Schema Narratif Contes

mère. Il participera, avec Zola, à l'élaboration des Soirées de Médan, recueil de nouvelles publié en 1880 qui sera le manifeste de l'École Naturaliste. Il est l’auteur de nombreuses nouvelles (plus de trois cent) : « Boule-de-Suif » (1880), Les Contes de la Bécasse (1884), « Le Horla » (1889), mais aussi une « Partie de campagne », qui fut adaptée au cinéma par Jean Renoir. Il écrit son premier roman en 1883, Une Vie, suivi en 1885 de Bel-Ami et Pierre et Jean (1887) surtout célèbre pour sa préface

nerveux. Son état mental décline et Guy de Maupassant s'enfonce peu à peu dans la folie. Bibliographie : Boule de suif (1880), Mademoiselle Fifi (1881), La maison Tellier (recueil, 1881), Une vie (roman, 1883), Contes de la Bécasse (recueil, 1883), Toine (1885), Contes du jour et de la nuit (recueil, 1885), Bel-Ami (roman, 1885), La Petite Roque (1886), Le Horla (1887), Pierre et Jean (roman, 1888), Notre Cœur (roman, 1890). PRESENTATION DES PERSONNAGES Cette nouvelle est composée

qui est un élément invariant, il faut entendre le statut structurel du mythe en tant que narration. Ce statut paraît être double : (1) on peut dire que l'ensemble des propriétés structurelles communes à tous les mythes-récits constitue un modèle narratif (2) mais que ce modèle doit rendre compte à la fois (a) du mythe considéré comme unité discursive transphrastique et (b) de la structure du contenu qui est manifesté au moyen de cette narration. 1. L'unité discursive qu'est le récit est à considérer

instruire, « Placere et docere » avait déclaré le poète latin Horace. Il peut se présenter sous de nombreuses formes diverses telles que le conte, la fable, l'utopie, le conte philosophique ou la parabole. Durant l'enfance, il est très courant de lire des contes ou des fables qui font alors rêver voire amusent le jeune enfant, ceux-ci comportent le plus souvent une morale plus ou moins implicite que l'on découvre plus tard. C'est donc dans cette morale instructive que l'on va trouver le rôle didactique du

conte La Belle au bois dormant de Charles Perrault. Ces contes ont une fonction initiale d’instruire le lecteur, cas du Petit Chaperon rouge, où la morale de l’histoire s’adresse principalement à de jeunes filles ou à des enfants, qui devraient rester vigilent et ne pas faire confiance aux inconnus. Cependant il ne faut pas confondre le conte merveilleux aux contes philosophiques, similaire aux contes traditionnelles mais différents car les contes philosophiques cherchent à éveiller l’esprit critique

nombreux détails dans lesquels les élèves peuvent se perdre. Le texte est un récit à la troisième personne empruntant les marques de l’oralité et de l’exposition aux contes. La temporalité est imprécise. La structure du récit : L’auteure respecte la structure classique du conte (cinq parties). On peut retrouver aisément le schéma narratif du texte : La situation initiale : Présentation de la famille d’un riche marchand et de ses enfants : leur caractère et leurs conditions de vie jusqu’à la ruine du

générales de l’œuvre sur le plan du conte philosophie, de l’ironie et de l’écriture voltairiennes.    Situation du passage : Ce texte qui ouvre le conte de Voltaire, décrit la société du château de T.T.T. dans  laquelle vit Candide. Elle se présente comme un paradis terrestre digne des contes de fée. Cependant, des  failles apparaissent dans ce monde, et cette société se révèle bientôt grotesque et factice, notamment ce qui  relève  de  son  pouvoir  et  de  ses  justifications.  En  quoi  cet  extrait  constitue‐t‐il  un  incipit  de 

« Les deux coqs » de Jean de La Fontaine Travail préparatoire : Le titre met en scène un couple d’animaux. Il existe d’autres titres de ce genre dans les Fables de La Fontaine (ex : « Les deux amis »). Extrême minceur du schéma narratif, il s’agit d’un combat entre deux rivaux tranchés par l’intervention d’une justice supérieure représentée ici par un vautour, incarnation du hasard. On peut noter la banalité du thème éthique : les retournements de la fortune, les aléas de la gloire ; la roche

Parmi les vingt et une nouvelles du recueil Contes du jour et de la nuit, Celle que j’ai préféré est La Parure. Je trouve que Maupassant a un style d’écriture très agréable, cette nouvelle se lit vite et aisément, la construction du récit est très bien faite, cohérente et le schéma narratif est clair, je trouve que c’est important et que cela aide à la compréhension globale du récit. J’ai apprécié la façon dont Mathilde est décrite. Dans l’incipit l’auteur raconte la réalité de Mathilde

critique des différents courants de pensée philosophe de l’époque. L’analyse : Quels sont les caractéristiques des contes philosophiques ? I) Les caractéristiques du conte : 1) Les indices qui prouvent que nous sommes bien en présence d’un compte : • La formule « Il était une fois » nous fait rentrer dans une période imaginaire => La situation initiale, composant le schéma narratif (les 5 étapes) • Le titre du chapitre nous indique que celui-ci comporte la situation initiale et l’élément perturbateur