Sienne

(Lequel de vous veut un fruit ?) Pronom Personnel Je, tu, il, elle, on, nous, vous, ils, elles, me, te, se, moi, toi, lui… Pronom Possessif Le mien, le tien, le sien, la mienne, la tienne, la sienne, le nôtre, le vôtre, le leur, la nôtre, la vôtre, la leur, les miens, les tiens, les siens, les miennes, les tiennes, les siennes, les nôtres, les vôtres, les leurs. Pronom Relatif Dont, qui, que, quoi, où, lequel, laquelle, desquels, auxquels, auquel… ( La fete a laquelle je suis allé)

qui aime, tant sont à craindre, dans toutes sortes de domaines, les effets de la passion. B. Les deux discours de Socrate • Socrate applaudit ironiquement un discours aussi « divin ». Il souligne sa propre ignorance en la matière et feint de faire sien l’argument captieux de Lysias, dans un discours d’apparence rhétorique. En réalité, dès ce premier discours, Socrate élève le propos à un niveau proprement philosophique. Pour au moins trois raisons : 1) Socrate juge indispensable d’établir « d’un

prolongements de l'€cole keyn€sienne sont : “ le keyn€sianisme ou macro€conomie traditionnelle “ la th€orie du d€s€quilibre : Edmond Malinvaud “ le courant post-keynesien : Michal Kalecki, Nicholas Kaldor, Joan Robinson, Roy Forbes Harrod, Evsey Domar…(en)... “ la nouvelle €conomie keyn€sienne : George Akerlof, Joseph Stiglitz, Janet Yellen…(en), Stanley Fischer... “ l'€cole de la r€gulation : Michel Aglietta, Robert Boyer, Alain Lipietz... Les n€o-keyn€siens Le courant n€o-keyn€sien (appel€ aussi • €quilibres

i des passants, qui lui disent pr6cis6ment le nom de sa rue; il entre ensuite dans sa maison, d'oir il sort pr6cipitamment, croyant qu'il s'est tromp6 16. Il descend du Palais 17, et, trouvantaubas du grand degr6 18 un carrosse qu'il prend pour }e sien, il se met dedans: le cocher touchels et croit remener20 son maitre dans sa maison; M6nalque Se iette hors de la portidre, traverse la cour, monte I'escalier, parcourt I'antichambre, la chambre, le cabinet 2r I tout lui est familier, rien ne lui est

poète semble encore plus désespéré que celui de l'humanité. Ce sort est vécu beaucoup plus intensément par Baudelaire. Au vers 18-20, on relèvera " mon ", qui désigne le poète. De plus, l'enterrement spécifié à la fin du texte peut très bien être le sien. Cette progression incertaine mêlée à la lenteur apporte au poème l'angoisse que Baudelaire lui confère, lui et ses idées. b) Une verticalité barrée : Spleen et emprisonnement de l’âme, du cerveau : v. champ lexicaux L'absence de liberté

dans des formules sans nuance au présent de vérité générale : « Gnathon ne vit que pour soi » ; « Il tourne tout à son usage ». - la chute du texte, opposant le singulier « la sienne » à l’expression à valeur collective « genre humain » est très expressive : « [il] ne pleure point la mort des autres, n’appréhende que la sienne, qu’il rachèterait volontiers de l’extinction du genre humain ». II. Ce texte joue sur les sentiments du lecteur pour mieux stimuler sa réflexion : a. Gnathon, un personnage

du « tu » sont donc différentes chez Vanina et Missirilli. Vanina rappelle son rang social en disant : « comme je suis riche » (l. 24) / « je viens vous offrir ma main et deux cents mille livres de rentes » (l. 42-43). Elle rappelle à Missirilli le sien en disant : « il ne vous manque qu’une haute position » (l. 41-42) et en l’appelant « mon petit chirurgien de campagne » (l. 60). Missirilli déclare : « je suis un pauvre serviteur de la patrie » (l. 46-47). Deux comparaisons inversent le statut social

la comparaison avec un automate mais aussi par l’insistance sur le vide qui l’habite : «Il ne pense plus à rien », «  Il ne voit rien, n’entend plus rien ». La tournure négative est également reprise plus loin : « qui n’est pas la sienne, qui ne sera jamais la sienne ». Il s’inscrit dans la négation, le refus du monde. Monsieur Linh est également fragile physiquement car il « titube, marche lentement ». Il est désigné comme « le vieil homme ». La répétition du pronom « il » met en valeur sa solitude

heureux". Il prend conscience du bonheur qui avait été le sien. C'est la première fois qu'il est capable d'utiliser un modalisateur affectif tel que: "heureux". Après le premier coup de feu, il se rend compte de ce qu'il va perdre. Comme si ce coup de fusil avait été pour lui un déclencheur qui permet l'éveil d'une conscience. C'est presque comme une naissance à lui même ainsi qu'au monde. Il prend conscience du bonheur qui avait été le sien, grâce au geste même qui détruit ce bonheur. Mais si ce

de Momo et je réalise que ma vie est une partie de plaisir contrairement à la sienne. Peut-être que pour Momo sa vie lui semble parfaite. Il vie dans une maison, il a une place où dormir et il a de la nourriture, mais il n’a pas tous les avantages que moi j’ai eu. Pour conclure, je ne voudrais jamais échanger ma vie avec Momo parce que dans ma vie, il y a beaucoup plus de chose à découvrir dans mon univers que la sien. Question 4 : La personnalité : Momo devrait avoir une personnalité très