Saddam Hussein

mesures comme le R.M.I. (Revenu Minimum d'Insertion) le 30 Novembre 1988 entend lutter contre l'exclusion, mais ne permet pas de juguler la paupérisation croissante de couches de la population marginalisées. A la suite de l'invasion du Koweït par Saddam Hussein (août 1990), la France participe sous mandat de l'ONU à la guerre contre l'Irak. L'union nationale s'impose durant toute la guerre (16 janvier / 3 mars 1991). Le 15 mai 1991, François Mitterrand confie à Edith Cresson, première femme admise à

2) La guerre du golfe persique La guerre du golfe est la première guerre électronique totale menée en temps réel. C'est-à-dire utilisation des moyens de l’espace (satellites, aviation). Une guerre en temps réel signifie que lorsque Saddam Hussein envoi un missile skud (Russe) en direct d’Israël ou Arabie saoudite au moment ou le satellite espion a détecté le missile skud et le moment où il ordonne de le détruire il n’y a même pas une seconde de temps. Programmation automatique des satellites

cause sa prépondérance au niveau planétaire. La politique suivie par George Bush – le fils – après les attentats du 11 septembre ne fut qu’une parodie de celle de son père : mobiliser la planète autour du thème sécuritaire, l’ennemi n’étant plus Saddam Hussein mais ben Laden, pour occulter le déclin américain et conserver une forme de leadership mondial. Cette fois-là cependant, la France refusa de suivre le président américain : la France de la rue, mais aussi le président français, ceci expliquant

populations antagonistes pour des raisons historiques et sociales. La violence entre chiites et sunnites est d’abord le résultat de siècles de domination de la part de la minorité sunnite depuis l’époque ottomane jusqu’à la fin du régime de Saddam Hussein en 2003. Jusqu’au début du XXe siècle, dans les grandes confédérations tribales, comme les Muntafik, des familles régnantes sunnites maintenaient une paysannerie sans terre chiite dans un état d’asservissement sans bornes. Ces classes dominantes

cette nouvelle guerre, les États Unis se placent comme messie face aux nouvelles menaces  « nous étions appelé à jouer un rôle exceptionnel dans le cours des événements de l’humanité » Les résultats de cette politique sont mitigés, le régime de Saddam Hussein est tombé et Ben Laden a été capturé, cependant la menace terroriste pèse toujours, comme le prouve régulièrement les événements, l'attentat à la bombe durant le marathon de New York de 2013 en est un exemple. Les conflits au moyen orient se

absolument pas l'Irak, lourdement endetté. Saddam Hussein accusait également le Koweit de ne pas respecter ses quotas, contribuant ainsi à faire chuter le prix du pétrole, et de pomper dans un champ situé à cheval sur la frontière Irak-Koweit. En 1961 une première tentative du général Kassem échoua grâce à un positionnement rapide de forces britanniques dissuadant celui-ci. Depuis le pays est devenu une puissance économique grâce à son pétrole. Saddam Hussein, dont le pays a une dette extérieure colossale

célébrer la puissance du système. Enfin dernier point architectural, on apprends que Londres est tapissée de statues représentant Big Brother, évidemment on pense au statue de Lénine par exemple mais aussi celle que l’on pouvait trouver en Irak pour Saddam Hussein. Deuxièmement la politique économique de l’ANGSOC (le parti dans 1984) se base sur des plans triennaux comme en URSS avec les plans quinquennaux de Staline. De plus en Océania les productions d’objet de la vie courante comme les casseroles

César de Claude Zidi, succès national. De retour en Italie, Benigni se remet au travail et enchaîne les films : Pinocchio sort en 2002 (film le plus coûteux de l'histoire du cinéma italien) et Le Tigre et la neige en 2005, qui traite de l'après Saddam Hussein en Irak. Une carrière exceptionnelle qui fut récompensée par Fanny Ardant lors de la cérémonie des César en février 2008, où il reçut un César d'honneur. Filmographie : 2005 : Le Tigre et la neige, de Roberto Benigni 2004 : Coffee and cigarettes

commence à éclore sur les écrans de télévision : celle qui opposerait l’islam à l’Occident. L’Iran de Khomeyni, qui avait servi de référence à l’analyse de l’islam tout au long des années 1980, disparaît au profit de nouveaux ennemis : l’Irak de Saddam Hussein d’abord, et surtout l’islamisme algérien. Devenue le moteur incontesté du système médiatique depuis la fin des années 1980 et alors qu’il apparaît clairement que la religion musulmane est devenue une réalité française, la télévision tente de

du premier choc de 1973. Une crise aiguë éclata entre Washington et Téhéran. Mais lorsque l'on prit conscience que le mouvement khomeyniste, parce qu'il était chiite et iranien, ne se propageait pas dans les pays arabes sunnites - d'autant que Saddam Hussein lui faisait efficacement barrage (la guerre étant déclarée entre les deux pays depuis 1980) - les prix du pétrole diminuèrent rapidement. Ils s'effondrèrent même en 1986, malgré les difficultés de l'Iran à exporter son pétrole par le golfe Persique