Scenographie Dom Juan

Didier Bezace avec Pierre Arditi, Alexandre Aubry, Christian Bouillette, Jean-Yves Chatelais, Anouk Grinberg, Robert Plagnol, Isabelle Sadoyan et Marie Vialle collaboration artistique Laurent Caillon assistante à la mise en scène Dyssia Loubatière scénographie Jean Haas costumes Cidalia Da Costa lumières Dominique Fortin perruques et maquillages Cécile Kretschmar construction décor Atelier François Devineau production Théâtre de la Commune – Centre dramatique national d’Aubervilliers coproduction

Sous-énonciation : c'est la posture de Dom Juan, lorsqu'il s'adresse à Dom Louis en disant regretter sa conduite passée [21] Oui, vous me voyez revenu de toutes mes erreurs ; je ne suis plus le même d'hier au soir, et le ciel, tout d'un coup, a fait en moi un changement qui va surprendre tout le monde (Molière, Dom Juan V, 1). Il ne pense pas ce qu'il dit, et adopte une posture de sous-énonciateur, en référence à l'image dominante (Noblesse oblige) dont se réclame Dom Louis, et par rapport à laquelle

les deux comédiens confondent l’époque de Louis XIII avec la nôtre, voire qu’ils demandent la participation du public… Le retour de la Cie AFAG Théâtre dans les Francos, qui avait tellement enchanté le public l’an dernier avec La Botte secrète de Dom Juan. Rythme endiablé, combats d’épées impressionnants, texte drôle et plein de surprises, rapport direct avec le public : le rire et la jubilation seront de nouveau au rendez-vous ! Salle municipale (Limay) jeudi 11 avril 19h30 - mardi 9 avril 14h

précisément toutes les pistes de lecture. Certains candidats y sont toutefois parvenus. Analyse du texte En 1668, Molière a déjà beaucoup produit, et en particulier certaines de ses pièces que l’on dit grandes : Le Bourgeois Gentilhomme (1670), Dom Juan (1665), Le Misanthrope (1666), sans oublier Le Tartuffe dont les rebondissements de la représentation ne sont pas clos. Dans le même temps, il s’empare d’une histoire mythologique - les travestissements de Jupiter pour séduire les mortelles dont

d’Honneur avec L’École des Femmes de Molière qu’il a mis en scène avec Pierre Arditi dans le rôle d’Arnolphe. Au Théâtre de la Commune, il a notamment créé en 2004/2005 avis aux intéressés de Daniel Keene qui a reçu le Prix de la critique pour la scénographie et une nomination aux Molières 2005 pour le second rôle. En mai 2005, il a reçu le Molière de la meilleure adaptation et celui de la mise en scène pour la création de La Version de Browning de Terence Rattigan. Ses dernières créations sont

scène lugubre des derniers moments de Léonce. La dramatisation de l’épisode tient au rituel de l’exécution : voiture qui conduit le condamné sur le lieu du supplice, traversée du peloton, séparation et cérémonie des adieux, ultima verba. La scénographie laisse affleurer le souvenir douloureux des exécutions publiques, encore très présent dans la mémoire de lecteurs qui ont connu et qui ont pu être victimes des événements révolutionnaires. En arrièreplan, Delphine évoque « une révolution sanglante

|Interprétation ? Création ? (inédit L/S/ES) + (STG nov 2006) |Questions : 1) Quels sont les éléments communs aux trois textes (situation, personnages…) ? | |- Molière, Dom Juan, II,4 |2) Comment s’établit dans chacun d’eux la complicité avec le spectateur ? | |- Beaumarchais, Le Mariage de Figaro

scène lugubre des derniers moments de Léonce. La dramatisation de l’épisode tient au rituel de l’exécution : voiture qui conduit le condamné sur le lieu du supplice, traversée du peloton, séparation et cérémonie des adieux, ultima verba. La scénographie laisse affleurer le souvenir douloureux des exécutions publiques, encore très présent dans la mémoire de lecteurs qui ont connu et qui ont pu être victimes des événements révolutionnaires. En arrièreplan, Delphine évoque « une révolution sanglante

National de Strasbourg Mary Stuart de Friedrich Schiller, mise en scène de Stuart Seide, du 12 au 28 janvier 2011 Ciseaux, papier, caillou de Daniel Keene, mise en scène de Daniel Jeanneteau et Marie-Christine Soma, du 14 au 22 janvier 2011 Dom Juan de Molière, mise en scène de Julie Brochen, du 8 mars au 18 avril 2011 Pôle Sud Sho-Bo-Gen-Zo, , Josef Nadj, Cécile Loyer, Joëlle Léandre et Akosh S., les 1er, 2, 3 et 4 février 25 ue1 langues vivantes étrangères coef. 1 — ects 3 un module

recourait-il à des techniques de bruitage beaucoup plus grossières. Il semble pourtant que les explications de Sabbattini puissent valoir pour des pièces plus tardives, telles que le Dom Juan de Molière. La dernière scène comporte en effet la didascalie suivante : « Le tonnerre tombe avec un grand bruit et de grands éclairs sur Don Juan ; la terre s'ouvre et l'abîme ; et il sort de grands feux de l'endroit où il est tombé » ([1682] 1971 : vol. 2, p. 85). 6. Sabbattini est de ceux qui font du théâtre le règne