Sénèque

- - - - - - - - ACTE I (donner un titre) Scène et psg présents Événements essentiels de la scène 1 Agrippine, Albine Pourquoi Agrippine est-elle inquiète ? 2 Ag, Alb, Burrhus De quoi Agrippine accuse-t-elle Néron et Sénèque ? Pourquoi Néron veut-il éviter le mariage Britannicus/Junie ? 3 Que vient faire Britannicus au palais ? Pourquoi est-il en colère ? 4 Sur quoi les soupçons de Britannicus portent-ils ? Qui choisit-il comme unique confident ? ACTE

fortune et de la société humaine . Ce serait une autre manière d’être esclave de soi-même ,l’esclavage d’une fausse liberté , d’une indépendance inhumaine. Une manière de singer le sage . D’un autre côté , le mal dont souffre Sérénus à qui s’adresse Sénèque dans son De la tranquillité de l’âme, pourrait être considéré comme l’autre face de ce refus de l’engagement , de la décision ; le personnage étant autant plus esclave de soi-même , de son atermoiement , de ses hésitations d’autant plus mécontent

en nous, loin des choses qui sont indépendantes de nous. Epictète a dit qu’ « Il n’y a qu’une route vers le bonheur c’est de renoncer aux choses qui ne dépendent pas de notre volonté.» Selon les stoïciens pour être heureux il faut être vertueux. Sénèque a dit que « le vrai plaisir est le mépris des plaisirs », pour les stoïciens le plaisir est un trouble désordonné et vain qui résulte de la présence d’un bien, au contraire la joie est un mouvement raisonnable et durable. La joie est vertueuse, pas

innovation du dramaturge français. Le mythe de Phèdre a inspiré, du moins d'après les oeuvres qui nous restent, deux grandes tragédies dans l'Antiquité, une grecque et une romaine. Il s'agit de l'Hippolyte porte-couronne d'Euripide et de la Phèdre de Sénèque. La première a ceci de particulier qu'elle ne n'intéressait pas au personnage de Phèdre. Le véritable personnage tragique de la pièce, c'est Hippolyte, car il meurt victime des mensonges de sa marâtre. Phèdre se réduit chez Euripide à un pur moyen

tranquille. » ; car celle-ci suppose que l'on ait une juste représentation du divin. Donc Épicure bannit et dénonce l'opinion de la foule. Nous pouvons retrouver ces idées chez les Stoïciens, notamment chez Sénèque qui affirme que pour être heureux, nous devons nous séparer de la foule. Sénèque parle dans De la vie heureuse, en disant « Le monde ne va pas si bien que ce qui vaut le mieux plaise au plus grand nombre ; la preuve du pire, c'est la foule. » C'est pourquoi dans la suite du texte, Épicure

er reprise du travail de vendredi   Médée, personnage éponyme de l’œuvre de Corneille, est mise en scène par la troupe du Marais en 1635. Cette pièce est une reprise du mythe, et Corneille reconnait qu’il a été très sensible à la version de Sénèque dans sa réécriture. Notre passage présente la première apparition de Médée, acte I scène 4. Nous avons appris dans l’exposition que Jason la quittait pour Créuse, afin d’épouser la fille du roi et d’ « accommoder [sa] flamme au bien de [ses]affaires »

vertu. On peut être heureux dans le taureau de Phalaris pourvu qu’on soit vertueux. Ce qui conduit les stoïciens à séparer vertu et plaisir. La vertu, dit Sénèque, existe souvent sans le plaisir et n’a pas besoin de lui. Elle est chose sublime alors que le plaisir est chose basse et vile. « Le vrai plaisir est le mépris des plaisirs » Sénèque. Le plaisir est un trouble de l’âme. Lorsque l’âme, en présence d’un bien tressaille vainement et de manière désordonnée, elle éprouve  du plaisir. Au contraire

Furieuse, elle tuera sa rivale ainsi que ses propres enfants afin de s'assurer que Jason ne puisse plus jamais être heureux avec qui que ce soit. Pendants des siècles, ce mythe épique sera repris par de nombreux auteurs, d'abord par Euripide, puis par Sénèque en passant par Corneille et Anouilh. Le texte présenté ici est un passage extrait de l'œuvre théatrale: Médée "créée" en 1989 par Max Rouquette. Dans ce passage, on s'intéressera d'abord à l'interprétation du personnage de Médée puis

font référence à Ménippe de Gadara, cynique grec du IIe siècle avant notre ère. * Horace qui, par ses Sermones (Conversations), entreprend de faire de la satire un genre aimable. * Perse, poète plus obscur, influencé par le stoïcisme. * Sénèque qui émaille ses textes de philosophie morale d’anecdotes piquantes et proprement satiriques. Il est aussi probablement l’auteur d’une satire ménippée : « L’Apocoloquintose du divin Claude ». * Juvénal qui fera culminer la violence des propos,

Sophocle, appariation d’un personnage chargé de réciter, de raconter : le personnage protatique. C’est un théâtre en vers (poésie épique ou élégiaque) et tragique. § Avec Euripide (IVème s. av JC) : apparition de plus de personnage. § Avec Sénèque (Ier s. ap JC) : mise en scène des dialogues => naissance du théâtre (mélange de gens « ordinaires » avec les héros). § Pollux est un visiteur qui arrive à Corinthe. Il s’informe et découvre => le lecteur découvre avec lui. Pollux est là pour