Savons Nous Vraiment Ce Que Nous Désirons

idées: Ne désirons-nous que les choses que nous estimons bonnes ? 1 / Analyse du sujet _Il s'agit ici d'un sujet portant sur le thème du désir et plus précisément sur les objets que nous désirons ainsi que sur les conditions du désir. Peut-on affirmer que nous ne désirons que les choses que nous estimons bonnes ? La question peut être reformulée ainsi : est-ce que nous ne désirons que ce qui nous apparaît comme bon (inversement, ne désirons-nous pas aussi parfois des choses que nous savons être mauvaises

Intro de la dissert de philo: Que désirons nous ? Tout d'abord, désirer, c’est tendre vers quelque chose, que cela soit réel ou immaginaire. Mais la « tendance » est souvent assimilée à la pulsion spontanée, mais il ne faudrait pas confondre le désir et la volonté. La volonté est consciente a priori, normalement lorsqu'on a la volonté de faire quelque chose, on sait ce que l'on veux ! Ce qui est conscient dans le désir c’est le fait même de désirer ; ce qui a priori est inconscient c'est pourquoi

l'existence de la pensée et celle de celui qui pense ne sont pas sujettes au doute car nous savons que nous sommes et nous savons que nous avons la possibilité de douter. Nous avons donc conscience que nous sommes un être qui existe et qui a en plus une partie existante intérieure qui constitue la pensée. Il est donc nécessaire de douter de son existence pour prendre conscience que nous existons vraiment. Mais cette conscience de soi peut avoir différents sens. En effet la conscience spontanée de

toute erreur ou de grossières simplifications que je fais . > > En substance (comme je l'ai appris, de toute façon), les bouddhistes croient que toute souffrance est causée par le désir. C'est vraiment un concept logique: > nous voulons ce que nous n'avons pas; > nous souffrons parce que nous désirons des choses et nous ne les avons pas; > Par conséquent, si nous nous libérer du désir (c'est à dire si nous ne désire rien), alors nous devenons libres de la souffrance (c.-à-nous atteindre le niveau

nécessairement plus forts qu’eux car on ne décide pas de désirer, d’avoir des manques à combler. De plus les frustrations qu’ils nous font vivre laissent penser que nous ne dominons pas tant que cela le sujet. Aussi on peut se demander si nous sommes vraiment maîtres de nos désirs et si ce n’est pas le cas comment pourrions-nous en devenir moins esclaves. I. Distinction entre besoin et désire Désir et besoin sont tous les deux orienté vers un bien. On a coutume a voir, dans l’objet du besoin, la réponse

tension vers le « désirable », que celui-ci soit un objet ou une personne. De là, posséder ce désir conduirait à la satisfaction, à l’apaisement. Prenons l’exemple d’un adolescent qui veut une moto sait-il exactement pourquoi il la veut? Est-ce vraiment la moto qu’il désire et ou plutôt une certaine fierté, une certaine assurance devant ses copains. La difficulté est donc de savoir ce que l’on désire? Cette question présuppose qu’il existe un unique désir ayant un unique objet. Or à première vue

soi-même, sur un questionnement existentiel qui concerne tout être humain, peut-on vraiment réduire le bonheur à une simple “affaire privée” ? Proposition de plan I - Le bonheur, dans la mesure où il consiste en un vécu de satisfaction, propre à la personne, relatif à ses désirs et ses préférences, est une affaire privée. Il ne semble pas y avoir de modèle de bonheur objectivement déterminable pour tous, et nous désirons construire par nous-même notre vie, sans que l’on nous impose un idéal de bonheur

animent notre vie, la bouscule, ils lui font prendre des chemins différents … Les désirs amènent tout simplement à vivre, ils ont donc un rôle majeur dans notre existence. Le but d’un désir est sa réalisation et par la suite sa satisfaction ; si nous désirons quelque chose c’est pour que nous l’ayons et, c’est l’enjeu de la problématique que nous nous posons, pouvons-nous réellement combler tous nos désirs ? Nos désirs sont-ils fait pour être comblés ? En réfléchissant sur ce problème, nous éclairciront

d’accord avec soit même. Il peut y avoir plusieurs raisons à cela. Nous pouvons éprouver des remords car dans l’action, il y avait des éléments auxquels nous n’avions pas pensés. On peut aussi éprouver une mauvaise conscience suite à ces remords car nous savons que nous avons agit de cette façon pour être d’accord avec soi-même lorsque nous étions dans l’action. Les changements de mœurs peuvent aussi influencer notre jugement après coup. Aujourd’hui, nous ne pensons et ne réfléchissons pas comme cinquante

“Ne désirons-nous que les choses qui nous semblent bonnes ?” Le désir est ce qui anime l'essentiel de la vie humaine . Sans désirs , l'homme n'aurait aucun goût de vivre . Néanmoins , le désir doit être soumis à une règle que l'on nomme la morale afin de nous préserver de leurs caractères , pour certains , fous et illusoires . Nous sommes donc induit à nous poser la question suivante : “ Ne désirons-nous que les choses qui nous semblent bonnes ?” Il est à noter que pour cette problématique