Socrate Et Les Sophistes Dans La République

opinions. Dans La République Platon explique que la cité idéal est dirigée par un philosophe. Socrate, maître philosophie de Platon, a été accusé pour des raisons diverses ( corruption de la jeunesse, impiété ) et au lieu de se défendre et s'excuser il provoque. Il dit que la cité devrait le remercier pour ce qu'il apporte à la cité, il est condamné à la courte majorité à la mise à mort par poison. Les philosophes s'opposent aux sophistes des intellectuels. Platon présente les sophistes comme des gens

d’elle-même. Dans le premier cas, il s’agit de la situation de Socrate qui reconnait que la seule chose qu’il sait c’est qu’il ne sait rien. Autrement dit, non seulement il est ignorant mais il a conscience de son ignorance. De ce fait, il se trouve dans une situation favorable pour progresser et remédier à son ignorance. En revanche, celui qui n’a pas conscience de son ignorance ne pourra jamais y remédier. C’est le cas en particulier des sophistes qui prétendaient dans l’Antiquité tout savoir et qu’en

Socrate le maïeuticien La maïeutique, du grec μαιευτικη, par analogie avec le personnage de la mythologie grecque Maïa, qui veillait aux accouchements, est une technique qui consiste à bien interroger une personne pour lui faire exprimer (accoucher) des connaissances qu'elle n'aurait pas conceptualisées. Son invention remonte au IVe siècle av. JC et est attribuée à Socrate. La maïeutique consiste, selon les croyances de cette époque et dans cette tradition, à faire accoucher les esprits

Apollodore, disciple de Socrate, répond à la demande d'autres disciples de leur raconter les propos sur l'amour échangés à un banquet présidé par le tragédien Agathon à l'occasion de son triomphe dans un concours de pièces de théâtre. Apollodore tient ce qu'il va leur dire de la bouche d'Aristodème, un des convives. B - Début du récit [174a-178a] 1 - [174a-175c]. Aristodème rencontre Socrate, pour une fois bien lavé, qui lui dit se rendre au souper d'Agathon. Absorbé par ses pensées, Socrate se laisse distancer

But : Chercher le principe unique de toute chose (explication + scientifique)   La philosophie nait en Grèce en Ionie (cotes turques) au 6ème S avt J-C. Suite à l’invasion des Perses. Au 5ème S à Athènes. Evénement fondateur : Procès + mort de Socrate en 339 ACN   Présocratiques = Précurseurs de la rationalité (principe de toute chose):   -          Thales : (Ionien début 6e S ACN) Eau= élément par raréfaction et condensation forme tout ce qui existe. -          Pythagore : (fin 6e S, Sud

porte à la subjectivité et fait naître bien des débats. Dans le livre de Platon, La République, celui-ci relate plusieurs dialogues qu'a eu son maitre, le grand philosophe Socrate, sur ce même sujet. Notamment, une discussion entre celui-ci et Thrasymaque, un sophiste. Ces deux interlocuteurs s'attardent sur la définition de la justice. Thrasymaque affirme que la justice n'est nul autre que l'intérêt du plus fort. Socrate, quant à lui, s'oppose à cette thèse et soutient que la justice est en fait l'intérêt

éléments qui a été l'origine de la mise en place dune république en France. Première influence: la réflexion sur le meilleur régime politique. On retrouve également l'influence de la pensée grecque dans la détermination du rôle politique des individus. On est passé d'une conception où l'individu était sujet du roi (au moyen âge) donc exclu du pouvoir à un citoyen qui est au coeur du système politique (situation telle qu'on la retrouve dans la république). La pensée grecque était donc fondamentale dans

sur des sujets différents avec d’autres philosophes de son époque. Dans un dialogue des ouvrages de Platon, la République, Socrate s’interroge sur ce que c’est la justice. Un peu avant cet extrait, Thrasymaque, un sophiste de la Grèce Antique affirme que l’homme qui commet l’injustice et qui vit dans celle-ci serait plus avantagé qu’un homme que ne la commet pas et qui vit juste. Pour Socrate, un homme qui vit dans l’injustice n’a pas une vie plus avantageuse que l’homme qui vit juste, mais au contraire

forte instabilité politique au moment où il vit. Peut servir à un engagement politique. La mort de Socrate va le dissuader de s'engager politiquement. Il rejette tous ceux qui ont tué Socrate. Il faut se protéger par rapport à cette cité, développement de toutes les facultés humaines. Sphère de la contemplation et non pas de l'action. A) Fondements de sa pensée 1. La critique des Sophistes. – L'origine du Sophisme. Il part de deux points : 1) Se libérer des superstitions des religions

Texte de JP Vernant) Platon entre en philosophie véritablement à la mort de Socrate, événement qui le bouleverse et qui va revenir régulièrement dans son œuvre sous des formes diverses. Trois dialogues sont consacrés à l’événement : - L’Apologie de Socrate. - Le Criton (qui propose à Socrate de s’évader). - Le Phédon qui sont les derniers instants de Socrate où il est question d’immortalité de l’âme. Socrate est mort en -399, car il a été accusé par Mélétos, Anytos et Lycon de : - Corruption