Salamano

l'ennuyait, « c'est qu'il avait encore un sentiment pour son coït ».'' (P.52_L.17-19) Calculateur ''Il voulait lui écrire une lettre...et il la mettrait dehors.'' (P.53_L.16-22) Malfaisant ''Il l'avait battue jusqu'au sang.'' (P.51_L.26) Le vieux Salamano Cruel ''Il bat son chien alors et il l'insulte'' (P.46_L.11-12) Nostalgique ''Et au bizarre petit bruit qui a traversé la cloison, j’ai compris qu’il pleurait.'' (P.65_L.23-25) Marie Cardona Sentimentale ''Après un autre moment de silence…qu’elle

cercueil, puis se réjouit à la perspective de dormir « pendant douze heures » (p. 31). Le lendemain il a de la peine à se lever, il dort « jusqu'à dix heures ». Quand Raymond vient frapper à sa porte, il le trouvé couché (p. 62). Il bâille quand Salamano lui raconte son histoire, enfin, il dort dans sa cellule de seize à dix-huit heures par jour. (f> • i ? ?) • Son indifférence : il est indifférent à son avenir quand son patron lui propose de l'envoyer à Paris, il est indifférent au mariage

invités. • La mère de Meursault meurt dès le début du roman. On possède très peu d’informations sur ce personnage mis à part que Meursault l’avait placé dans un asile. • Céleste est un cuisinier chez qui Meursault mange tous les dimanches. • Salamano est le voisin de palier de Meursault. Il a la soixantaine et habite avec son chien. • Meursault est le personnage principal du roman. Au cours du livre, on en apprend très peu sur son physique mis à part qu’il est bronzé et qu’il a la trentaine

formes dans un éblouissement obscur ». En quoi la dernière expression de la citation illustre-t-elle cette œuvre ? (3 pts) QUESTIONNAIRE A 1. Réponse : G B I E A D H F J C 2. L'asile est situé à Marengo, 80 km d'Alger 3. Marie 4. Salamano 5. Thomas Pérez. Insensibilité totale ; n'a pas pleuré 6. A cause de l'habitude 7. Pas de sentiments bien précis. Il apprécie son allure, ses attitudes. Il est content, semble-t-il, d’être avec elle. Désir physique. Il dit qu’il ne l’aime

aussi la partie de cette certitude : quand est-on mort ? Quand vit-on ? L'antithèse « mort »/ « vie » employée dans la même phrase met en valeur l'indifférenciation des deux états. Toute certitude disparaît devant la mort prochaine «  le chien de Salamano valait autant que sa femme ». Chaque personnage du roman est cité, mais tous sont équivalents, interchangeables. Leur relation à Meursault est indifférenciée, ils sont « les autres ». L'être humain se retrouve seul finalement face à la multitude

le dépassement, il est bon de noter qu’il passe ses loisirs (ainsi que jours de congé) au balcon à observer la foule qui se trémousse devant lui. Par ailleurs en ce qui concerne les rapports humains, il les vit au lieu d’essayer de les comprendre. Salamano représente la seule personne qu’il apprécie et sur laquelle il se penche notamment au moment de la perte de son chien. De surcroit Meursault vit à travers les émotions de Marie qui est pleine de vie. En effet, Marie étant parfaitement son opposé

espère en finir rapidement. De retour chez lui, il voit Marie une collègue de travail qui lui a toujours plus. Ils vont au cinéma, et elle devient sa maitresse. Meursault vit dans un appartement avec des voisins de paliers qui ont tous une histoire. Salamano qui possède un chien qu’il bat ou encore Raymond, un ancien boxeur qui lui raconte sa bagarre avec le frère de sa maîtresse, et lui demande d'écrire une lettre qui servira à sa vengeance. Quelques jours plus tard, Raymond se bat avec sa maîtresse

Question rhétorique qui montre le côté ridicule d'une vie vouée dès le départ à la mort. De la ligne 19 à 22, Meursault découvre le lot de tout homme. Plus aucune échelle de valeur n'est valable : tous les hommes sont équivalents « Le chien de Salamano ... nouveau Meursault ». Chaque personnage du roman est cité, mais tous sont équivalents, interchangeables. - Meursault rejette l'idée que l'homme est guidé par Dieu et que tout ses actes ont une conséquence sur la vie éternelle. Pour lui, la

autant qu'elle me tenait » (l.16), « comprenait-il donc ce condamné et que du fond de mon avenir. J'étouffais en criant tout ceci » (l.56-58). De plus, à partir de la ligne 47, il y a une série d'énumération, un parallélisme entre le chien de Salamano et sa défunte femme, la petite femme automatique, la femme de Masson et Marie, Raymond son simulacre d'ami et Céleste, Marie et un nouvel amant. C’est un constat établi à vif sur le seuil de la mort, à défaut de retracer comme d'autres les bons moments

où était internée « maman ». Thomas Pérez : un compagnon d'asile de la mère de Meursault. Marie Cardona : petite amie de Meursault, elle joue un rôle important dans le parcours de Meursault, dont elle éclaire l'indolence et l'absence d'émotivité. Salamano : vieillard habitant sur le même palier que Meursault, il bat son chien mais est paniqué lorsque celui-ci vient à disparaître. Raymond Sintès : voisin de Meursault, il est l'élément névralgique dans le cours des évènements. Masson : ami de Raymond