Satyre

pièce II – LES ASPECTS COMIQUE D’UNE PIECE THEATRALE ONT AUSSI UN ROLE PLUS PROFOND 1) La critique de la société 2) La critique des mœurs 3) Le comique pour corriger les vices et les peurs de l’être humain 4) Le comique, indispensable pour le satyre

Lettre 37 –Montesquieu- Extrait des Lettres Persanes. • Roman épistolaire publié anonym à l’étranger. • Ctx : la monarchie absolue de Louis XIV. Thm : Echange entre Usbek & Smyrne Critique sévère (satyre) d’ordre privé et politique. • Registre satyrique et polémique _Système énonciation + argumentation = portrait_ §1 : présentation §2-3 : caractère §3 : impressions I) La lettre double système d’énonciation Qui parle à qui quand ou comment ? En réalité : M. aux Fr. instruits. Ecrit

représentation va évoluer en même temps que le genre lui même. → moyen age : théâtre de rue, gestuelles, troues allemandes ou italiennes - tréteaux dans les forts et sur les places - théâtre « auberge » - théâtre jouer en ville/village, divertissement, satyre → XVI/XVII° siècle : le théâtre a l'italienne a. Le théâtre : b) la Commédia Dell'Arte Présentation des personnages : recherche personnelle. Origine : en Italie, du 16e au 17e siècle = théâtre professionnel. Les comédiens de l'art

de cinquante personnes hurlait en tournant autour d'un autel où l'on immolait un bouc. De là vint le mot tragédie (du grec tragos = bouc, et ôdè = chant), qui veut dire chant du bouc. Selon quelques-uns, les personnages du choeur se déguisaient en Satyres, avec des jambes et des barbes de bouc, pour figurer le cortège habituel de Dionysos. L'auteur du plus beau dithyrambe obtenait en récompense un boeuf, et non pas un bouc, comme l'ont dit Horace et Boileau. Thespis semble avoir, le premier, mis en

L’expression « pantomime des gueux » lui est d’ailleurs attribuée et Lui se montre presque plus mesuré : « Ma foi, ce que vous appelez la pantomime des gueux, est le grand branle de la terre ». Enfin, lorsqu’il explique « je vois Pantalon dans un prélat, un satyre dans un président, un pourceau dans un cénobite, une autruche dans un ministre, une oie dans son premier commis. », il donne des qualificatifs précis à des personnalités, les disqualifie et les juge. Le mot « pourceau » attribué à un « cénobite »

tout, comme si c'était l'être supérieur: «il leur soutint que leurs personnes, leurs mondes, leurs soleils, leurs étoiles, tout était fait uniquement pour l’homme» (Chapitre VII). Encore une fois le ridicule de cette vision des choses ramène à la satyre et marque une pause dans la réflexion philosophique. Le personnage de Micromégas même se met à rire: «À ce discours, nos deux voyageurs se laissèrent aller l’un sur l’autre en étouffant d’un rire inextinguible [...] Le Sirien reprit les petites mites

caricaturant, en ayant recours à l’exagération. Histoire : Nous ne savons pas précisément d’où provient la satire. Cette dernière pourrait apparaître au IVème siècle, à Rome, avec le grammairien Diomède qui annonce qu’elle fût créée par les Satyres. Quintilien prétend, au contraire, qu’elle fût une création latine qui signifierait « pot-pourri ». D’ailleurs, en latin, la satire est reconnue grâce à sa particularité d’utiliser l’hexamètre dactylique (mètre surtout utilisé en grec ancien et en

des pièces de théâtre. Voici la liste de ses oeuvres théâtrales: Œuvres théâtrales 1960 : Génousie 1961 : 7 Impromptus à loisir (L'Azote, Edouard et Agrippine, Le sacrifice du bourreau, Le Défunt, Poivre de Cayenne, Le grand vizir) 1963 : Le Satyre de la Villette (qui fit scandale) 1964 : Le Général inconnu 1965 : Le Cosmonaute agricole, Du vent dans les branches de sassafras (l'une des plus jouées) 1966 : Du vent dans les branches de Sassafras 1966 : L’Air du large 1968 : ...Et la fin

est un représentant des classiques, c'est un petit bourgeois qui va devenir courtisant. Ce texte date du 17e siècle, Date à laquelle Paris voit exploser sa démographie et les transports se multiplient. Son œuvre « Les embarras de Paris » est une satyre de l'environnement parisien autour du poète .Dans son poème il explique le bruit permanent auquel tout poètes vivant a Paris est confronté. Il en va même de comparer la capitale a une fourmilière : »D'un peuple d'importuns qui fourmille sans cesse

et noire, que l’on trouve surtout dans les champs de pommes de terre. - un photophore : coupe de verre destiné à recueillir une bougie. - un satiriste : auteur de satire. - une satire : texte qui s’attaque à qqn, en se moquant de lui. - un satyre : dans la mythologie, un être mi-homme, mi-bouc. - une crypte : caveau souterrain avec relique. - cryptographier : écrire en code secret - un cryptogramme : qqch écrit en code secret - cryptique : caché, occulte, secret ou qui vit dans les