Sauver Un Coupable Condamner Un Innocent

l'évocation successive de sa mère et de sa soeur provient d'Euripide (v. 337-341), ainsi que d'Ovide (Héroïdes, X, v. 55-62), ce dernier vers est repris d'Antigone de Sophocle (v. 891). 27. Ce refus de prononcer le nom, dont la seule évocation rend Phèdre coupable, figurait déjà chez Euripide ("C'est de ta bouche, non de la mienne que ce nom est sorti": v. 350-352), mais l'hémistiche lui-même -"c'est toi qui l'as nommé"- est directement emprunté à Gabriel Gilbert (Hippolyte, I, 2, v. 131). 28. Cette description

Pour le matelot, cela s’appelle la marée ; pour le coupable, cela s’appelle le remords. Dieu soulève l’âme comme l’océan. Au bout de peu d’instants, il eut beau faire, il reprit ce sombre dialogue dans lequel c’était lui qui parlait et lui qui écoutait, disant ce qu’il eût voulu taire, écoutant ce qu’il n’eût pas voulu entendre, cédant à cette puissance mystérieuse qui lui disait : pense ! comme elle disait il y a deux mille ans à un autre condamné, marche ! Avant d’aller plus loin et pour être

On nomme piété ce cruel sacrifice ; Et l’amour paternel qui fait agir leurs bras Croirait commettre un crime à n’en commettre pas. Médée est éloquente à leur donner courage : Chacune toutefois tourne ailleurs son visage ; Une secrète horreur condamne leur dessein, Et refuse leurs yeux à conduire leur main. Pollux À me représenter ce tragique spectacle, Qui fait un parricide et promet un miracle, J’ai de l’horreur moi-même, et ne puis concevoir Qu’un esprit jusque-là se laisse décevoir.

service ; On nomme piété ce cruel sacrifice ; Et l’amour paternel qui fait agir leurs bras Croirait commettre un crime à n’en commettre pas. Médée est éloquente à leur donner courage : Chacune toutefois tourne ailleurs son visage ; Une secrète horreur condamne leur dessein, Et refuse leurs yeux à conduire leur main. Pollux À me représenter ce tragique spectacle, Qui fait un parricide et promet un miracle, J’ai de l’horreur moi-même, et ne puis concevoir Qu’un esprit jusque-là se laisse décevoir. Jason

convaincu de l'innocence de ce capitaine, condamné uniquement parce qu'il est juif. Il prend, violemment parti pour ce dernier, notamment dans son article, j’accuse, paru le 13 janvier 1898 dans le journal L'Aurore. L'article "J'accuse" a été un élément déterminant dans la révision du procès d'Alfred Dreyfus. Cet article a également valu à son auteur des ennuis judiciaires. Zola a été assigné devant la cour d'assises de la Seine pour diffamation. Condamné à un an de prison et menacé d’arrestation

service ; On nomme piété ce cruel sacrifice ; Et l’amour paternel qui fait agir leurs bras Croirait commettre un crime à n’en commettre pas. Médée est éloquente à leur donner courage : Chacune toutefois tourne ailleurs son visage ; Une secrète horreur condamne leur dessein, Et refuse leurs yeux à conduire leur main. Pollux À me représenter ce tragique spectacle, Qui fait un parricide et promet un miracle, J’ai de l’horreur moi-même, et ne puis concevoir Qu’un esprit jusque-là se laisse décevoir. Jason

sacrifice ; Et l’amour paternel qui fait agir leurs bras Croirait commettre un crime à n’en commettre pas. Médée est éloquente à leur donner courage : Chacune toutefois tourne ailleurs son visage ; Une secrète horreur condamne leur dessein, Et refuse leurs yeux à conduire leur main. Pollux À me représenter ce tragique spectacle, Qui fait un parricide et promet un miracle, J’ai de l’horreur moi-même, et ne puis concevoir Qu’un esprit

dénoncer la théorie de l'optimisme du philosophe Leibniz, qui consistait en croire que bien que le monde ne soit pas parfait, Dieu l'a créé le meilleur possible.  Candide évoque le voyage du héros éponyme qui transformera sa vision du monde innocente et parfois naïve en philosophe. Au travers de ce périple riche en péripéties, il apprend que finalement il ne vit pas dans le meilleur des mondes possibles, comme lui avait appris son maître, Pangloss. CHAPITRE I Candide était

l'accusation qui m'a fait tant décrier et qui a enhardi Mélètos à rédiger contre moi cette accusation. Voyons, que disaient au juste ceux qui me calomniaient ? Supposons qu'ils nous traduisent devant vous et lisons leur acte d'accusation : "Socrate est coupable : il recherche indiscrètement ce qui se passe sous la terre et dans le ciel, il rend bonne la mauvaise cause et il enseigne à d'autres à faire comme lui." En voilà la teneur : c'est ce que vous avez vu de vos propres yeux dans la comédie d'Aristophane

judéo-chrétienne, mais depuis qq années elle revêt une conception bcp plus matérialiste Fonction rétributive cad que la peine est la contrepartie de l’acte. Acte sanctionné en fonction de la faute. On ne s’intéresse pas à ce qui peut advenir au condamné, on ne cherche pas à savoir si il va commettre de nouvelles infractions Si on s’intéresse à ces questions, ce qu’il va devenir , vat-il récidivez on fait de la prospection La sct s’intéresse surtout à la dangerosité de l’individu. Quels sont les