Rédaction Honte

à cette école où on nous oblige à porter un uniforme ridicule. Ainsi, j’épargnerai du travail à ma pauvre mère qui s’use les yeux à me coudre des petites jupes à plis. Autant tout avouer, j’ai honte de marcher dans la rue avec maman quand elle porte ses horribles robes à fleurs. De plus, j’ai moi-même honte de sortir de la maison avec ma vieille veste cintrée. Désormais, je refuserai que ma mère me déguise à son goût, j’ai l’air d’un clown et tout le monde se moque de moi. Je veux désormais m’habiller

 Allongement lié au timbre de la voyelle   Les voyelles [ø], [o] et [ɑ] et les voyelles nasales sont allongées en syllabe finale fermée, quelle que soit  la consonne fermante.   Exemples :   émeute [emø:t]   côte [ko:t]   plâtre [plɑ:tR]   crainte [kRɛ̃:t]   emprunte [ɑ̃pRoẽ:t]   honte [ɔ̃:t]    lampe [lɑ̃:p]     mais : émeutier [e • mø • tje]   mais : côté [ko • te]  mais : plâtrier [plɑ • tri • je]   mais : craintif [kRɛ̃ • tif]   mais : emprunter [ɑ̃ • pRoẽ • te]   mais : honteux [ɔ̃ • tø]   mais : lampion [lɑ̃ • pjɔ̃]   

l’impureté «, la « honte « et la « disgrâce « frappent la pécheresse qui subit l’opprobre public avant de retourner en prison. Un des effets littéraires majeur du roman consiste à rendre le stigmate existant en soi comme une chose vivante. Ce qui est illustré dans le passage suivant : « Ceux qui l’avaient suivie des yeux, chuchotèrent que la lettre écarlate jetait une lueur sinistre du sombre corridor « (p. 88) Libérée, Hester n’envisage pas de fuir car son « pêché, sa honte étaient les racines

16 émotions dont 6 émotions de base : 1. Joie - Amusement - Contentement - Excitation - Fierté - Satisfaction - Plaisir sensoriel 2. Surprise - Embarras 3. Tristesse - Mépris 4. Peur 5. Dégoût 6. Colère - Culpabilité - Honte | Le fait intéressant à propos de ces six expressions faciales de base, c'est qu'elles sont «incrustés» dans le cerveau. Autrement dit, nous sommes tous nés avec la capacité de faire fonctionner tous les muscles de nos visages exactement pour

comme il l’aime. Don Ruy Gomez est jaloux des jeunes, de leur beauté, de leur grâce. Il fait l’éloge des vieux qui savent aimer seulement parce qu’il fait partie de ces vieux, mais il aimerait redevenir jeune. Il parle de jalousie des autres et de honte de soi-même, on dirait cependant qu’il ne parle pas de lui « On ». Cet homme est le stéréotype du vieux mari jaloux et possessif, qui veut ridiculiser les autres et qui en fait se ridiculise lui-même. On retrouve ce personnage dans beaucoup de comédies

extrait en deux temps. Dans un premier temps nous verrons que Phèdre est une femme submergée par ses sentiments et dans un deuxième temps, qu’elle est une héroïne tragique. Phèdre est une femme submergée par ses sentiments, elle est partagée entre la honte et la gêne. Tout d’abord, Phèdre est très gênée de ce qu’elle avoue à Hippolyte. La répétition du substantif « aveu » amplifie son mal être et montre que c’est très difficile pour elle de reconnaître son amour et de l’avouer. Ensuite, Phèdre est tellement

grandes promesses. Quant aux riches et aux patrons, ils ne doivent point traiter l’ouvrier en esclave ; il est juste qu’ils respectent en lui la dignité de l’homme, relevée encore par celle d’un chrétien. Le travail du corps, loin d’être un sujet de honte, fait honneur à l’homme, parce qu’il lui fournit un noble moyen de sustenter sa vie. Ce qui est honteux et inhumain, c’est d’user d’un homme comme un vil instrument de lucre, de ne l’estimer qu’en proportion de la vigueur de ses bras. Parmi les

à chaque “souris”, “croise les jambes”, “ne ris pas trop fort”, “ne dis pas de gros mots, c’est moche dans la bouche d’une fille !”. Aujourd’hui, toute femme qui se tient les cuisses ouvertes, qui gueule des obscénités et tire la tronche est une honte à la femme. Cette théorie primitive et patriarcale aboutit à un : ”Sois belle et tais-toi” ou “Sois moche et on t’écoutera éventuellement si tu es très très intelligente.” Je suis féministe, mais avant tout égalitariste. Je rêve d’un monde où la femme

sans critique acerbe ou reproche dissimulé envers son père. Bien qu’elle accepte finalement ce que fut son père et son appartenance à une classe sociale venue d’en bas qui lutte pour l’honorabilité, elle ne peut se départir d’un sentiment de honte qui la fait se sentir sans racines

qui aime et veut être aimée noblement et un être souffrant d’hystérie, dépendant du plaisir de la chair. C’est l’influence de son milieu qui l’amènera à se livrer aux emportements de sa passion. En conséquence, elle sera dévorée toute sa vie par la honte, la peur et le mensonge. L’histoire de Germinie devient l’histoire des gens de la basse condition sociale. Ainsi, sa vie nous brosse un portrait crédible des gens d’une époque, d’un lieu et d’une culture. Une analyse approfondie d’un extrait du roman