Sienne

La logique du discours argumentatif • La thèse rejetée : pour les besoins de son argumentation, le locuteur peut prendre en compte une thèse contraire à la sienne. La thèse du locuteur est ainsi soutenue par opposition. • La concession : stratégie qui consiste à faire semblant d’accepter la thèse de l’autre pour mieux soutenir la sienne. On peut aisément la repérer grâce à des connecteurs logiques qui indiquent l’opposition ou la concession ("certes, mais, sans doute, pourtant…"). • L’organisation

noble. A un enfant de maison[2] qui recherche les lettres, non pour le gain (car une fin si abjecte est indigne de la grâce et faveur des Muses, et puis elle regarde et dépend d’autrui), ni tant pour les commodités externes que pour les siennes propres, et pour s’en enrichir et parer au-dedans, ayant plutôt envie d’en tirer un habile homme qu’un homme savant, je voudrais aussi qu’on fût soigneux de lui choisir un conducteur qui eût plutôt la tête bien faite que bien pleine, et qu’on y requît

l’autobiographie par une « genèse », au début du récit, après sa naissance, on la considère comme un légume. Elle se décrit plutôt comme un tube qui absorbe, filtre et rejette. Elle se prend pour Dieu car elle pense que toute les vies sont reliées à la sienne et qu’elle occupe une place en chaque personne. Tout a un rapport avec elle. C’est l’égocentrie d’une enfant de 3 ans. On append qu’elle est belge comme toute sa famille et qu’elle vit au Japon car son père est ambassadeur. 2ème Jour Page 21 à

notre conscience nous dictera de l’aider. De plus, il existe une autre forme de don qui peut être considérée comme un échange implicite : lorsque deux personnes discutent, l’une d’elle expose ses idées et attend de l’autre qu’il lui présente les siennes. L’échange se fait alors inconsciemment, mais est bien présent. Enfin, si l’on considère que l’amour est un échange de sentiment, quelqu’un qui aime attend d’être aimé en retour. L’individu qui aime a besoin d’une certaine reconnaissance de la part

sembler un acte injuste et égoïste, mais selon moi, il vaut mieux enlever la vie à quelqu’un d’autre que soi que de perdre la sienne. La victime de cet acte se voit désavantagée par l’injustice commise. Donc, vaut mieux infliger l’injustice afin de subir des désavantages sur nous-mêmes.  Il est vrai qu’il vaut mieux enlever la vie à quelqu’un d’autre que soi que de perdre la sienne, mais cependant, celui qui inflige l’injustice vivra une vie plein de remords. Comme dans mon exemple mentionné plus haut

persister. Finalement, c’est dans cette dernière partie qu’Aristote aborde l’aspect libre que détient la philosophie, qui appuie encore et toujours sur le fait qu’elle n’est pas nécessaire à l’homme car elle ne sert aucun autre but que le sien. Aristote prend l’exemple de "l’homme libre" (l.15), soit le citoyen, pour appuyer son argument : "Mais de même que nous appelons homme libre celui qui est à lui-même sa fin, et n’est pas la fin d’autrui" (l.15). Par "fin", il entend ainsi "but" et

un soir Dans le jardin les fleurs attendent que tu les cueilles Et est-ce pas ? ta bouche attend que je la veuille ? Ah ! mes lèvres ! sur combien de bouches mes lèvres ont posé Ne m’en souviendrai plus puisque j’aurai les siennes Les siennes Vanité ! Les miennes et les siennes Ah ! sur combien de bouches les lèvres ont posé Jamais jamais heureux toujours toujours partir Nos pauvres yeux bornés par les grandes montagnes Par les chemins pierreux nos pauvres pieds blessés Là-bas trop [près] du but notre

fleur est pâle, elle croit paisible, les toits craignent . "Ecoute bien. C'est que vent, ondes, flammes, arbres, roseaux, rochers, tout vit ! Tout est plein d'âme" écrit Hugo dans "Au bord de l'infini", VI-XXVI. La nature est une force qui crée la sienne en retour, tout souffle, tout rayon propice ou fatal fait vibrer son âme de cristal. Hugo a une vision panthéiste de l'univers, un tout divin, dans laquelle la conscience universelle est souvent comparée à l'océan, qui sous des formes diverses, vagues

: C'est qu'il est trop petit pour mon cher ami, et que le sien est trop grand pour moi. Il embrasse les genoux de son maître. CLEANTHIS : Expliquez-moi donc ce que je vois ; il semble que vous lui demandiez pardon ? ARLEQUIN : C'est pour me châtier de mes insolences. CLEANTHIS : Mais enfin notre projet ? ARLEQUIN : Mais enfin, je veux être un homme de bien ; n'est-ce pas là un beau projet ? je me repens de mes sottises, lui des siennes ; repentez-vous des vôtres, Madame Euphrosine se repentira

autre à soi-même. [Paul Léautaud] Aimer, c'est perdre le contrôle. [Paulo Coelho] Aimer c'est la moitié de croire. [Victor Hugo] Aimer, c'est trouver sa richesse hors de soi. [Alain] Aimer, c'est n'avoir plus droit au soleil de tout le monde. On a le sien. [Marcel Jouhandeau] Aimer, c'est essentiellement vouloir être aimé. [Jacques Lacan] Aimer un être, c'est le rendre transparent. [Jean Racine] Aimer, c'est se donner corps et âme. [Alfred de Musset] Aimer, c'est permettre d'abuser. [Pierre Reverdy]