Salman Singh

» 1. Y a-t-il des passages que vous trouviez compliqués, que vous n’avez pas compris ? Pourquoi ? 2. Y a-t-il des scènes auquelles vous ne vous attendiez pas ? Pourquoi ? 3. Pourquoi l’auteur a-t-il voulu écrire ce roman ? (comparez à Salman Rushdie, qui écrit pour comprendre, pour éclaircir....) 4. Quelle est la fonction d’un romancier selon Beigbeder ? p.111 5. Regardez à la page 12, les paratonnerres. Le réalisme , c’est quoi ? p.20 : coordonnées, ... p36, p51, p.76 , p 82

musulmans envahisseurs, porteurs de tous les maux et de tous les dangers. A quoi rime donc cette minicroisade digne d'un pamphle taire de bas e tage? La reconnaissance litte raire ne lui suffit-elle pas? Aspire-t-il a un statut de star mondiale a la Salman Rushdie, provoque par une fatwa gratuite e mise par un imam du Pakistan ou du fin fond de l'Egypte? Serait-il ravi de voir dans tous les JT du monde sa photo brïle e et son nom scande par des foules manipule es? Ou bien tout ce cirque ne seraitil

politique (« Comment l’écrivain et l’État peuvent-ils cohabiter ? », p. 196), en particulier sur les rapports de l’artiste au pouvoir, analyse qui s’éclaire de références multiples non seulement à la situation de quelques écrivains de par le monde (Salman Rushdie, Ken Saro Wiwa…), mais aussi à la situation sud-africaine durant l’apartheid et immédiatement après l’accession au pouvoir de Nelson Mandela. Nadine Gordimer puise aussi dans son expérience personnelle (relatant au passage son engagement en

I) Présentation des œuvres. 1) Les versets sataniques de Salman Rushdie. Salman Rushdie est un romancier britannique d'origine indienne, né à Bombay en 1947. Les versets sataniques est le quatrième roman de Salman Rushdie, il a été publié en 1988. Salman Rushdie fût condamné à mort par un décret islamique pour «blasphème envers le prophète Mahomet» lors de la parution de son roman. Il est devenu célèbre dans le monde entier après que l'ayatollah Khomeini ait lancé une fatwa contre l'auteur

Indledning Forsideteksten til Picador udgaven fra 1981 af den anglo-indiske forfatter Salman Rushdies (1946-) Midnight’s Children (1981) indeholdt den glædelige nyhed, at “At last a literary continent has found its own voice”. “[J]ust elide several thousand years of Indian literary history and presto, the “representative” Indian voice!”1 skriver den britiske professor i Commonwealth og postkolonial litteratur Graham Huggan (1958-) i et polemisk svar. Dermed rejser han det presserende spørgsmål om

évènements tels que les attentats qui rend les gens si inquiets à propos de la religion musulmane. Il faut également rappeler que l’islam n’est pas l’islamisme. De la part de l'Occident : l'Islam, c'est le fanatisme (voile, lapidation, fatwa contre Salman Rushdie, Taslima Nasreen, Ayan Irsi Ali etc.), c'est le terrorisme, c'est une démographie incontrôlée. Part de vérité ? Fanatisme : c'est un phénomène plus social que religieux, même s'il emprunte les habits de la religion. Pour prendre les principales

il ne faudrait pas oublier qu’à l’époque de l’hégémonie de l’Eglise catholique, peu de penseurs libres osaient se déclarer totalement athées… Athée, anti-religieux, voilà comment se définit ouvertement Hamid Zanaz. Sachant ce qu’il en a coûté à Salman Rushdie d’avoir écrit Les versets sataniques (que les lanceurs de fatwa n’ont sans doute même pas lu), à Taslima Nasreen et à Ayan Hirsi Ali d’avoir contesté les préceptes coraniques, on ne peut que saluer un tel courage, qui n’est pas seulement intellectuel

là-bas, dans l’ex-Tchécoslovaquie. Il le fait d’une manière extrêmement étendue et cohérente, il essaie autant de nettoyer Kafka des interprétations purement politiques ou trop étroitement sociologiques que de défendre, par exemple, un Salman Rushdie. Sa défense de Salman Rushdie me semble digne d’être citée parce que c’est dans sa logique qu’apparaît toute la dialectique de l’engagement et du non-engagement. Dans un article paru dans la revue « L’infini » publiée chez Gallimard et intitulé « Le jour

cinq kakkar, sont cinq symboles que Guru Gobind Singh introduisit afin que les sikhs puissent se renconnaître entre eux : kesh (chevulure non coupé), kangha (peigne de bois ou d'ivoire, kucha, (caleçon court), kara (bracelet d'acier), kirpan (épée). Ils sont concentrés dans l'état du Pendjab. Leur lieu sacré est le Darbar Sahib ou temple d'or à Amritsar au Pendjab.. Beaucoup de sikhs portent le nom de Singh, qui signifie "lion" mais tous les Singh ne sont pas forcément des sikhs ! Bouddhisme :

l'a fait aujourd'hui et hier. Ce sera sanglant aussi mais cela aura plus d'échos dans les médias." Annulation possible ? "Aucune idée'' Ecclestone s'inquiète et il a déclaré au Daily Telegraph qu'il n'était pas parvenu à contacter le Prince Salman ibn Hamad ibn Isa Al Khalifa pour s'entretenir sur les événements. "Comme vous pouvez l'imaginer, il est un peu occupé ces temps-ci", a déclaré Mister E. "Alors je ne sais pas vraiment ce qu'il se passe. Il y a un danger évident. Si ces personnes