Si En Effet Conscience Signifie Choix

D.M de Philosophie (6) Sujet : « L’expression « se tuer au travail » signifie-t-elle que le travail est la mort de l’homme ? » Il est sans nul doute que chacun d’entre nous a pu assister à une scène où son père ou sa mère, rentrant du travail, s’exprima poussivement : « Je suis mort. Je me suis tué au travail aujourd’hui ». Objectivement, cette remarque est positive. En effet, elle révèle un réel investissement personnel dans son travail pour subvenir au besoin de sa

mourir prochainement et qui retourne auprès de sa famille après une longue absence de 12 ans pour leur annoncer le drame qui va se produire. Cette pièce, écrite par Jean-Luc Lagarce est-ce que l’on peut appeler un logodrame ce qui signifie un drame de la parole. En effet, les nombreuses crises personnelles et familiale qu’on y retrouve, jouent un rôle fondamental dans l’annonce de la mort prochaine de Louis. Ainsi, nous verrons dans quelle mesure la citation de Jean-Pierre Sarrazac éclaircie-t-elle

l'instinct et le fait que l'homme soit doué de raison. Mais d'où provient cette raison ? Kant nous explique que c'est dans le Je que la raison trouve son existence. Le texte que nous avons étudié s'interroge sur le Je et pose la question suivante : que signifie la capacité de se poser comme un Je ? Kant nous dit dans son extrait que se représenter comme un Je c'est se reconnaître l'identité d'une personne, c'est être conscient que l'on a une raison. C'est se placer au dessus de tous les êtres vivants. Kant

de Nietzsche, sur la conscience C’est contre toute une tradition philosophique et contre l’opinion commune que Nietzsche s’inscrit ici en faux, d’une part en faisant de la conscience non plus un point de départ mais bien un résultat, d’autre part en distinguant conscience et pensée et enfin en ramenant la conscience à une sorte de béquille sans laquelle l’homme n’aurait pu survivre. C’est ainsi qu’il soutient la thèse selon laquelle, le développement de la conscience n’a pour origine que

- PLANCHE- bm Le déterminisme génétique et la liberté de choix Est-ce que nous sommes libres de choisir ou de créer notre comportement (ce qui suppose un libre arbitre) ? Ou est-ce que nos comportements sont dictés par les lois de la nature (c’est le déterminisme) ? Tous les êtres vivants possèdent de l’ADN, c’est le support de l’information génétique qui différencie chaque humain. L’homme n’est d’abord rien. Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait. Ou tel que la

Fiches de révisions Philo LA CONSCIENCE Fiches de coursPhiloTle ESTle LTle SLa conscience 1 Conscience morale et psychologique Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant

l’humanité le bonheur acquiert une importance significative au sein de la direction de notre vie. Cependant, si l’objet est universel, les méthodes et chemins pour y accéder sont multiples et parfois même contradictoires. Il n’existe pas un modèle, une recette, un moyen universalisable qui garantissent l’accès à cet état de jouissance durable qu’est le bonheur. Étymologiquement, le bonheur signifie la chance, la bonne heure (bonne augure), le destin ou encore la providence faisant signe ainsi vers le

traversé la rue sans avoir conscience que le feu était rouge! » Ai-je agi inconsciemment? « Nous n'avions pas conscience de les condamner à mort », c'est ce qu'ont prétendu les policiers et les gendarmes français qui ont arrêté les Juifs lors de la rafle du Vél d'hiv'. Ont-ils agi inconsciemment? Dans ces deux cas, se réfère-on au même concept de conscience? Ne faut-il pas distinguer la conscience comme perception de nous-mêmes et de ce qui nous entoure de la conscience comme perception du bien

Le sujet, un homme sans mémoire peut-il être libre ?, nous pose la question de savoir si la mémoire est la condition de la liberté. Sans mémoire, c'est-à-dire sans la faculté qui nous permet de représenter le passé, de distinguer le souvenir primaire ou immédiat (toute conscience est mémoire) et le souvenir secondaire plus ou moins lointain. Peut-il, c'est-à-dire les conditions de liberté existent-elles pour lui ; a-t-il le pouvoir de choisir, de décider, d’agir, de former des projets et de les

distance, ressemblance et différence, est en fait une exigence morale puisque d’une manière générale, il est communément admis que le respect envers autrui est ce qui garantit la vie en communauté et l’équilibre des relations sociales. Le respect est en effet un sentiment de considération, de déférence envers une personne, qui nous pousse à la traiter avec des égards… A partir de là, il s’agira d’étudier ce qui justifie le respect d’autrui dans notre société ? Nous évoquerons dans un premier temps les causes