effroyables jardins
Soralie
3°
Le livre:
Les soldats nazis sont tournés en ridicule de par leurs paroles ou leur manière de s’habiller (Gaston les appelle les « culotte de cheval »). C'est drôle lorsque le narrateur raconte que son père et son oncle ne ce sont pas fait arrêtés lorsqu'ils ont saboter le transfo de la gare de Douai, mais après, lorsqu'il étaient en train de ranger des pots de confitures et des bocaux de cornichons dans une cave. C'est un moment assez comique lorsqu'ils sont tous les quatre au fond du trou d’argile, et André, en bon instituteur qu’il est, se met à calculer l’aire de leur étrange prison alors qu’il est à deux doigts de mourir : «En fait, on était quatre, à piétiner trente mètres carrés en gros. Ton père avait arpenté le diamètre, grosso-modo, et calculé l'aire, avec pi 3,14 et tout le tremblement. Résultat : trente mètres carrés. Ça nous faisait une belle jambe. Même qu'on aurait eu un empire à se partager, du moment que c'était pour y mourir et y être enterrés tout cru, la superficie exacte on s'en tapait. Parce qu'on se disait : on a le plaisir et le privilège de visiter notre propre tombeau !» . C’est une scène pleine d’ironie qui fait sourire, malgré son aspect tragique.
Le film:
Le moment drôle au début du film est lorsque que l'instituteur (Jacques) est dans sa classe en train de faire une dictée à ses élèves et puis il se lève de son bureau pour montrer ses grandes chaussures de clowns. Je trouve que lorsque Jacques fait ses valises pour le spectacle et qu'il demande à sa femme (Louise) où est son nez qui, lorsque tu appuis dessus, envoie de l'eau, et que sa femme lui répond qu'elle l'utilise pour arroser ses plantes, est drôle car lui s'en sert pour son loisir et elle s'en sert pour arroser ses fleurs. Lorsque que Jacques fait des grimaces pour éloigner le garde pour