Scarification Corporelle

psychologique. En effet, l'adolescent va subir des changements physiques importants comme l'apparition des règles pour les filles ou l'apparition de poils pour les garçons, c'est ce que l'on appelle la puberté. La puberté est une étape de croissance corporelle et de mise en place des structures biologiques et psychologiques nécessaires à la procréation. L'organisation mondiale de la santé a défini l'adolescence comme: • La progression entre l'apparition de caractéristiques sexuelles secondaires

THEME : le corps et ses marques Sujet : le tatouage comme marque corporelle Année Universitaire 2010-2011 Le tatouage comme marque sur le corps La définition la plus fréquente que l'on donne du tatouage en lui même en faisant des recherches sur internet par exemple se résume en ces lignes : «C'est un dessin à l'encre du japon ou quelques autres pigments, habituellement décoratif ou symbolique, indélébile, sous la peau. La technique du tatouage consiste à introduire dans la peau des matières

aisselles. La maïeusophilie, ou l'attirance sexuelle pour les femmes enceintes. La nanophilie, ou l'attirance sexuelle pour les gens de petite taille. La stigmatophilie, ou l'attirance sexuelle pour les gens possédant des tatouages, des scarifications ou des cicatrices. La tératophilie, ou l'attirance pour des êtres socialement considérés comme difformes, monstrueux, voire inhumains. La trichophilie, ou l'excitation sexuelle par les poils, les cheveux. La trimammophilie, ou le fantasme

lâcher. Les garçons vont vouloir se masculiniser en faisant de la musculation ou un autre sport pouvant les aider à renforcer leur corps. D'autres, plus marginaux, vont vouloir se cacher, ils vont adopter des looks étranges, s'adonner à des scarifications corporelles. Ils peuvent devenir boulimiques, anorexiques, obèses,... En somme, l'adolescent va vouloir, par tous les moyens, accepter ce corps mais aussi faire accepter ce corps à la société. Extrait : "Ecoutez la complainte adolescente : impossible

salons spécialisés. Ce phénomène nous amène à nous pencher sur l'existence de dérives plus ou moins pathologiques dans la façon d'habiter son corps. Je vous propose d'aborder la question en me concentrant sur le problème des modifications corporelles et, plus précisément, sur celui de l'automutilation. Selon le LAROUSSE, la douleur peut être « une sensation pénible, désagréable, ressentie dans une partie du corps » mais aussi « une souffrance morale ». D'ailleurs, en psychiatrie, c'est

végétarien, végétalien… Ces différents comportements alimentaires renvoient au processus individuation/séparation et à la nécessité de maîtriser ses besoins corporels (contrôle). 2. L’obésité ← Introduction Déf. L’obésité : c’est un excès de poids qui dépasse de 20% le poids idéal pour la taille. Il se calcul en indice de masse corporel ou IMC : (poids/taille) ². Epidémiologie : - l’obésité représente 7 à 11 % de la population adolecente, ce qui est une augmentation significative

l’ado est dépendant de la consommation. Il n’a pas de manque et donc pas désir. L’ado utilise son corps comme objet transitionnel comme fait le bébé. Quand l’enfant est en colère, le bébé mort son objet transitionnel. Est-ce que l’ado fait des scarifications, conduites additives pour exprimer sa colère ? Pathologie du lien = peur, angoisses Intervention du Docteur Chenu : L’adolescent et sa famille : patient ou symptôme ? Un sujet est « un être individuel et réel, supposé à la base » Cf

et culture Depuis toujours, les multiples modifications corporelles fascinent l’espèce humaine. Celles-ci sont variées et consistent à modifier le corps de façon à améliorer son apparence ou à symboliser quelque chose de plus profond, elle peut même avoir des fonctions utilitaires. Ces modifications peuvent être diverses : éphémères comme les peintures corporelles et les teintures, mais aussi intemporelles telles que les scarifications, ou encore le tatouage. Les traces les plus anciennes des

silhouette. De même, en Afrique, le cou est un élément dominant de la beauté féminine. Dans certaines ethnies, des concours du plus beau cou étaient organisés. Les femmes portaient plusieurs colliers et bijoux sur leur cou pour ces occasions. Des scarifications à but esthétique étaient pratiquées sur le cou. Le culte de la beauté De nos jours, l’apparence physique exerce une véritable dictature, ce qui impose l’idée d’une conformité obligatoire à un type dit idéal de la beauté. Cet idéal répond à

que le corps permet et les différents statuts qu’il occupe lors des stades de la vie de l’homme. Nous poserons donc la question de l’intégrité d’autrui et le consentement de la victime durant sa vie et après la mort face aux différents mode de scarifications ou changements physique possible. Dans une première partie nous verrons le droit à la vie et la protection du corps humain avec le statut de l’embryon et du fœtus ainsi que celui de l’homme. Dans une seconde partie nous étudierons le respect du