Seigneurie Encadre Les Paysans

ne supporte pas les évêques qui étaient décris comme : « débauché, ivrognes, ignorants et batailleurs ». Ceux-ci cautionnaient les superstitions païennes (contraires à la foi chrétienne) très répandus dans les campagnes (l’étymologie du terme « paysan » et du terme « païen» est la même). Durant cette période, le Christianisme est surtout un phénomène urbain. Durant son règne, les Clercs vont rédiger un index volumineux dressant toutes les « mauvaises » superstitions condamné par l’Église :

XII ème siècles ) 235 Section I. Les seigneuries 236 Paragraphe 1. Les relations féodo-vassaliques 236 Paragraphe 2. La seigneurie banale 240 Paragraphe 3. La seigneurie domaniale 242 Section II. La société féodale 244 Paragraphe 1. Les orantes ou « priants » 244 Paragraphe 2. Les bellatores ou « chevaliers » 246 Paragraphe 3. Les laboratores ou « paysans » 247 Section III. La justice et le droit

huit jours. Il est contraint à la capitulation. La guerre des paysans La « guerre des paysans » est une expression péjorative, inventée par les autorités pour qualifier les troubles qui secouent le sud et le centre des pays germaniques entre l'été 1524 et l'été 1526. Loin d'être des marginaux, les populations qui s'insurgent entre la Franche-Comté, l'Autriche et la Thuringe, sont des pères de famille établis, majoritairement paysans, et dans une moindre mesure, artisans, bourgeois et travailleurs

des paysans. Les vilains sont soumis à leurs seigneurs. Le seigneur perçoit des droits et des taxes sur tout. Pour survivre, ils vivaient des biens communaux, c'est-à-dire, des terres qui n’appartiennent à personnes telles que les forêts, les étangs ... Le problème est que la production agricole française est insuffisante et que les famines font rage jusqu’au 19ème siècle. Les seigneurs vont donc essayer de s’approprier des communaux ce qui va créer un conflit entre seigneur et paysans.

toucher par la crise. Ils vont connaitre le chômage et même des disettes. Les paysans sont soit obliger de partir des campagnes et trouver du travail dans les villes ou soit de rester en campagne et de demander l’aumône seigneurial ou a l’église. Quand il parte dans les villes ils ne sont pas sur de trouver du travail, ils deviennent des mendiants ce qui entraine des problème d’insécurité dans les villes. Ces paysans acceptent très mal l’évolution de la soc, il accepte peu le maintient du système

cultivent, … et qui permettent aux deux autres ordres de vivre). Cela va s’appeler le tiers-état (le 3ème état). C’est une catégorie fourre-tout qui en est venu à recouvrir une très grande diversité de situations sociales. On y trouve aussi bien le petit paysan non propriétaire que les domestiques que les avocats les médecins, les notaires, les grands commerçants. C’est un ordre qui n’a pas de cohésion. Cette différenciation des 3 fonctions a bénéficié d’une légalisation par les lois du royaume et la jurisprudence

connaissent un accroissement considérable (New-York). Et certaines villes européennes. Cette population agricole qui arrive en ville va surtout travailler dans le secteur des services. B. Une société diversifiée 1. Les difficultés des paysans Société paysanne qui n'est pas uniforme, plusieurs statuts: propriétaire exploitant, fermier (obtient le droit de travailler en échange d'une redevance), métayer (partage de la récolte entre le propriétaire et celui qui exploite l'exploitation). Ils ressentent

se bat pour conserver ses structures, ses valeurs et ses biens communaux (82% du territoire du Briançonnais). Quelques budgets de familles paysannes La notion de salaire et différente de celle d’aujourd'hui. La rétribution du travail se fait parfois en nature, et il y a une variation du salaire. Trois prélèvements sont effectués sur le revenu. Pour un paysan moyen en Auvergne début XVIIème siècle et gagnant environ 100 livres les prélèvements seigneuriaux (±10%), l’impôt royal (- 5%) et la dîme ecclésiastique

catholiques » : ils sont encadrés par l’Eglise et son chef, le pape, qui impose son autorité aux souverains (XI° s.). L’espoir du paradis éternel (Salut) explique cette influenceFonctionnement de la sociétéUne civilisation urbaine : la majorité des habitants vivent dans de grandes villes, parfois immenses, organisées autour d’une grande mosquée et de marchés couverts (les souks). La féodalité : la majorité des habitants sont ruraux, des paysans vivant dans une Seigneurie. En dehors du roi, chaque

s., traverse une crise à la fin du XIIe, avec la montée des hérésies, les courants spirituels d’inspiration évangélique, la baisse de la qualité du recrutement, mais enregistre aussi des acquis solides : - restructuration des diocèses pour mieux encadrer les fidèles, - reconstitution de la puissance financière de l’Eglise, qui se traduit par une vague de constructions d’écoles, de paroisses et d’églises, - disparition de la simonie et succès du principe de l’élection de l’évêque par