Récits Fictifs

personnages fictifs, et grâce à des péripéties parfois surnaturelles . En effet, le lecteur s'identifie à tout ce qui constitue la fiction et adhère plus facilement à ce genre littéraire car cela le divertit et lui fait ressentir des émotions nouvelles. Le monde décrit dans un récit est un monde parallèle au monde réel, seulement, on peut facilement s'y retrouver car le contexte fait que le monde fictif n'est ni vrai ni faux. De plus, les réflexions des personnages ou les péripéties au cours du récit sont

la fiction n’apporte que plaisir et n’est qu’imaginaire. Or la fiction a souvent une portée beaucoup plus profonde, l’utilisation de l’imaginaire est fréquemment associé a un message .La fiction nécessite la créativité de l auteur pour produire un récit imaginaire. Depuis des siècles ,les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs à travers leurs œuvres. Cette volonté didactique s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, époque à laquelle la diffusion du savoir apparaît comme primordiale

une armée dévalant tout sur leur passage. Cette horreur suscite la peur chez le lecteur qui peut ainsi prendre conscience de la misère des ouvriers bestialisés et enragés. Un livre non fictif d’Histoire de la Révolution industrielle n’aurait pas le même effet que ces images atroces. Ensuite, l’auteur d’ouvrages fictifs est libre de diversifier également les genres. En effet, la fiction n’est pas limitée à un seul genre et peut s’exprimer de différentes manières. On peut dénoncer la guerre par exemple

une armée dévalant tout sur leur passage. Cette horreur suscite la peur chez le lecteur qui peut ainsi prendre conscience de la misère des ouvriers bestialisés et enragés. Un livre non fictif d’Histoire de la Révolution industrielle n’aurait pas le même effet que ces images atroces. Ensuite, l’auteur d’ouvrages fictifs est libre de diversifier également les genres. En effet, la fiction n’est pas limitée à un seul genre et peut s’exprimer de différentes manières. On peut dénoncer la guerre par exemple

pour but de convaincre, c'est-à-dire d’amener le destinataire à adhérer à un point de vue en jouant sur la logique, la rigueur et le rationnel. On peut aussi faire appel aux sentiments, au plaisir et à l’émotionnel, pour le persuader. De plus, le récit fictif utilise l’argumentation indirecte alors que pour présenter directement ses arguments, on utilise une argumentation directe, pour amener le destinataire à adhérer à son point de vue. Certains auteurs, comme Perrault ou la Fontaine, ont choisi d'argumenter

un messages, des valeurs et une morale à nos enfnts, Ces histoires sont un peu comme la pierre de l'édifice ; elles servent à forger l'âme de l'Homme, Plus tard, quand on quitte l'enfance, ces histoires ne nous interresse plus, on perd le goût du recit car cela nous semble enfantin,,, Des auteurs comme voltaire , on su titrer parti de la force de l'argumentation d'une fiction, La fontaine a dit : (tu le sais surement mieu que moi) « les rimes sont le squelette de la fable et la morale est son âme »

L’Apologue I. L’apologue 1) Définitions : * Petit récit d'un fait vrai ou fabuleux, dans lequel on a pour but de présenter d'une manière indirecte une vérité morale et instructive. * Récit à visée argumentative et allégorique qui ne se soucie pas toujours de sa vraisemblance. 2) Caractéristiques du genre : * Donne chair à des situations parfois lointaines ce qui permet une identification aux personnages. * Séduit avant de faire réfléchir. * Bref Evite l’ennui

Le genre autobiographique L'autobiographie est un genre littéraire, le récit que fait un auteur de sa propre vie. L'auteur, le narrateur et le personnage principal sont la même personne. Le point de vue est interne et le récit est fait à la première personne du singulier. Deux 'je' sont exprimés dans une autobiographie, le 'je' au moment de l’événement raconté (le passé) et le 'je' au moment où l'auteur écrit. Ce dernier fait une sélection parmi ses souvenirs, il s'efforce également d'être

argumentation. L’auteur cherchera à convaincre son lecteur en touchant sa raison à travers un développement logique et claire comme on peut l’observer dans Emile ou De l’éducation Rousseau réfute pas à pas l’utilité des fables. Commençant tout d’abord par le récit puis par la morale pour arriver une conclusion générale sur l’interprétation possible de fables. L’écrivain cherche aussi l’exhaustivité dans son propos et présente alors le sujet traité sous la perspective la plus large possible. Ainsi Descartes

une armée dévalant tout sur leur passage. Cette horreur suscite la peur chez le lecteur qui peut ainsi prendre conscience de la misère des ouvriers bestialisés et enragés. Un livre non fictif d’Histoire de la Révolution industrielle n’aurait pas le même effet que ces images atroces. Ensuite, l’auteur d’ouvrages fictifs est libre de diversifier également les genres. En effet, la fiction n’est pas limitée à un seul genre et peut s’exprimer de différentes manières. On peut dénoncer la guerre par exemple