Salaire Minimum Et Inflation

les salariés. L'augmentation de la population donc de la demande rend nécessaire la culture de terres moins fertiles. Les prix du blé augmentent. La rente (en valeur dans le produit global) et les salaires augmentent. Les profits du capital baissent (le profit étant ce qui reste après paiement des salaires et des rentes). C'est la théorie des rendements décroissants. On aboutie à une situation « d'économie sans croissance » (état stationnaire). Cette marche d'un "état progressif" vers un "état stationnaire"

exigences du marché du travail. 2.2 - Salaires L'adoption du SMIG a contribué au dysfonctionnement du marché de l'emploi. Etant perçu comme un filet de sécurité durant la période d'ajustement, ce salaire minimum confond toutes les catégories de main d'œuvre et diminue l'incitation à embaucher des jeunes ou des travailleurs peu qualifiés. Une hausse du salaire minimum incite au remplacement des travailleurs peu rentables par d'autres plus qualifiés. Les salaires réels publics ne retrouvent leurs

force de travail en contrepartie d'un salaire de subsistance ou salaire naturel. Ce salaire qui est tout juste suffisant pour assurer la survit du travailleur et de sa famille. Les capitalistes ce sont ceux qui apportent leurs capitaux et qui reçoivent en contrepartie un profit qui est égale à la différence entre la valeur d'échange des marchandises produites et le montant des salaires versés. Chez Ricardo, seul le travail est créateur de valeur mais le salaire versé n'est pas égale à la valeur créée

international ▪ 8 – L’amélioration du niveau de vie ▪ 9 – Le développement économique ▪ 10 – Le développement durable ▪ 11 – Les facteurs de croissance ▪ 12 – Les firmes multinationales dans l’économie mondiale ▪ 13 – La formation des salaires ▪ 14 – Les inégalités de revenus et de patrimoine ▪ 15 – Les objectifs et les moyens de la redistribution ▪ 16 – L’efficacité de la redistribution ▪ 17 – L’inégalité des richesses au niveau mondial ▪ 18 – Les modalités de financement

librement => situation d'équilibre : offre = demande . A cet équilibre il y a un salaire d'équilibre. Cet équilibre => tous les travailleurs qui souhaitent travailler trouvent un emploi, s’ils acceptent le salaire d’équilibre, et toutes les entreprises qui acceptent de payer le salaire d’équilibre alors elles trouveront des travailleurs. Les risques de chômage : personnes qui refusent le salaire équilibre : chômage volontaire. personnes qui transitoirement ne peuvent répondre

s’agit d’explie quer pourquoi la stabilit´ du taux de croissance des prix est un objectif primordial dans e les ´conomies mon´taires modernes. e e 2 Les coˆ ts et les avantages de l’inflation u Pour mieux comprendre les coˆts engendr´s par une inflation trop importante, il convient u e d’analyser les mouvements du taux d’inflation dans les pays de l’OCDE. On distingue habituellement quatre p´riodes : e 1960-1973 Dans les ann´es 1960, π plus ´lev´s qu’aujourd’hui mais niveaux “raisone e e nables”

VA / coût du facteur (sans unité) productivité globale des facteurs = VA / somme des coûts des facteurs (sans unité) Exemple : soit une ent fabricant Q = 200 échelles, au moyen de L = 50 h de tv. Le prix d’une échelle est p = 100 €/échelle, le salaire est w = 40 €/h, la CI = 6000 €. prodv physique du tv : Q / L = 4 échelles / h VA = pQ – CI = 20000 – 6000 = 14000 € prodv en valeur du tv = VA / wL = 14000 / 2000 = 7 2.3.2 Remarques productivité = indicateur de performance permettant de comparer

trop tard. Les csq de la déflation : * Augmente l’endettement des ménages (baisse des dépenses et retraits massifs de fond des banques) => réduction de la masse monétaire M2. * Diminution des investissements. * La rigidité des salaires (car marché de l’emploi dominé par de grandes entreprises et peu concurrentiel depuis le début des années 20) entraîne une forte hausse du chômage (US : 3% en 29 à 25% en 35). 3. La crise financière La crise eco provoque des retraits massifs

2011) 2009 2010 2011 FANAF / Février 2013 88 PUB BEST-RE Le marché de l’assurance en Afrique (Données 2007 à 2011) FANAF / Février 2013 89 II – BENIN  2007 2008 2009 SMIG 27 500 31 500 31 625 SMIG : Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (en francs CFA) 2010 31 684 2011 31 684 Primes émises directes vie en millions de francs CFA et variation non corrigée de l'inflation (en %) 12000 10000 35,0% 31,6% 17,3% 25,9% 30,0% 25,0%

menages ayant les revenus les plus bas ont tendance a consommer contrariement aux menages dont les revenus sont plus importants qui epargnent. J.M.Keynes en dèduit donc qu’une politique de relance doit s’accompagner d'une augementation du SMIC (Salaire minimum interprofessionnel de croissance) Si ce système reussie dans ses buts, l’Etat peut se permettre de dépenser plus d’argent qu’il n’en a, cela dit dépensant plus qu’il ne reçoit d’impôts, l’Etat partecipera ù une relance en distribussant le pouvoir