Sodome

fréquemment dans les contes orientaux. - La fiction est représentée ici par l'irréel: la ville imaginaire de Persépolis, les génies capable de détruire une ville, le repère temporel d'un temps ancien (qui n’est pas sans évoquer l’histoire biblique de Sodome et Gomorrhe). - La présence d'une quête est également à souligner: le rôle de Babouc, qui nous emmène dans différents endroits pour accomplir sa mission, étant de juger avec impartialité quel sort doit réserver Ituriel à la ville de Persépolis et

ne s’agit pas d’un accident, il n’a jamais été question que l’homme existe en dehors de sa corporéité, en dehors d’une incarnation physique. Abraham fait référence à l’humilité de son statut d’être corporel devant l’Eternel lorsque, plaidant pour Sodome & Gomorrhe, il dit : « mais je ne suis que poussière & cendre ». L’humanité est désignée par le terme kol basar, toute chair (Esaïe 66). Originairement la personne se définit d’emblée par sa présence au monde créé, donc par son existence corporelle

LL n°1 : « Sodome et Gomohrre » La Recherche du temps perdu, Marcel Proust Introduction : Présentation auteur/texte = introduire les thèmes du temps, du souvenir (puisque ce sont les thèmes particuliers qui nous intéressent dans cet extrait).Présentation de l’extrait : extrait d’un roman, donc texte narratif, qui est ici un passage de description. La narration est faite par un narrateur interne, qui est également le personnage. C’est ce narrateur-personnage, présent dans le

suggérées mais réellement filmées. Il n’est plus rare de voir un sein ou bien l’acte lui-même. Les tabous s’envolent dans les productions cinématographiques, le cinéma érotique, voit également le jour. Des productions plus crues (Salo ou les 120 jours de Sodome) mènent à la conception de film pornographique. La pornographie devient même une industrie puissante dans le milieu du cinéma. Certains films comme Emmanuelle (huit millions d’entrées) deviennent culte pour toute une génération et sont encore connus

érotique très forte dans certains dessins ("J.",p. 40) ou certains poèmes (" Les sens", p. 46). →La sexualité est abordée de manière très libre dans le recueil.   -Portraits imaginaires de Sade (p. 124 et 127). →L'auteur des Cent Vingt Journées de Sodome devient une figure - paradoxale - de la liberté: enfermé durant la majeure partie de son existence, il a bâti du fond de ses geôles successives une oeuvre transgressive et subversive qui explore tous les tabous, notamment sexuels. Eluard compte d'ailleurs

Recherche, la technique Charlotte Schapira - Maupassant 51 proustienne presente, du point de vue stylistique, une ressemblance pronon& avec celle de Maupassant. Voici deux exemples releves a une page d’intervalle (pp. 9 et 10) dans Sodome et Gomorrhe (~011.Le Livre de poche) ouvert au hasard: “Mais (saris doute parce qu’il pensait qu’une pareille scene ne peut pas se prolonger indetiniment dans cet endroit, soit pour des raisons qu’on comprendra plus tard, soit enfin par ce sentiment

troublaient; et une désolation l'envahissait au spectacle du désert, qui figure, dans le bouleversement de ses terrains, des amphithéâtres et des palais abattus. Le vent chaud apportait, avec l'odeur du souffle, comme l'exhalaison des villes maudites [Sodome et Gomorrhe], ensevelies plus bas que le rivage sous les eaux pesantes» [113]. La profondeur (de champ) du regard est troublé, brouillé, par l'odeur. Apparaît Hérodias, qui a droit elle aussi à un portrait et qui annonce une bonne nouvelle à son

abolir tous les tabous sexuels, les images sont alors proches de l’expression onirique. Cette liberté morale est une référence directe au marquis de Sade qui justifie les pulsions sexuelles les plus cruelles. L’auteur des « cent vingt journées de Sodome devient une figure paradoxale de la liberté pour les surréalistes, en réalisant durant son emprisonnement une œuvre transgressive qui explore tous les tabous, notamment sexuels. En guise d’hommage, le recueil consacre deux pages à ses portraits imaginaires

19) et le « glaive » (l.18) sont des images bibliques, l’« épée brûlante » (l.19) fait penser à Vulcain (Héphaïstos), le dieu forgeron, de plus la chaleur évoque l’Enfer. L’oxymore « pleuvoir du feu » (l.23-24) n’est pas sans rappeler l’épisode de Sodome et Gomorrhe. ♠ Dieu est absent car il y a un mélange de païen et de sacré. « Silence exceptionnel d’une plage » (l.29-30) souligne la solitude de Meursault sur la place. Camus ne nomme pas l’Arabe. ♠ Meursault évoque le « ventre poli de la crosse

| |L’exode d’Abraham commença. Il partit avec sa femme Sarah et ses compagnons, parmi lesquels Loth qui s’arrêta à Sodome. Le reste de la caravane traversa la Syrie, la Palestine et arriva en Égypte où la beauté de Sarah attira | |l’attention du pharaon qui en tomba amoureux. Mais, étrangement, chaque fois qu’il essayait de l’approcher, sa main était frappée