Salon d'Hercule

mondaine. Tout d’abord, il est évident que Mme Verdurin essaie de se donner une marque sociale, afin d’exister, aux yeux de ses connaissances et aux siens. Pour ce faire, elle se perche en hauteur afin de « dominer » les habitués de ses réunions de salon, elle tente de se donner une espèce d’importance mais cela paraît bien entendu grotesque : en effet, le siège sur lequel elle est assise n’est autre qu’une espèce d’escabeau en sapin ciré, création du plus mauvais goût : « Mme Verdurin était assise

s’y réfugier pendant la guerre de 1870 et y séjourne ensuite à plusieurs reprises. C’est pour marcher sur ses traces que Braque s’y rend pour la première fois en 1906, puis en 1908 après avoir vu la grande rétrospective posthume du peintre d’Aix au Salon d’Automne. Dans un entretien, il confie s’y être rendu « avec une idée déjà faite… mes premiers tableaux de L’Estaque étaient déjà conçus avant mon départ ». Parmi les toiles peintes durant son deuxième séjour, pendant l’été 1908, Le Viaduc à L’Estaque

Rapport d’activité en entreprise Salon de thé Picorette : Granville (Manche) Introduction Ouverture vers un futur professionnel dû à la richesse d’une expérience. Étant donné la spécificité de ma condition d’étudiant en formation initiale n’ayant pas d’entreprise fixe, j’ai effectué ma période professionnelle dans divers établissements. Si la diversité des établissements dans lesquels j’ai travaillé m’a permis de cumuler des expériences enrichissantes, une l’a été plus particulièrement

que je ne connaissais toujours pas le nom de ce garçon et un léger sourire s’étira sur mes lèvres. Enfin, il se présenta sous le nom du chevalier Des Grieux. Je répondis que ce fut un plaisir de faire sa connaissance. Il insista en me proposant le salon de thé qui se trouvait au bout de la rue. L’idée d’aller m’enfermer seule au couvent me déplaisait, je finis donc par céder et accepta de le revoir.

simples. Mais si on se demande qui est " cubiste ", la première réponse sera : " C’est un peintre de l’école Braque-Picasso ". Cette définition fut proposée le 23 avril 1911 dans le journal "Le Petit Parisien ", peu après l’ouverture du scandaleux Salon des Indépendants qui eut lieu du 21 avril au 13 juin de la même année. Scandaleux car une salle est réservée aux cubistes, ce qui a fortement choqué les puristes de l’époque. Pourtant, ni Picasso ni Braque n’y ont participé. Le cubisme est donc un

peinture du début XXème siècle : débute en1900 et se termine vers 1910 mais n’a existé réellement que de 1904 à 1908 avec trois expositions majeures durant cette partie. Son nom a été donné par accident par un journaliste –Louis Vauxcelles- lors du Salon d’Automne de 1905.Le grand maître de ce mouvement est Henri Matisse (1896-1954). Le mouvement prend fin car les artistes se dispersent et ont peur de rompre l’esthétisme de ce mouvement. Source et objectifs On remarque un retour imposant de la couleur

donc décidé de se détacher par leurs propos. Ainsi s'est instauré un véritable jargon précieux. Les Précieux se retrouvaient dans des salons littéraires, fondés par de grands aristocrates, situés majoritairement à Paris ou en Provence. Pour accéder à un de ces salons, il faut avoir une noblesse de sang et également une « noblesse de l'âme ». Dans ces salons, les discussions reposent sur la relation amoureuse, des questions d'amour, de littérature, on y lisait même des poèmes. La préciosité comportait

Présentation : Première femme primée par l'Académie Française, Madeleine de Scudéry fut une des romancières du courant précieux du 17ème siècle. En 1652, elle réunit dans son salon du Marais tous les samedis, des gens de lettres. Tous les ans, elle publie un ou plusieurs tomes de ses romans fleuves, dans lesquels les habitués du salon se reconnaissent sous des surnoms: Sapho, Acante, etc.. Une querelle surgit entre Madeleine de Scudéry et l'abbé d'Aubignac, qui se disputent l'invention de la fameuse Carte

Le fauvisme est un courant de peinture du début du XXe siècle. Tiré d'une expression du journaliste Louis Vauxcelles, il débuta historiquement à l'automne 1905, lors du Salon d'automne qui créa scandale, pour s'achever moins de dix ans plus tard, au début des années 1910. En fait, dès 1908, il est déjà à son crépuscule. Son influence marqua néanmoins tout l'art du XXe siècle, notamment par la libération de la couleur. Le précurseur du fauvisme était Henri Matisse, mais d'autres grands artistes, comme

désormais promouvoir une économie de la rareté linguistique qui fut, par la suite, comme une marque du classicisme. XVIIème siècle - Les salons littéraires et mondains. Le premier salon littéraire fut celui de la marquise de Rambouillet, ouvert vers 1610. L'exemple fut suivi par Mlle de Scudéry, Mme Scarron (Mme de Maintenon), Ninon de Lenclos, etc., dont les salons jouèrent un grand rôle dans l'expression de la " préciosité " comme dans la formation du goût classique. Les jeux d'esprit y étaient