Rêves Amers

de La mangrove, que vous connaissez, qu’elle écrit en 1989. Mais ce n’était pas le seul sujet qui l’intéressait, il y’avait aussi ceux du féminisme et de la jeunesse. D’ailleurs Maryse Condé est l’auteur de plusieurs livres de jeunesse dont Rêves amers en qu’elle publie 2001, Savannah blues en 2004 ou encore Hugo le terrible publié en 1989, et c’est cette œuvre qui va nous intéresser. Celle-ci raconte à travers les yeux d’un enfant, le passage du Cyclone « Hugo » qui a ravagé la Guadeloupe en

Casper David Friedrich Le symbolisme en poésie 1. Introduction Si on parle du mouvement symboliste, à quoi cela vous fait-il penser (auteurs, thèmes, oeuvres, peintures, ...) ? Quelques mots clés pourraient être: symboles, rêves, mythes, ésotérisme, musicalité, états d'âme, langage poétique, impressions, sensations, réalité supérieure, opposé au scientisme et au matérialisme EXERCICE Mettez les auteurs des siècles précédents dans la bonne colonne: Victor Hugo, Mallarmé

place dans un sentiment de supériorité : « au-dessus », « par-delà ». Le Poète semble dépasser les limites posées. Dans « L’Albatros » , le Poète apparaît en contradiction avec le monde humain : « glissant sur les gouffres amers », ici, le navire désigne l’existence humaine montrant l’écart entre lui et les autres. Le Poète se sent alors exclu de la société et en devient la victime. Dans « L’Albatros » , la cruauté est montré à travers les tortures

en effet, c’est là l’unique moyen par lequel la religieuse se sent liée à son aimé. Cette forme de masochisme destructeur s’accentue au fil du temps, car plus le temps passe plus l’abandon tant redouté se précise. Les souvenirs n’en sont que plus amers, et l’effort de dénégation que plus intense et difficile. Cependant, la passion est un mal si intense qu’au delà du cœur, c’est dans le corps qu’elle se fait ressentir, encore. « Si l’émotion est une ivresse, la passion est une maladie qui

la poésie, d'immortaliser ce que la mort a fait disparaître. L'albatros Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipagePrennent des albatros, vastes oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 À peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !10 Lui, naguère

cherchant à sortir pour reparaître à la conscience, et la conscience y oppose la force de son refus. 3) Mais cet inconscient a des moyens de s'exprimer : on va pouvoir d'une certaine manière y accéder. L'hystérie, les lapsus, les actes manqués, rêves, tous ces comportements qui auparavant étaient considérés soit comme banals, soit comme absurdes (donc : sans signification) sont les moyens qu'a trouvés l'inconscient pour se faire entendre, pour s'exprimer. Par là, on satisfait en quelque sorte symboliquement

entière, ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs !  » « L’Albatros » Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si

l’Espace Libre occupé « Parce que… » Parce qu’ils endurent parfois des décennies durant le statut précaire de même pas intermittents, les fins de mois difficiles à la merci du doute permanent, les 9 à 5 alimentaires à des années-lumière de leurs vieux rêves d’enfants et l’étiquette de « béesses de luxe » que leur collent sur le dos les discours méprisants. Parce qu’ils sont prêts à jouer les clowns tristes sur un plateau de télévision en attendant que le rôle qui les motive à poursuivre leur vocation

Charles BAUDELAIRE (1821-1867), L’Albatros (Les fleurs du mal, 1859) Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère

rend les gens un peu faibles amers, cupides, angoissés, prétentieux, l'argent enferme les gens dans le monde des apparences et de la compétition. La liberté est donc une utopie. La réalité c'est surtout que le monde est malade, le monde est pourri, les gens sont de plus en plus fermés, arrogants, perdus, la terre paye les frais de leur absurdité, le monde est complètement fou et dangereux, mais tu dois toujours continuer à vivre, à croire en l'amour, croire en tes rêves, croire en l'art, croire au