Satyre

originellement dire « chant du bouc ». Mais les raisons d’un tel vocable ne sont pas très claires. La tragédie pourrait avoir été d’abord liée au satyre, compagnon de Dionysos, mi-homme mi-bouc. Cette hypothèse semble étayée par Aristote qui affirme dans sa Poétique1 que la tragédie est d’origine satirique et légère2. Elle soulève toutefois des difficultés : le satyre n’est jamais appelé « bouc » dans les textes grecs et bien peu de choses semblent relier les tragédies grecques conservées et le genre satirique

Micromégas est une réflexion sur l’entendement humain et les limites de la connaissance, une satyre visant les erreurs d’appréciation des hommes : les géants incarnent la hauteur de vue nécessaire à un jugement droit. La morale du conte est une leçon de relativisme et d’humilité, d’acceptation et de sagesse : l’homme doit se contenter de ce qui lui est accessible. - L’œuvre : Micromégas est un conte philosophique qui intègre la recherche de la vérité et de la raison dans le cadre d’un récit invraisemblable

sombre et désespéré ; mais il n’a pas non plus fait le choix de rendre ce tableau idéalisé, en jouant avec des couleurs plus vives et en rendant le christ supérieur aux hommes. Dans ces deux extraits de textes étudiés, nous pouvons remarquer que la satyre se glisse de toute part dans réalisme de ces des du texte, et plus particulièrement vers la fin des extraits. La moquerie est en effet présente dans le texte, puisque il semblerait que Balzac et Flaubert ne cessent de caricaturer les lieux, ainsi

Devoir de fin de séquence Le document que vous allez lire est composé de plusieurs parties : • la synthèse finale de la séquence sur la poésie qui revient sur les principales fonctions de la poésie. Cette synthèse finale pourra vous aider à faire le devoir final car il vous apportera des idées que vous pourrez réexploiter ; • le devoir maison obligatoire qui se compose de deux sujets. Vous devez n’en faire qu’un. Il permet de revenir sur les principales méthodes vues en classe au cours de cette

physiquement parlant, mais sa présence est notoire tout le long du roman, du tableau où elle est peinte, par les commentaires et les récits qu'elle fait, virtuellement, sur les coutumes et pratiques sexuelles de deux familles rivales. Ce livre est une satyre sans pitié dépeignant une certaine tranche de la société du XIXème siècle en France, allant du paysan frustre et de ses petites magouilles familiales ou politiques, et passant par une bourgeoisie aux idées étroites et ambitieuses jusqu'à la cour de

« très bien » à la fin de presque chaque vers. Non les règles ne sont pas respecter : peu de rime(sauf les très bien), les vers n’ont pas le même nombre de syllabes, il n’est composé que d’une seule strophe de 14 vers. Queneau établis un véritable satyre envers les gens de la haute société et tente de nous montrer que malgré qu’ils soient fortunés, ils ne sont pas intelligents et supérieurs à nous. -Un quatorzain sans synérèse/diérèse. Mis en prose du poème -Mise en prose du poème -> pas de storophe

Flamina. Scène 3 Lisette Flaminia Flaminia donne une leçon de séduction vis à vis d’un homme de la campagne insensible aux bonnes manières de la cour à sa sœur Lisette et l’envoie charmer Arlequin, et espère qu’il succombera à ses charmes. Satyre social des femmes de la cours. Scène 4 Arlequin Trivelin Trivelin propose de la part du Prince de nombreux avantages à Arlequin en échange de Silvia. Mais Arlequin refuse toutes les propositions qui lui sont faites sauf un bon repas qu’il

avecl’éloge de Socrate qui précède,2ème mouvement : • « Les Silènes étaient jadis de petites boites, comme celles que nous voyons à présent dans les boutiques des apothicaires, sur lesquelles étaient peintes des figures drôles et frivoles : harpies, satyres, oisons bridés, lièvres cornus, canes batées, boucs volants, cerfs attelés, et autres figures contrefaites à plaisir pour inciter les gens à rire (comme le fut Silène, maître du Bacchus). Mais à l'intérieur on conservait les drogues fines, comme le

mystique. Ses attributs incluent tout ce qui touche à la fermentation, aux cycles de régénération. Il est fils de Sémélé, avatar de la déesse phrygienne de la terre, amant d’Ariane, déesse minoenne de la végétation, et le compagnon des nymphes et des satyres. Il est également fréquemment associé au bouc et au taureau, animaux jugés particulièrement prolifiques. Il est surtout le père de la comédie et de la tragédie (du grec τράγος / trágos, « bouc »). C’étaient au départ des sortes d’« illustrations »

et lui demande de faire à son tour un éloge de l’amour. Ce dernier refuse car s’estime trop ivre et choisit de faire l’éloge de Socrate sur qui il souhaite dire la vérité. Socrate séducteur (cf. Silènes et satyre Marsyas) Socrate utilise son langage pour séduire => rapprochement du Satyre Marsyas qui charme avec sa flûte. Orateur différent de Périclès car Socrate n’est pas éloquent. La personne de Socrate inspire la honte d’Alcibiade. Socrate a une apparence bouffonne tout comme les Silènes