au décor romantique : l'automne, les orages, les forets etc... Public séduit par ces élans lyriques, il fera le modèle de toute une génération marquée par la mélancolie. Le triomphe du romantisme :

l’homme contenant étincelle divine.  Fragmentation de l’ordre, prise en compte du hasard. « L’ordre se fragmenta, la terre des signes et des promesses se retrouva la nature, la vie matière, le rapport de la personne à soi une énigme et le destin une solitude. C’est la faille que je disais, dont les tassements ultimes ne sont pas encore produits ». Y. Bonnefoy, « Readiness, ripeness ; Hamlet / Lear », p. 8. Bonnefoy dans « Readiness, ripeness : Hamlet et Lear » (préface à sa traduction des deux œuvres)

Comment se découpe une pièce de théâtre ? Je vais donner une œuvre théâtrale pour deux personnes. Dans ma besace, je vais leur apporter Othello, le roi Lear, Macbeth de Shakespeare, Le malade imaginaire, George Dandin, Amphitryon, L’avare de Molière, Lorenzaccio, On ne badine pas avec l’amour de Musset, Phèdre de Racine, Huis clos de Sartre, Les combustibles d’Amélie Nothomb, Pantagleize de Michel de Ghelderode. J’ai pris expressément des œuvres d’époques différentes pour qu’ils remarquent que le découpage

l'histoire des XVIe-XVIIe siècles et l'utilisation de la prose ou, pour Victor Hugo, de l'alexandrin libéré]. Les principales œuvres de cette période sont :Hernani (1830) et Ruy Blas (1838) de Victor Hugo, On ne badine pas avec l'amour (1834) et Lorenzaccio (1834 - non représenté) de Musset. L'histoire littéraire garde le souvenir de tentatives de renouvellement à la fin du siècle comme le Théâtre-Libre et le théâtre naturaliste et son regard sombre sur le monde contemporain (Henry Becque : Les Corbeaux -