Socrate Justice

PLATON (COURS 1) Jamais marié, de famille aristocrate anti-démocratique, soldat pendant la guerre de Sparte, élève de Socrate, fondateur de l'académie où il a enseigné (jusqu'à l'âge de 81 ans) la philosophie, Aristote fut son plus grand élève Qu'est-ce que Platon a-t-il apprit de Socrate? Qu'est-ce qu'il faut rejeter? Dans les travaux des grands comme Homère... on retrouve l'éthique guerrier. Il s'agit de: Ce qui est valorisé c'est la force, le courage et l'habilité à exécuter de grandes

la justice. Il affirme que l'a juste appartient aux plus forts. C'est seulement ceux qui sont au pouvoir qu'il ont la possibilité de choisir ce qu'est la justice et le font dans leur propre intérêt. Socrate n'est pas d'accord et réplique que les gouvernements ne sont pas infaillibles et qu'ils peuvent se tromper. Il dit que la justice n'est donc pas dans l'intérêt des gouvernants et de respecter les lois irait contre les gouvernants. Thrasymaque essaie de s'en sortir en disant à Socrate que

ses idées de grandeur, on peut deviner facilement qu’il espère devenir un homme d’État aussi puissant, ou même plus encore, que son maître Périclès qui lui a été capable de faire d’Athènes « une grande puissance. » Il ne veut rien d’autre que cela, Socrate en est certain, voici ce qu’il dit à Alcibiade lors d’un échange : « […] tu espères faire voir au peuple que tu es pour lui d’une valeur sans égale et acquérir aussitôt par là un pouvoir absolu […] ». Cela démontre clairement ses intentions, c’est-à-dire

commencé. De haute noblesse, il était fils d'Ariston qui prétendait descendre de Kodros, dernier roi légendaire d'Athènes, et de Periktionè dont la lignée remontait par Dropidès à Solon, le premier législateur de la cité. Platon est le contemporain de Socrate, il est aussi un observateur attentif de la démocratie athénienne. Il assiste à l’effondrement de celle-ci suite à la guerre du Péloponnèse (404) , à sa restauration (suite à la chute de la brève tyrannie des Trente tyrans), puis à sa lente dégradation

LE DEVOIR. DU CITOYEN.         SOCRATE Pourquoi déjà venu, Criton? N'est-il pas encore bien matin?   CRITON.  Il est vrai.   SOCRATE. Quelle heure peut-il être ?   CRITON L’aurore paraît à peine.   SOCRATE. Je m’étonne que le gardien de la prison t’ait laissé entrer.    CRITON. Il est déjà habitué à moi, pour m'avoir vu souvent ici; d'ailleurs il m'a quelque obligation.   SOCRATE. Arrives-tu à l'instant, ou y a-t-il longtemps

Séance 3 – Platon Platon (427 – 346 av JC), c'est le disciple de Socrate. Il précède Aristote. Disciple d'une famille aristocratique, hostilité à l'égard du régime démocratique. Il sera pour cette raison isolé, on ne lui confiera pas de pouvoir politique ni de responsabilité dans la cité. C'est cet éloignement dans les affaires publiques qui l'ont incité à faire le choix ??? Constitue un tournant majeur dans la pensée antique → première tentative de réflexion sysmatique sur le pouvoir politique

démontrer les choses de manière pratique mais certaines personnes remettent en doute cet usage et cherche à connaître la vérité dans cet usage. Durant le diadoque, Socrate cherche à démontrer à Gorgias que, pour utiliser la rhétorique il faut faire la différence ce qui est juste et injuste.  Voici quelques plans du texte: apprendre la justice est donc être juste? Étant juste peut-on commettre une injustice? Peut-on user la rhétorique de manière injuste? Problématiques : Thèse A Pour mieux exercer

(Livre I) A travers la discussion entre plusieurs interlocuteurs (Socrate, Céphale, Thrasymaque et Polémarque) vont se profiler tous les thèmes de La République auxquels Platon va répondre au livre X. Thrasymaque expose la thèse des sophistes sur la justice. Socrate parvient à montrer qu’il faut reprendre la question de la justice pour la définir. Qu’est ce que la justice ? (Livre II à IV) Les deux interlocuteurs de Socrate seront Glaucon et Adimante et ce jusqu’à la fin du dialogue Reprise

copier du livre de platon LIVRE II : LA SEULE OBSERVATION DE L'INDIVIDU NE PEUT SUFFIRE À DÉTERMINER LA NATURE DE LA JUSTICE. IL FAUT CONSTRUIRE IDÉALEMENT UNE CITÉ I - LES CONCEPTIONS VULGAIRES ET FAUSSES DE LA JUSTICE (357a-367e, pp. 107 à 117) - A - 357a-358c, p. 108. - Socrate et Glaucon se demandent dans quelle sorte de biens placer la justice. 1) [357 cd] Glaucon, distingue trois sortes de biens : - ceux que l'on recherche pour eux-mêmes (joie et plaisirs inoffensifs) ; - ceux que l'on

marque infaillible que tu ne la connais pas. Selon moi, Socrate veut dire que si tu ne connais pas la réponse, mais que tu crois la connaître, alors tu vas dire des choses qui te semblent claire, mais qu’en réalité, ce n’est pas fiable comme réponse. Tu penses que ce que tu dis est vrai, mais si l’on pousse la question de plus en plus, alors tes réponses seront de plus en plus basées sur des trucs qui ne tiennent pas debout. On peut voir que Socrate savait très bien où il se dirigeait et ce qu’il voulait