Scythes

Le corpus présent à notre étude contient quatre textes. Deux de ces textes sont versifiés : Fables « Le Philosophe scythe » de La Fontaine (1693), et un du XVIIIe siècle, Le Mondain de Voltaire. A ces textes, s’ajoutent Pensées de Pascal de 1670, ainsi que, Rêveries du Promeneur solitaire, « Cinquième Promenade » de Rousseau, lui aussi étant du XVIIIe siècle. Le thème de ce corpus est le bonheur. Ainsi, nous allons montrer quelle conception chaque auteur exprime le bonheur et par quelles moyens

De quoi chaque auteur fait-il dépendre le bonheur ? Le corpus est composé de quatre textes, d'auteurs et d'époques différents. Tout d'abord, nous avons un extrait des Pensées, de Pascal (1670). Ensuite nous avons une fable, « Le Philosophe scythe », de La Fontaine (1693). Puis nous avons un poème, « Le Mondain » de Voltaire (1736). Et pour finir nous avons un extrait la « Cinquième promenade » dans les Rêveries du Promeneur solitaire (1776-1778). Nous nous demanderons de quoi chaque auteur fait

| |Se trouvant à la fin tout aise et tout heureuse | |De rencontrer un malotru. | |Le philosophe scythe : | | | |Un philosophe austère, et né dans la Scythie,

243 Le Touran, un concept linguistique ou politique ? Au XIXe siècle, les interrogations occidentales sur le monde ottoman ont déjà une longue tradition puisque, dès la fin du siècle précédent, Cuvier avait classé les Turcs dans la branche dite scythe-tatare du groupe caucasien. L’existence de peuples définis comme « blancs » (les Hongrois ou les Turcs) et parlant des langues ni indo-européennes ni sémitiques invite à la réflexion et à la naissance d’une nouvelle taxinomie, celle de Touran. À la

n’est pas lui le personnage principal, il s’agit d’un « scythe » (l4) nommé Babouc qui possède du « discernement » mais qui s’adresse à Ituriel « humblement », il s’agit donc d’un personnage avec un rôle important dans la société, mais qui l’est beaucoup moins qu’Ituriel. Le narrateur nous présente, ensuite, l’action principale, qui est la dure mission qu’Ituriel a confiée à Babouc, le jugement finale de Persépolis. En effet le naïf scythe est envoyé, par le génie, à Persépolis pour juger si celle-ci

Question de corpus Textes : * La Fontaine, fables (1963), « Le Philosophe scythe » * Rousseau, Rêveries du promeneur solitaire (1776-1778), « Cinquième promenade » * Pascal, Pensées (1670) * Voltaire, « Le Mondain » (1736) Question : De quoi chacun des auteurs fait-il dépendre le bonheur ? Pour répondre à cette question, nous avons quatre textes. Une fable de La Fontaine, « Le Philosophe scythe » (1663), un extrait de « La Promenade » de Rousseau (1776-1778), puis un encore

n'aimer jamais que Formosante. Ici, Formosante est assurée de la fidélité de son jeune et bel amant. Amazan s'enfuit vers le pays des Scythes mais encore une fois " la plus belle Scythe de toute la Scythie " est tombée amoureuse de lui. Il laisse à nouveau un billet décrivant son amour et sa fidélité éternelle à Formosante auprès de la belle Scythe et s'enfuit encore. Cependant, les chances que Formosante et Amazan se renvoient semblent s'amenuiser car le narrateur ne semble pas vouloir

générale. Pierre de Ronsard développe l’amour philosophique grâce à des références antiques, ce qui est caractéristique de la renaissance. La première référence est celle du Scythe dans l’affirmation suivante vers 10 et 11 « cellui-là se propose Une vie de Scythe ». Autrement dit celui qui vit sans amour est un barbare, le Scythe étant le type du peuple barbare dans l’Antiquité. Cette affirmation et à nouveau mise en évidence par l’enjambement suivant vers 11 et 12 : « et ses jours veut passer sans

Aimez-moi, nous prendrons les plaisirs de la vie, Pendu l’un l’autre au col, et jamais nulle envie D’aimer en autre lieu ne nous pourra mener. S’il faut bien aimer au monde quelque chose : Celui qui n’aime point, celui-là se propose Une vie d’un Scythe, et ses jours veut passer Sans goûter la douceur des douceurs la meilleure. Eh, qu’est-il rien de doux sans Vénus ? Las ! A l’heure Que je n’aimerai point, puissè-je trépasser ! Problématique Ce sonnet de type marotique, composé d’alexandrin

anthropophage... « Après avoir longtemps bien traité leurs prisonniers, […], celui qui en est le maître fait une grande assemblée de ses connaissants. » (L.6-7) « Ce n'est pas, comme on pense, pour s'en nourrir, ainsi que le faisaient anciennement les Scythes ; c'est pour représenter une extrème vengeance. » (L.11-13) C. … chez un peuple, finalement, pas si éloigné de nous. « Les Portugais » (L.13) - Présent d'habitude -La première personne du singulier ne vient qu'à la ligne 19 -Phrase