Saddam Hussein

déstabilisée par la perte de la Cisjordanie et de Jérusalem et l’accueil des réfugiés palestiniens. En septembre 1970 le roi Hussein de Jordanie intervient pour rétablir l’ordre dans les camps palestiniens. Ces derniers se réfugient au Liban et se lancent dans le terrorisme. Dans la région… En Irak, en juillet 1968, la prise du pouvoir par le parti Baas (dont Saddam Hussein est membre) permet une alliance avec l’URSS. En Syrie le coup d’Etat du 13 novembre 70 porte Hafez el-Assad au pouvoir. En

Distribution d’eau, Portables TF1, LCI                           B-La guerre du Golfe: la promotion de la guerre   Souvenez-vous, en 1991 les Nations Unies combattaient l’Irak pour sauver le pauvre Koweït des cruautés de Saddam Hussein. Et lors de l’opération " Tempête du désert " l’armée américaine était soutenue par une opinion publique fervente et convaincue de la juste cause... grâce à un énorme budget de communication ! Dans un premier temps les télévisions américaines

menacent la sécurité et la stabilité du monde ! Les USA interviennent militairement Octobre 2001 contre les Talibans qui dirigent l'Afghanistan base d'Al Quaida Le régime est renversé en décembre, traque de Ben Laden ! En 2003 contre l'Irak de Saddam Hussein accusé de détenir des armes de destruction massive Renverser une dictature Instaurer la démocratie dans la région Mais désorganisation du pays et terrorisme : échec ! c- L'hégémonie contestée : La politique des USA provoque l'antiaméricanisme

en tant que représentant de ses fonctions impériales. Mais plein de personnages importants de ce monde ont pris pour exemple de propagande cette statue magistrale d'Auguste, donc plusieurs il n'y a pas si longtemps, comme Staline, Mao Zedong, Saddam Hussein, Kim Jong Hil et son fils en statue équestre, ces dictateurs ont tous des représentations d'eux ayant le bras droit levé, comme la statue d'Auguste un peu moins de deux millénaires avant, ce qui montrent encore une fois l'héritage immense que

1980 et qui voulait être le Wall-Mart de la banque a cédé aux sirènes de l'expansion et des subprimes. Résultat : 327,9 milliards de dollars d'actifs qui appartiennent au passé. 3. 60 millions de livres, le braquage le plus juteux : Certes, Saddam Hussein avait embarqué 1 milliard de dollars de la Banque Centrale Irakienne quelques heures avant le bombardement américain en 2003, mais dans les braquages à l'ancienne, c'est celui du Security deposit de Knightsbridge en Angleterre qui est la référence

du golfe en 1991 super puuissance américaine (coalition) avc de nbreux alliés lusa libere le kowaït envahie par lirak. Internvention possible grace a la chute de LURSS. 2eme guerre du golfe : en 2003 intervention des usa en irak pr renversé SADDAM HUSSEIN. L’irak reste un pays marqué par la guerre civile. Les usa tente dinstaurer la paix et la démocratie en irak. Iran : 1ere republique islamiste dirigé pas de religieux comme KHOMEYNI. Elle devient l’ennemi des américains. Iran veux larme nucléaire

Certains étaient méfiants, d'autres étaient Candides. Le 5 Février 2003, Collin Powell ( Secrétaire d'Etats des Etats-Unis jusqu'en 2005) fait un discours devant le conseil de sécurité de l'ONU. Il affirme, "preuve à l'appui" que l'Irak de Saddam Hussein possède une arme de destruction massive et que si les Etats-Unis partent en guerre la-bas, ce n'est que de la légitime défense. Parmis ces nombreuses preuves Powell s'était ridiculisés en agitant une fiole contenant cette fameuse arme, connue

000 et 1 200 000 victimes. Après 1988 : Le 18 juillet 1988, Téhéran accepta le cessez-le-feu, qui prit effet le 22 du même mois. Le 25 juillet, les moudjahidines du peuple, (mouvement d'opposition armée au régime des ayatollahs) soutenus par Saddam Hussein, franchissent la frontière irako-iranienne pour tenter de renverser le régime iranien. La manœuvre échoua et entraîna une violente répression de Téhéran.

contrat de fourniture de gaz avec l'Algérie, intervient au Liban et aide à l'évacuation de l'OLP(2) chassée de ses bases libanaises par Israël. En revanche, les rapports privilégiés qu'entretiennent les dirigeants successifs français avec l'Irak de Saddam Hussein sont mis à mal par les deux guerres du Golfe (1990 et 2003) et sonnent le glas d'une politique arabe spécifique à la France. Seuls subsistent des liens privilégiés avec la Tunisie et le Maroc, en rapport avec le tourisme de masse, le commerce

Nixon/Kissinger, relation de stricte subordination du ministre au chef de l’État (Gromyko/Khrouchtchev, Tarek Aziz/Saddam Hussein), ou ministre relativement autonome (Genscher sous Kohl). On retrouve plus loin d’autres évocations assez attendues du « facteur psychologique » (pp. 108 sq.) : impact de la personnalité autoritaire sur les déviances en politique étrangère (Staline, Saddam Hussein), rôle des « alliances sentimentales » entre chefs d’État (Mitterrand/Kohl), etc. On trouve ensuite (chapitre 4)