Salamano

mère de Meursault. Marie Cardona: Elle joue un rôle important dans la vie de Meursault; Elle éclaire ses sentiments peu présents et est sa maîtresse. Elle rit beaucoup, respire la joie vivre et aime beaucoup Meursault. Elle est son contraire. Salamano : Vieillard habitant sur le même palier que Meursault. Il bat son chien mais il est paniqué lorsque celui-ci vint à disparaître. Il tient beaucoup à lui malgré tout et apprécie quand même Meursault. Raymond : Il habite dans le même immeuble que

"maman" et jamais "ma mère", son attitude à l'enterrement peut être considérée comme le principal indice de son insensibilité. Sur la vie commune qu'ils sont menés avant sa mort, nous n'aurons guère autre renseignement que la confidence faite à Salamano : "Il y avait longtemps qu'elle n'avait rien à me dire". Pour finir, la révolte de Meursault prendra la forme d'un sacrilège : "Que m'importaient la mort des autres, l'amour d'une mère …" Les grandes douleurs, on le sait, sont muettes. Ainsi s'expliquerait

Pourtant en une année d’instruction il y a un changement d’opinion : le directeur de l’asile, à la page 11, justifie Meursault pour avoir mis sa mère à l’asile et au procès il le lui reproche (« Cette fois-ci il n’a rien ajouté »). Céleste, Masson et Salamano n’apportent d’éléments sur aucun des « deux crimes » mais ils en apportent sur Meursault en tant qu’homme. Ensuite, il y a Marie et Raymond. Marie, elle, témoigne maladroitement. Le procureur réussit à la déstabiliser en l’accusant d’avoir des scrupules

autant qu'elle me tenait » (l.16), « comprenait-il donc ce condamné et que du fond de mon avenir. J'étouffais en criant tout ceci » (l.56-58).       De plus, à partir de la ligne 47, il y a une série d'énumération, un parallélisme entre le chien de Salamano et sa défunte femme, la petite femme automatique, la femme de Masson et Marie, Raymond son simulacre d'ami et Céleste, Marie et un nouvel amant. C’est un constat établi à vif sur le seuil de la mort, à défaut de retracer comme d'autres les bons moments

autant qu'elle me tenait » (l.16), « comprenait-il donc ce condamné et que du fond de mon avenir. J'étouffais en criant tout ceci » (l.56-58). De plus, à partir de la ligne 47, il y a une série d'énumération, un parallélisme entre le chien de Salamano et sa défunte femme, la petite femme automatique, la femme de Masson et Marie, Raymond son simulacre d'ami et Céleste, Marie et un nouvel amant. C’est un constat établi à vif sur le seuil de la mort, à défaut de retracer comme d'autres les bons moments

autant qu'elle me tenait » (l.16), « comprenait-il donc ce condamné et que du fond de mon avenir. J'étouffais en criant tout ceci » (l.56-58).      De plus, à partir de la ligne 47, il y a une série d'énumération, un parallélisme entre le chien de Salamano et sa défunte femme, la petite femme automatique, la femme de Masson et Marie, Raymond son simulacre d'ami et Céleste, Marie et un nouvel amant. C’est un constat établi à vif sur le seuil de la mort, à défaut de retracer comme d'autres les bons moments

autant qu'elle me tenait » (l.16), « comprenait-il donc ce condamné et que du fond de mon avenir. J'étouffais en criant tout ceci » (l.56-58). De plus, à partir de la ligne 47, il y a une série d'énumération, un parallélisme entre le chien de Salamano et sa défunte femme, la petite femme automatique, la femme de Masson et Marie, Raymond son simulacre d'ami et Céleste, Marie et un nouvel amant. C’est un constat établi à vif sur le seuil de la mort, à défaut de retracer comme d'autres les bons moments

était privilégié. Il n’y avait que des privilégiés. Les autres aussi, on les condamnerait un jour. Lui aussi on le condamnerait. Qu’importait si, accusé de meurtre, il était exécuté pour n’avoir pas pleuré à l’enterrement de sa mère? Le chien de Salamano valait autant que sa femme. La petite femme automatique était aussi coupable que la Parisienne que Masson avait épousée ou que Marie qui avait envie que je l’épouse. Qu’importait que Raymond fût mon copain autant que Céleste qui valait mieux que

Marie part très tôt le lendemain, Meursault et seul et passe la journée sur son balcon et observe les allée et venue des gens. Chapitre 3 : Lundi, retrouve son, bureau, le patron, et la travail. Le soir en rentrant chez lui il rencontre le vieux Salamano son voisin de palier puis son deuxième voisin de palier Raymond qu’il invite a venir manger un morceau. Raymond propose un amitié et de se confié a lui. Raymond ne savant pas écrit demande à Meursault de lui écrire une lettre pour s’excuser aux prés

à l'indifférence de Mersault qui est démontré par ces réponses à Marie « ça m'est égal » quand elle lui demande de l’épousé. Raymond (amis de Mersault) Il est essentiel dans le développement de l'action. Il va défendre Mersault devant le juge. Salamano (voisin de Mersault) est un voisin de palier. On voit sa relation amour-haine avec son chien, et aussi sa solitude après la mort de sa femme. La mère de Mersault  Le directeur de l'asile (où est morte la mère de Mersault) Il représente l'ordre