Savons Nous Vraiment Ce Que Nous Désirons

n’importe quel sujet. Introduction : Entrer dans le sujet : montrer pourquoi la question se pose. Nous désirons des quantités de choses. Des choses matérielles : une voiture, de l’argent… ou d’autres plus immatérielles : la gloire, être aimé… Désirer une chose, c’est vouloir l’obtenir. C’est combler un manque par la possession de quelque chose que nous ne possédions pas encore. Mais nous désirons parfois des choses qui sont impossibles : avoir des supers-pouvoirs, être une star de la musique alors

désirer quelque chose que l’on ne peut obtenir ? Comme l’a dit Freud « Le rêve est la réalisation déguisée d’un désir refoulé. », ce qui prouve donc bien que désirer l’impossible n’est pas vraiment en accord avec la réalité. L’échappatoire que nous offre l’impossible est certes attirant, mais nous permet-il vraiment de se sentir satisfait ? C’est une attirance de l’inconnu, cela fascine et inquiète à la fois, ce qui donne une note épicée à la vie ; c’est cette facette de l’inconnu qui nous pousse à

— De même l’épicurisme comme le stoïcisme montrent que l’on n’agit vraiment spontanément que si l’on se connaît suffisamment pour être maître de soi. C’est donc une spontanéité seconde qu’ils proposent — Spinoza affirme de même que la seule liberté réelle pour l’homme se situe dans la connaissance. Or plus nous connaissons et moins nous sommes passionnés et plus nous désirons spontanément connaître. — Par contraste avec la tradition des moralistes

Rien ne peut vaincre la volonté, impérissable et immuable. Même la mort ne supprime rien. De plus, Schopenhauer omet le caractère proprement humain du désir. Si satisfaire tous ses désirs n'est pas une bonne règle de vie, l'alternative est-elle vraiment de n'en satisfaire aucun ? A travers l'analyse de la notion de désir, elle-même directement liée à l'idée que les hommes se font du bonheur, et dans la mesure où le bonheur serait en quelque sorte la résultante de la satisfaction de ce désir -

puisque l'homme est un être de conscience il n'est pas seulement un être de besoins, il est aussi et surtout un être de désirs. Le désir se distingue du besoin dans la mesure où il n’est pas lié à une nécessité vitale. Par ailleurs, nous savons que nous désirons quelque chose quand nous souffrons de ne point le posséder. En effet, la notion désirer provient du latin “desiderare”, c’est-à-dire “regretter l’absence de”. Et si tout désir anticipant un plaisir fait souffrir, alors une vie heureuse serait

études. Les indices non verbaux ont le dessus surtout lorsqu'ils viennent contredire les paroles. Si nous pensons généralement à ce que nous désirons exprimer avant de parler ou d'écrire, la plupart des messages non verbaux ne sont pas délibérés. Nous faisons bien sûr attention à certains de nos comportements non verbaux: nous sourions lorsque nous désirons convaincre les autres que nous sommes heureux, ou encore nous renforçons notre poignée de main pour montrer que nous sommes francs et décidés

de la vie, selon lui, n'est pas d'être malheureux (comme y invite le christianisme : il faut se repentir, souffrir pour expier la faute originelle, etc.) mais d'être heureux. C'est-à-dire chercher à accroître sa puissance, chercher ce qui nous est vraiment utile (l'utile propre). On pourrait y voir une éthique égoïste. Mais c'est surtout une éthique de la raison. D'ailleurs pour celui qui utilise sa raison l'utile propre n'est nullement en opposition avec l'intérêt d'autrui, bien au contraire : «

Le désir, s’énonce difficilement mais pour beaucoup se pratique sans grandes difficultés. Il est bien connu qu’il n’est pas dur de désirer quelqu’un car c’est une émotion dite primaire. On peut désirer des milliers de gens. Mais, que désirons nous vraiment chez eux ? La personne, une partie de cette personne ou comme l’explique Platon, l’image que l’on se fait de cette personne ? le désir est une passerelle qui, même si elle s’énonce avec difficulté, conduit aux sentiments amoureux. Certes

le manque : je désire ce que je n'ai pas, tout comme j'ai besoin de ce que je n’ai pas. Or tout manque se traduit par une souffrance, c’est ce qui nous pousse à le combler, donc la douleur semble être le symptôme du désir lui-même : nous savons que nous désirons quelque chose quand nous ne le possédons pas. Mais si tout désir s'accompagne nécessairement de douleur, alors une vie sans désir est une vie véritablement heureuse. Il peut arriver qu'un amoureux, emporté par sa souffrance, jure de ne

faim et soif, et qui se trouve à égale distance d'un sot d'eau, et sot d'avoine. Il n'y a aucune raison d'aller voir l'eau plutôt que l'avoine, et vise et versa. Qui lui arrive t'il ? ===> L'âne meurt. Lorsque nous agissons, ce n'est jamais vraiment nous qui agissons, mais c'est toujours des forces qui nous détermine, qui nous pousse à agir. A chaque fois que nous agissons, nous pensons que c'est un choix personnel, venant de notre volonté. ===> Or c'est toujours lié à une contrainte ou obligation