Sauver Un Coupable Condamner Un Innocent

laisse le champ libre à toutes les interrogations concernant le contenu et les finalités de cette œuvre énigmatique à bien des égards : « Ce qu'a fait K..., le héros duProcès, nous ne le savons pas. D'après la morale bourgeoise, il est probablement innocent. On ne peut dire grand-chose ou peut-être rien à sa charge. Cependant, il est diabolique en toute innocence. Il a contrevenu de quelque façon aux lois d'une vie juste. Un tribunal mystérieux lui demande des comptes et finalement il est exécuté « la

vérité Profonde, « le fait obscur et inavouable que la passion est liée à la mort et Qu’elle entraîne la destruction pour ceux qui s’y abandonnent de toutes leurs forces1 » D’ailleurs Tristan et Yseut sont doublement et même Triplement coupables puisque leurs amours sont non seulement adultères Mais incestueuses21 – Marc étant l’oncle de Tristan22 – et qu’elles font fi des Obligations qu’un vassal doit à son suzerain puisque Marc est roi de Cornouailles23. Il est même possible que

5 Jocaste, Antigone, Créon, Créon Qu’avez-vous fait, Madame ? et par quelle conduite Forcez-vous un vainqueur à prendre ainsi la fuite ? Ce conseil va tout perdre. Jocaste Il va tout conserver ; Et par ce seul conseil Thèbes se peut sauver. Créon Eh quoi, Madame, eh quoi ? dans l’état où nous sommes, Lorsqu’avec un renfort de plus de six mille hommes La fortune promet toute chose aux Thébains, Le roi se laisse ôter la victoire des mains ? Jocaste La victoire, Créon, n’est

l'Eglise et au Temple… (115)» Toundi explique de façon très claire les | |conséquences de la bastonnade sur lui. « La scène de la bastonnade m'avait bouleversé. Il y a des spectacles qu'il vaudrait mieux ne jamais | |voir. Les voir, c'est se condamner à les revivre sans cesse malgré soi (116). » Son mépris pour le blanc n'en est que renforcer. Cependant, on| |peut noter que malgré sa prise de conscience, Toundi a toujours besoin de guides qui le conseillent. Grâce à Kalisia, la femme de chambre

principe la sanction pénale ne peut être décidée qu’à l’issue d’un procès. Il existe des exceptions : -les contraventions (timbre amende);  -le projet de loi Perben II et la notion de plaider coupable pour réduire les sanctions pénales (négociations sur la peine entre l’accusation et celui qui se déclare coupable). Quand il n’y a pas procès il y a consentement entre l’accusation et la personne concernée en principe. Donc la sanction peut être également prononcée avec l’accord de celui qui subit la

elle était trop sévère, il la tempérait ; et quand on manquait de lois, son équité en faisait qu’on aurait prises pour celles de Zoroastre3. C’est de lui que les nations tiennent ce grand principe : qu’il vaut mieux hasarder de sauver un coupable que de condamner un innocent. Il croyait que les lois étaient faites pour secourir les citoyens autant que pour les intimider. Son principal talent était de démêler la vérité, que tous les hommes cherchent à obscurcir. Dès les premiers ©HATIER 30 35

les monarques étrangers, c'est la première fois qu'on voit une coalition des pays étrangers.On observe que les Montagnards face à ces nombreuses menaces mène une politique de Terreur.B - Quels sont les objectifs de la Terreur ?Elle veut protéger et sauver la Révolution contre le double dangers qui la menace, d'un côté à l'intérieur, avec les Vendéens et les fédéralistes et de l'autre à l'extérieur, les grandes puissances européennes.C - Quels sont les moyens de la Terreur ? Le « gouvernement

convaincus d’avoir contribué à « sauver la France » ; il y en a même pour afficher leur certitude que Napoléon III va les récompenser pour leur courage et leur fidélité… Ils se trompent, bien sûr. Le soir même, la nouvelle du massacre s’est répandue. Les autorités horrifiées, qui y voient le prologue à une moderne « jacquerie », n’ont pas de mots assez durs pour condamner cet impitoyable assassinat. La troupe est dépêchée à Hautefaye et se saisit des coupables. {text:soft-page-break} Le 4 septembre

surtout des faiblesses des deux protagonistes. Difficile alors de dire qui a tort et qui a raison... L’école des femmes, 1662, comédie : Arnolphe, un homme assez vieux a placer une jeune femme, Agnès dans un couvent pour qu'elle reste vierge, innocente et bête. Pourtant celle-ci va aimer Horace et en sera aimée en retour sous le regard d'Arnolphe qui ne se résignera qu'à la fin de la pièce à ne pas épouser Agnès .   Le bourgeois gentilhomme,1670, comédie-ballet : Maître de musique, maître à

premier temps, la structure fait l’objet d’un résumé analytique. Puis, les personnages sont traités dans leur dimension proprement tragique : Phèdre, Hippolyte, Aricie et Thésée sont conçus par Racine comme des héros « ni tout à fait coupable[s], ni tout à fait innocent[s] ». Enfin, la troisième piste s’intéresse à Phèdre comme tragédie classique : elle récapitule les principes de la doctrine classique et signale à quel point la pièce y est fidèle. Pour aller plus loin, on pourra se reporter à la liste