Sabot

Objet d'étude : Le biographique. Textes : -Texte A - George Sand, Histoire de ma vie (incipit), 1855. -Texte B - Jean d'Ormesson, « Sand », Une autre histoire de la littérature française, 1997. -Texte C - Huguette Bouchardeau, La Lune et les Sabots, 1990. -Texte D - F. O. Rousseau, Les Enfants du siècle, V, 1990. -Annexe : Préface de Jérôme et Jean Tharaud à Histoire de ma vie de George Sand, 1944. Texte A - George Sand, Histoire de ma vie. Le juillet 1804, je vins au monde, mon père

sur chaque bras. Le mouton est assit comme in humain mais avec ses jambes ouvertes en grand V et ses bras étendu vers les deux coté. Cette positions est choisi pour donné une allure débile au mouton. Les extrémités de ses pates possède des petits sabot noir qui on une texture rugueuse formé a partir du collage de plusieurs petits morceaux de carton noir soit rectangulaires ou carrés. Toutes le corps en entier du mouton est recours de coton blanc qui possède une texture tres douce et un volume dense

de laine en loques, effacés dans la même uniformité terreuse. Les yeux brûlaient, on voyait seulement les trous des bouches noires, chantant la Marseillaise, dont les strophes se perdaient en un mugissement confus, accompagné par le claquement des sabots sur la terre dure. Au-dessus des têtes, parmi le hérissement des barres de fer, une hache passa, portée toute droite; et cette hache unique, qui était comme l'étendard de la bande, avait, dans le ciel clair, le profil aigu d'un couperet de guillotine

| |Pour les grandes Yoles, on retrouve, en principe, deux foucas. Mais ils peuvent être remplacés par des sabots dont la fonction est de recevoir et maintenir | |le pied de mât, dans ce cas la tôte de mât est maintenue par des guirlandes. | |

de laine en loques, effacés dans la même uniformité terreuse. Les yeux brûlaient, on voyait seulement les trous des bouches noires, chantant la Marseillaise, dont les strophes se perdaient en un mugissement confus, accompagné par le claquement des sabots sur la terre dure. Au-dessus des têtes, parmi le hérissement des barres de fer, une hache passa, portée toute droite ; et cette hache unique, qui était comme l'étendard de la bande, avait, dans le ciel clair, le profil aigu d'un couperet de guillotine

Bible interdit la consommation du porc dans le Lévitique: "Vous tiendrez pour impur le porc parce que tout en ayant le sabot fourchu, fendu en deux ongles, il ne rumine pas." "Vous ne mangerez pas de leur chair ni ne toucherez à leur cadavre, vous les tiendrez pour impurs." [Lévitique, 11:7-8] Le porc est également interdit dans le Deutéronome: "Et le porc, qui a bien le sabot fourchu et fendu mais qui ne rumine pas; vous le tiendrez pour impur. Vous ne mangerez pas de sa chair et ne toucherez

labeur, le travail, l'épuisement. On peut observé 2 plans : – Le premier avec la femme : robuste, gros bras, à genoux, elle porte des sabots, une robe rouge/orange. Elle a les cheveux brun et la peau blanche. Elle crible le blé avec assurance. – Le second avec la femme épuisée qui trie les grains et la paille. Elle porte une robe bleu, des sabots. Elle a la peau blanche et les cheveux noirs. Elle est allongée sur des sacs de blé. Et le petit garçon qui cherche quelque chose dans une maie

les chevauxLa jument (le cheval) Qu'est ce qu'un cheval ? Le cheval fait partie de la famille des équidés, comme l'âne ou le zèbre. C'est un grand mammifère herbivore et ongulé (mammifère possédant des sabots) à sabot unique. Il passe 60 % de son temps à manger (16h sur 24h). Son estomac est petit, il mange peu à la fois mais souvent. A l'état naturel, ils vivent en troupeaux dans de vastes espaces herbeux. Les troupeaux sont constitués de plusieurs familles. Dans chaque troupeau, il y a un cheval

soldats nazis sont tournés en ridicule de par leurs paroles ou leur manière de s’habiller (Gaston les appelle les « culotte de cheval »). C'est drôle lorsque le narrateur raconte que son père et son oncle ne ce sont pas fait arrêtés lorsqu'ils ont saboter le transfo de la gare de Douai, mais après, lorsqu'il étaient en train de ranger des pots de confitures et des bocaux de cornichons dans une cave. C'est un moment assez comique lorsqu'ils sont tous les quatre au fond du trou d’argile, et André, en

l'herbe avec lui. Là-dessus, l'âne voyant un loup approcher, demanda au chien de venir à son aide. Il répondit : - Tu m'as conseillé de paître pour apaiser ma faim, moi à mon tour je te conseille de te défendre contre le loup avec les fers de tes sabots. Disant ces mots, il partit, abandonnant en plein combat son ingrat compagnon condamné à servir bientôt de pâture à son ravisseur. Cette fable montre que celui qui ne fournit pas son aide à celui qui lui réclame est d’habitude abandonné à son tour