Corneille
DES OUVRAGES DE L'ESPRIT
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m, oorrtme de bont6 ou de maturit6 m a le gofit parfair; celui qui ne le
gsit d6fectueux. Il y a donc un bon s *ec fondement 6. de- 3l'architecture. On a entierement
CORNEILLE
ET
RACINE
dc
,
icme Rome et de la vieille Grdce, I 61 rbns nos p6ristyles. De m6me
,ct, s'il
;
fioaique et le corinthien : ce qu'on se t avait introduit pour les palais peut, sulpasser
Dans ce parollile c6lEbre, si sou-vent tepris (I, 5t), Lr,Bnuvi*T ",ntgt:^1^otj^",:1 grands tragiques sans marquer de -pr6f6rence .personnelle.; ql":, L*1^t' sera morns Fr""rrlt" ir"Cbnnnlr,r, doni les modernes faisaient ressortir I'originalit6 par.rapport S'il'se plait un peu trop aux anrirhises- rhitoriques,6cueil du.genre,
""* ""e1", "rciens. i;;.il;;il;;;;;;;;;i;,il;
Conr..tsrrLe
tiiti""t
q.ui de p6n6trarion le conrraste entre le g6nie de
le,s
anclens
ei cehri de RacrxP.
mcitns et reprendre enfin le simple s rt modernes; on les presse, on en lt
r Arfuic (P.4tt't
fait
songer
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LES CARACTERES
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E disisz-vous : ( Il fait froid >? m gu'il neige; dites : t, Il Pleut, e, ei vous desirez de m'en fefici lc- - Mais rdPondez-vous, cela irs, qui ne pourrait Pas en dire -erand mal d'6tre entendu 2 m si ffi E monde? IJne chose vous iles, les diseurs de Phdbus 3; vous 6: YUus ieter dans l'6tonnement C.,e n'est pas tout : il Y a en t '. m den avoir plus que les autres; irridas, de voi phrases embrouilsignifient rien. Vous. abordez cet tmbre?; ie vous trre Par votre Fz point i avoir dr l'esPrit, n'en vois pouvez, un langage simPle, Eouvez aucun esprit : peut-etre
femmes d3 pays, de ses lois et de ses coutumes : il rdcite' des historiettes qui y sont arriv6es; il les trouve plaisantes, et il en rit le premier jusqu'i 6clater')Quelqu'un se hasarde 3 de le contredire, et lui prouve nettement qu'il dit des choses qui ne sont pas vraies. Arrias ne se trouble ro point, prend feu au contraire contre