Salaire Minimum Et Inflation

contestation étudiante est relayée par une vague de grèves sans précédent ( Nuit des Barricades ds la nuit du 10 au 11 mai). Comme Gilles Martinet explique cette révolte multiforme contre l’autorité par le chômage, l’insécurité de l’emploi, les salaires bas et les mauvaises conditions de travail. G Pompidou ouvre les négociations de la rue Grenelle ac les syndicats pour dissocier les revendications ouvrières et étudiantes. Le régime, un instant ébranlé, ne retrouve sa légitimité qu’après de nouvelles

signifie qu’il faut retrancher du chiffre d’affaires les achats auprès des fournisseurs et ne comptabiliser que le résultat du travail effectué au sein de l’entreprise. Ce résultat est ce que l’on appelle la « valeur ajoutée ». Elle est égale aux salaires versés plus le coût du capital immobilisé pour permettre à ce travail de s’exprimer. La production d’un pays est égale à la somme des valeurs ajoutées des entreprises qui s’y trouvent. Cette production apparaît dans les commentaires de l’actualité

Amélioration des conditions de vie grâce à la prise en charge de risques. Sécurité sociale en 1945 et salaire minimum en 1950. II- Une croissance plus faible et volatile 2-1 Le ralentissement du rythme de la croissance 1975-2006 : 2,3% / an en moyenne en France. Choc pétrolier, fortes pressions inflationnistes, hausse du chômage (1973 – milieu des années 80 : + 7 points). Stagflation : inflation et ralentissement de l’activité économique chômage. Dérèglement du SMI, effondrement du système de

l’emploi – en fonction du niveau de salaire réel – et celui de la production. Dans un modèle de concurrence pure et parfaite, l’offre de travail émane des ménages et est une fonction croissante du salaire réel : l’offre de travail augmente avec le salaire réel. Inversement, la demande de travail émane des entreprises et est une fonction décroissante du salaire réel : quand le salaire augmente, la demande de travail baisse. Soit formellement : * W/PE : Niveau de salaire réel d’équilibre * NE :

terme, les coûts de production deviennent déterminants, car l'entreprise est obligé d'en tenir compte, et un prix d'équilibre qui ce situe entre ce que le marché est prêt à payer au maximum et le prix auquel l'entreprise doit vendre son produit au minimum, va correspondre au prix naturel tel qu'il a été défini par les économistes classiques en se fondant sur la valeur-travail. Les critiques avaient souligné que le concept d'utilité n'étaient guère opérationnel en entreprise, beaucoup moins que celui

étaient fondées sur la privatisation, la libéralisation et la rigueur budgétaire et monétaire. Il avait ainsi fait exploser la dette antérieure. Le ratio dette/PIB était alors passé de 29.2% à 56.6%. Cette situation, à laquelle s’est ajoutée une forte inflation, a contraint le Brésil à demander au FMI un prêt exceptionnel d’urgence de 30 milliards de dollars. Séduire les marchés financiers  Lula a rapidement gagné la confiance des marchés financiers internationaux en acceptant les conditions imposées

coût du travail à son minimum pour assurer la compétitivité des entreprises à l’exportation aussi appelé dumping qui prend plusieurs formes : Dumping commercial, pratique commerciale qui consiste à vendre une marchandise sur un marché étranger à un prix inférieur à celui pratiqué sur le marché intérieur, parfois même au-dessous du prix de revient. Dumping social, pratique de certains États consistant à adopter des législations en matière de droit du travail et de salaires plus défavorables aux salariés

de l'inégalité entre les individus riches et les individus pauvres dans un pays). Plusieurs facteurs permettent d'expliquer l'évolution des inégalités. Dans une économie de marché, le salaire varie avec l’offre et la demande. Celle-ci peut être limitée par la loi avec, par exemple, l’instauration d’un salaire minimum, ou par des négociations patronat-salariat. Le revenu est fortement lié avec le niveau de l’éducation. Plus une personne est diplômée, plus son revenu est élevé par rapport à la moyenne

but spéculatif. F = dL2/dr < 0 f>0 Lo représente la liquidité maximale que les agents sont prêts à conserver sous forme de demande spéculative afin de spéculer. Quand le taux d’intérêt est au maximum, Lo = 0 Quand le taux d’intérêt est au minimum, Lo = M M = L M = L1 + L2 M = l(Y) – fr + Lo - l(Y) = -fr + Lo - M Y = -fr + Lo – M Y = -fr/-l + (Lo – M/-l) Y = fr/l + (M-Lo/l) Y = ax+b Le taux d’intérêt influence d’abord l’investissement puis le revenu. Dans LM taux d’intérêt augmente le revenu

Cf. la dénationalisation de la sidérurgie en 1953. - depuis 1953 royauté plus favorable ( ?) aux conservateurs avec Elisabeth II. 13Maintien nécessaire des acquis travaillistes dans le domaine social. 14Reprise de l’essor économique mais forte inflation en fin de période, ce qui cause la chute des conservateurs. - 13 ans de croissance rapide = poursuite du « miracle britannique » pendant les 30 Glorieuses et de cette notion d’âge d’or. - plein emploi : chômage rare. - MAIS évolution en dents