Scène 7 Précieuse Ridicules

écrites au XVII e siècle, siècle où nait une nouvelle philosophie, un nouveau mode de vie, la préciosité, mouvement culturel et littéraire. Elle repose sur l’apparence qui se doit d’être raffinée et irréprochable et sur le savoir .Les femmes, appelées Précieuses, veulent s’instruire, elles se retrouvent dans des salons où on discute avec un langage très recherché, on y parle de littérature, on écrit des poèmes. Elles veulent se dégager des a priori des hommes .L’usage de périphrases hyperboliques, de métaphores

I. Courant antérieur de la comédie La tragédie classique est le courant antérieur de la comédie. Elle renaît au XIIème siècle où elle sera au sommet de sa gloire. Elle met généralement en scène des personnages de la mythologie grecque, ce qui est par exemple le cas dans la pièce « Phèdre » de Jean Racine où il est question de Poséidon, Thésée, etc. Généralement, le personnage principal doit faire preuve d'héroïsme et se voit confronté à dilemme de taille comme choisir entre l'honneur ou l'amour

La tragédie au XVIIe siècle Groupement de textes n° 2. Autour de la tragédie classique Séquence 4 – FR20 © Cned – Académie en ligne Visages de la comédie : de Molière à nos jours A. Châtier les mœurs par le rire Texte 1 : Les Précieuses ridicules, sc.9 B. La comédie du mariage Texte 2 : George Dandin, I,4 C. L’utilisation comique du quiproquo Texte 3 : Le Malade imaginaire, I, 4 D. Pour aller plus loin… E. Évolution de la comédie, du XVIIIe au XXe siècle Corrigés des exercices

avec Lully, en créant par exemple "Le Bourgeois gentilhomme". Molière tomba malade en 1666, de la tuberculose, et mourut sur scène en 1673 au cours de la représentation du "Malade imaginaire". Molière est considéré comme le fondateur de la comédie française, et reste une référence en tant qu'auteur français. 2) Résumé Molière, directeur de troupe et metteur en scène ainsi qu'acteur, dirige la répétition d’une de ses pièces qui doit être jouée dans quelques heures devant le roi. Les acteurs sont

Commentaire composé : Molière : L'avare : Acte IV scène 7 : Monologue d'HarpagonTexte étudié : [(Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau.)]HARPAGON - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ! On m'a coupé la gorge, on m'a dérobé mon argent ! Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? où est-il ? où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? où ne pas courir ? N'est-il point là ? n'est-il point ici ? Qui

Au départ, elle parle à la troisième personne du singulier pour montrer sa proximité avec le lecteur. Elle se compare à un théâtre grâce à une métaphore : « Je suis l’impassible théâtre » (v.1), puis elle décrit une scène : « acteurs » (v.2), « comédie » (v.6), « spectateurs » (v.7). Le narrateur évoque ensuite le sujet de la femme qui est tantôt vierge « albâtre » (v.3) et tantôt mère et orgueilleuse comme le montre la répétition de l’adjectif possessif « mes ». Il y a aussi une antithèse entre

références directes à ses contemporains (Les précieuses ridicules) se présentent souvent comme des critiques acides de ses contemporains, en cela fidèle à la devise de la comédie qui « castigat ridendo mores », châtie les mœurs en riant. Le Misanthrope qui met en scène comme le titre l’indique, un personnage, Alceste, rebelle à tout contact humain, intransigeant et aux principes de conduite inflexibles est de ces comédies sérieuses. Cet extrait, la scène 1 de l’acte I, se veut programmatique de la

comédies C. Les personnages de comédie D. Les ressorts de la comédie Fiche méthode : Analyser le texte théâtral Corrigés des exercices Chapitre 2 Visages de la comédie : de Molière à nos jours A. Châtier les mœurs par le rire Texte 1 : Les Précieuses ridicules, sc.9 B. La comédie du mariage Texte 2 : George Dandin, I,4 C. L’utilisation comique du quiproquo Texte 3 : Le Malade imaginaire, I, 4 D. Pour aller plus loin… E. Évolution de la comédie, du XVIIIe au XXe siècle Corrigés des exercices Chapitre

apparaître ou se développer de nouveaux genres théâtraux : farces, soties, moralités, mystères. Les mystères sont souvent joués pour remercier le ciel d’avoir fait cesser un fléau, une épidémie, une guerre ou pour épargner la cité. Ils mettent en scène essentiellement la passion et la résurrection du Christ, parfois des personnages de l’Ancien Testament, les Apôtres, ou retracent la vie de saints. À partir du moment où la division religieuse s’instaure, au XVIe siècle, ils disparaîtront. La Renaissance

que des sorties culturelles. NB : L’étude du Bourgeois gentilhomme a fait l’objet, en 2003-2004 d’un vaste projet de mise en scène de la pièce, avec une classe de 4ème (dans le cadre d’IDD Français / Histoire et Français / Musique) avec laquelle nous avons donné cinq représentations en fin d’année. De nombreuses interventions de professionnels du spectacle : metteurs en scène, comédiens et danseurs, ainsi que plusieurs sorties au théâtre et à Versailles avaient été organisées. Voir le bilan de ce projet