Résumé Claude Gueux

observer que ce vin coûtait neuf francs la bouteille pris sur place. Julien, tenant son verre vert, dit à M. Valenod : - On ne chante plus cette vilaine chanson. - Parbleu! Je le crois bien, répondit le directeur triomphant, j’ai fait imposer silence aux gueux. 15 5 10 Ce mot fut trop fort pour Julien; il avait les manières, mais non pas encore le coeur de son état2. Malgré toute son hypocrisie si souvent exercée, il sentit une grosse larme couler le long de sa joue. Il essaya de la cacher avec

l’engagement républicain contre la misère, l’évolution a été lente et trente ans ont passé. C’est ici le député qui prend la parole, l’homme politique engagé connu par ses prises de position contre la peine de mort dans Le Dernier jour d’un condamné ou Claude Gueux, ou encore contre le travail des enfants dans le poème « Melancholia ». 2. Unité et diversité (questions 1 et 2)
 C’est la voix de Hugo orateur qui sert de cadre au discours et que nous trouvons aux lignes 3 à 6, puis 26 et 27, et enfin 31 et 32

Dans l’une d’elles, il écrit : « Quant à l’issue de la guerre, elle n’offre plus aucun doute. Les Prussiens sont perdus […] 1. » Mais si le jeune soldat partage l’illusion environnante, c’est sans enthousiasme aucun ; l’essentiel de son message se résume, au contraire, dans ce post-scriptum : « Je m’embête abominablement 2 ! » Dans une autre lettre il raconte une expédition périlleuse : chargé de porter un ordre de l’avant-garde à l’arrière-garde, il a failli tomber dans les mains de l’ennemi. « J’ai

Quincaillier: Personne qui vend des articles de la quincaillerie. Accessit: Distinction honorifique accordée dans le cadre scolaire aux élèves les plus proches des premiers prix. Viatique: Sacrements de l’eucharistie donné à un chrétien en danger de mort. Résumé: Charles Bovary entre au Collège de Rouen en classe de 5ème. Son père est un incapable qui accumule les échecs, tandis que sa mère cherche à compenser ses déceptions amoureuses par son amour pour son fils. Charles Bovary quitte le collège à la fin

et de la biographie du personnage qui se construit dans le temps. Pris dans une évolution, il change, il vieillit, et ce même lorsque le récit se concentre sur une seule journée (cf. Ulysse de Joyce, la mort de Virgile d’Hermann Broch, Histoire de Claude Simon). Le travail de la mémoire et la projection du personnage dans l’avenir élargissent de façon considérable l’espace temporel du roman. L’identité du personnage ne dépend donc pas seulement de son portrait mais se construit également dans le temps

matérialisé les concepts cités précédemment par des productions romanesques, picturales, poétiques, dramaturges comme l’immortelle œuvre Madame Bovary  de G. Flaubert, le célèbre tableau Le Havre de Claude Monet ou l’Etretat de Courbet, les fleurs du Mal de Baudelaire,  les corbeaux de H Henry Becque … Guy de Maupassant n’enfreint pas à cette ligne de conduite et

rencontre Berlioz, Chateaubriand, Liszt, Giacomo Meyerbeer, et rédige des recueils de poésie dont les Feuilles d'automne. Il publie en 1829, le recueil de poèmes les Orientales. Le Dernier Jour d'un condamné paraît la même année et est suivi de Claude Gueux en 1834. Dans ces deux courts romans, Victor Hugo présente son dégoût de la peine de mort. Le roman Notre Dame de Paris paraît en 1831. Années théâtre La Bataille d'Hernani (Grandville, 1836). De 1830 à 1843, Victor Hugo se consacre presque

roman[modifier] Genèse[modifier] Préoccupé par l'adéquat entre la justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a déjà écrit en 1829 Le Dernier Jour d'un condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il poursuit en 1834 avec Claude Gueux. En 1845, il entreprend une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848, mais écrit à la même époque son Discours sur la misère (1849)

Feuilles d'automne », « les Rayons et les Ombres », « les Châtiments, la légende des siècles »,  le théâtre avec le Drame romantique, « Hernani », « Ruy Blas », le roman, « Notre Dame de Paris, les Misérable ». Il a aussi touché à d'autres genres, « Claude Gueux » montre une pratique journalistique, « Le Dernier Jour d'un Condamné » est un court roman sous la forme d'un journal intime, la « Légende des Siècles » est une épopée poétique visionnaire et bien d’autre encore. Il était un révolutionnaire et

roi), les répétitions (les mots «condamné à mort»), l'anaphore qui permet de rendre plus fort le cri d'horreur du condamné. Hugo se pencha sur ces bas-fonds sociaux dont il fut plus tard le peintre puissant à la fois épique et réaliste dans ‘’Claude Gueux’’ et dans ‘’Les misérables’’. Le roman est un document sur les grandes prisons de Paris. La violence de la vie en prison est bien montrée, surtout celle que subit le condamné à mort qui est souvent isolé des autres prisonniers, même si on l'autorise