Solide géométrique

Taux d'évolution, cours de Terminale STG F.Gaudon 7 novembre 2007 Table des matières 1 Évolutions 2 Évolutions successives 2.1 Taux global . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Taux moyen . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.1 Moyenne géométrique . . . . . . . . . 2.2.2 Application au calcul de taux moyens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 3 3 4 4 5 3 Indices de base 100 4 Approximations de taux faibles 5 6 1 1 Évolutions

Analyse Pour ce qui est de ce laboratoire porté sur la réfraction, le but était de déterminer l’indice de réfraction de l’acrylique si le tout provenait de l’air. Bref, pour déterminer l’indice de réfraction de l’acrylique, on a dû déterminer le sinus des angles d’incidence et de réfraction pour ensuite trouver le rapport de chaque paire d’angle. Selon notre hypothèse qui était que lorsqu’on aligne le rayon lumineux sur le trait tracé préalablement : le rayon lumineux frappera l'interface des deux

------------------------------------------------- Présentation du laboratoire Introduction Le but de se laboratoire sera de trouver expérimentalement l’indice de réfraction d’un prisme avec la réflexion totale interne. Résumé de la théorie On sait qu’un rayon lumineux est dévié lorsqu’il passe d’un milieu à l’autre lorsque ceux-ci ont une réfringence différente. Il est dévié selon la loi de Snell-Descartes qui est n1sinƟ1=n2sinƟ2. La réfringence est la capacité d’un milieu transparent de

Rapport de laboratoire #2 But : Mon but lors de ce laboratoire expérimental, était de prouver La formule de Snell-Descartes.La formule de Snell-Descartes dit que l’indice de réfraction d’un milieux fois le sinus de l’angle incident est égal a l’indice de réfraction d’un autre milieux fois le sinus de l’angle de ce dernier. N1*SIN téta1 = N2*SIN téta2. ( N = Indice de réfraction et Téta = Mesure de l’angle ). Hypothèse : Selon moi la Loi Snell-Descartes est exact et c’est ce que tenterais

Physique Chimie THEME 1 : REPRESENTATION VISUELLE Chapitre 1 : L'oeil, système optique et formation des images 1) Petite histoire de la vision Quelles ont été les différentes théoris de la vision depuis l'Antiquité ? Proposer des schémas possibles pour chaque théorie. Théorie de l'interomission: schéma 3 ou 4 Théorie de l'émission: schéma 1 ou 2 Montrer que les deux théories sont contradictoires Le sens de la propagation de la lumiere est inversé d'une théorie à l'autre A quelle époque

Cotation fonctionnelle Nécessité de la cotation fonctionnelle Vocabulaire Chaînes de cotes Méthode d’établissement d’une chaîne de cotes Règles à respecter Equation de projection et calcul XII. Tolérances géométriques Etat de surface ou rugosité Représentation schématique Tolérances géométriques Représentation schématique XIII. Vocabulaire technique Cours assuré par : A. ZINE 4 Initiation au Dessin Industriel Eléments de Normalisation I. GENERALITES : Les différentes phases d'élaboration

première fois. Y est le temps d’attente de la première réalisation de l’événement "obtenir pile" de probabilité constante 0,3 lors d’une suite de lancers indépendants, donc Y suit une loi géométrique de paramètre 0,3. On en déduit, en appliquant la formule du cours du calcul de l’espérance d’une loi géométrique 1 3 E(Y ) = = . 0, 3 10 Exercice 6 - Service de dépannage - L2/Prépa Hec 1. (a) Soit R l’événement "le client a subi un retard". X est le nombre de réalisations de l’événement R

Types de miroirs courbes * Un miroir convergent est un miroir qui a pour propriété de rassembler les rayons parallèles en un point.  * Un miroir divergent a pour propriété d’éloigner les rayons parallèles qui le frappent. Les principaux points d’un miroir courbe L’image suivante résume bien les parties importantes des miroirs courbes.   * Sommet du miroir (S): point d'intersection entre l'axe principal et le miroir * Foyer du miroir (F): point où se croisent tous les rayons

OPTIQUE GEOMETRIQUE / CARACTERISTISQUES GENERALES DES INSTRUMENTS D’OPTIQUE / Page 1 sur 26 PLAN DU COURS 1. DEFINITIONS. ......................................................................................................................................................... 2 2. GRANDISSEMENT TRANSVERSAL................................................................................................................... 3 3. DISTANCE FOCALE DE GAUSS .............................

profondeur d’au moins 1,5 B, de sols de natures différentes et de résistances mécaniques différentes (mais du même ordre de grandeur) - après élimination des valeurs singulières (ex : présence de blocs ou concrétions) - on calcule la moyenne géométrique sur la tranche de sol [D; D+1,5B] * * ple = n pl*1. pl*2 ............ pln Sensiblement équivalent à : ( ) * log ple = ( ) 1 D +1,5B log p* ( z ) dz ∫ l 1,5 B D 63 3.3- Grandeurs équivalentes 3.3.2 Hauteur d’encastrement