Savons Nous Vraiment Ce Que Nous Désirons

que c’est nous et pas un autre qui agit. 3. Mais avoir conscience c’est aussi et surtout avoir la connaissance , or connaître ou comprendre quelque chose, c’est en saisir les causes ou le but, le sens, le contenu. Or si nous savons que nous sommes en train de faire, nous ne savons pas nécessairement les raisons et effets de nos agissements. On peut ici penser aux actes irréfléchis, compulsifs ou à tous ces moments où on ne se reconnaît plus. Il est donc possible que nous ne sachions pas ce qui nous

elle conseille ou elle prescrit comment nous devons vivre. Cela suppose donc d'une part que nous en ayons conscience, d'autre part que nous puissions lui désobéir. Or si le désir est une force, d'une part cette force peut nous être inconnue : que savons- nous de ce qui nous fait agir ? DESCARTES croyait très librement désirer les femmes myopes. De plus FREUD nous a appris qu'une partie de notre psychisme pesait à notre insu sur notre comportement. D'autre part, en tant qu'il est une force, le désir

nous et pas un autre. 3. Mais savoir c’est aussi et surtout avoir compris, or comprendre quelque chose, c’est en saisir les causes ou le but, le sens, le contenu. Or si nous savons que nous sommes en train de faire et d’être, nous ne savons pas nécessairement les raisons et effets de nos agissements comme ce que nous sommes vraiment. On peut ici penser aux actes irréfléchis ou à tous ces moments où on ne se reconnaît plus ou à cette difficulté d’être soi-même. Il est donc possible que nous ne sachions

BOTTERO Anouk TL 712 PHILOSOPHIE - DISSERTATION Qu’attendons-nous pour être heureux ? (note: 16/20) Nous ne sommes pas heureux. Du moins, c’est ce que nous soupirons assez souvent en notre for intérieur. Il y a tant de choses que nous désirons et qui pourraient nous rendre heureux… Nous avons tous sensiblement les mêmes; que ce soit du désir le plus « superficiel » (la richesse) au plus raisonnable (une bonne santé par exemple). Mais malgré tout cela, nous sommes toujours en train d’attendre

question de la valeur du désir c’est aussi une question de la valeur de la vie. I) Le désir comme expression d’un manque Pour répondre à la question : qu’est ce que le désir ? On peut d’abord réfléchir à ce qu’il se passe en nous lorsque nous désirons, lorsque l’on exprime un désir par les formules : «  je désire ceci ou cela » ou « je désire que ». On remarque que « désirer » est un verbe d’intentionnalité. On pourrait dire comme Husserl : « tout désir est désir de quelque chose ». On arrive

même orientation sexuelle qu'eux ou parce qu'ils ont pas le même physique ou le même mode de vie du à un handicap. Si tout le monde était libre ce genre de chose ne devrait pas arrivé. C'est de là qu'on peut ce poser la question si la liberté est vraiment innée où alors c'est comme les mathématiques ou n'importe qu'elle autre chose il faut apprendre. Normalement, la liberté est une chose dont on n'a pas besoins d'apprendre car naturellement nous agissons librement et pensons librement sans que

nous et pas un autre. 3. Mais savoir c’est aussi et surtout avoir compris, or comprendre quelque chose, c’est en saisir les causes ou le but, le sens, le contenu. Or si nous savons que nous sommes en train de faire et d’être, nous ne savons pas nécessairement les raisons et effets de nos agissements comme ce que nous sommes vraiment. On peut ici penser aux actes irréfléchis ou à tous ces moments où on ne se reconnaît plus ou à cette difficulté d’être soi-même. Il est donc possible que nous ne sachions

conduire selon une loi universelle alors tout désirs sont à chasser car ils sont personnels et propres à un seul individu. En ce cas là, le seul désir qu’il ne faut pas délaisser est celui qui suit le besoin, c’est-a-dire celui qui relève du vital . Nous savons tous que si nous ne mangeons pas, nous allons mourir de faim, mais nous pouvons pour nous nourrir, nous contenter de faire cuire des pommes de terre ou bien rechercher foie gras ou caviar. Dans la vie quotidienne, le désir dépasse l'ordre du simple

privation ou ce désir pourraient être, d'autre part, la condition même du bonheur ? La conception schopenhauerienne du désir s'exprime ici de manière relativement claire : il faut comprendre que tout désir n'est que l'expression d'une privation. Si nous désirons, c'est que quelque chose nous manque. C'est pourquoi le désir est négatif : il résulte d'une instisfaction première. Comment, donc, une satisfaction pourrait-elle naître d'une insatisfaction ? C'est en substance la question que pose implicitement

stoïcienne, notamment dans son Manuel, où il soutient que le bonheur n’est possible que si l’on distingue 2 catégories de désirs : les désirs à notre portée, et les désirs hors de notre portée, et que l’on renonce à ces derniers. Ainsi, si nous ne désirons que ce qui est à notre portée, nous ne pouvons qu’être heureux puisque tous nos désirs sont satisfaits. Et il paraît sensé de réussir à se raisonner quand nous constatons qu’une action est vouée à l’échec. Il faut aussi distinguer les désirs selon