Récit Avec Des Paroles Rapportées Au Discours Indirect

Lerat Catalyseur de la parole, un personnage important (Mme Lerat n’était pas au spectacle) qui est informé par Nana (l.6 à 10) Confidente (l.28 à 34) Chaperon de Nana Ironie de Zola sur le nom de famille et son apprêté au gain (l.39) b) Le dialogue sert à rapporter les faits de la veille Le triomphe de la veille, allusion à l’article de Fauchery Le dialogue sert à expliquer la psychologie des personnages c) Des paroles rapportées au style indirect libre On voit bien l’orgueil

travers les réécritures de l’Antiquité à nos jours. A Quelques définitions : les fables La fable : Étymologiquement, ce mot vient du latin « fabula » : « propos », « récit ». Il est probable que vous retiendriez la présence d’animaux, métaphores des humains ; et aussi la présence d’une morale, la maxime que le récit a illustrée. Vous n’auriez pas tort… Et pourtant, il existe des fables qui ne mettent en scène que des humains ou des humains et des animaux … De plus il ne s’y trouve pas toujours

Sequences descriptives 1) L'autoportrait: texte I 2) Le portrait physique et moral, le parallele : texte II 3) La description de piece/ appartement: texte III 4) La description d'une ville : texte IV Chapitre 2 Sequences narratives 1) Le recit historique : texte I 2) Le recit romanesque au passe compose : texte II 1 2 2 6 6 9 10 12 16 20 21 21 26 31 38 43 43 48 Chapitre 3 Sequences dialogales/ conversationnelles 1) Le dialogue de theatre : texte I 2) Le dialogue de roman : texte II Chapitre 4 Sequences

l'emploi du style indirect libre aux lignes 20 à 28. (2 points), 2°) Commentez les images "un rire de poulie mal graissée" (ligne 18) et "un fichu grelot'(ligne 29). (2 points) Faites un COMMENTAIRE COMPOSE du passage. (16 points) REPONSES AUX QUESTIONS l) Le style indirect libre (lignes 20 à 28) consiste à Intégrer les paroles d'un personnage dans le système verbal (imparfait, plus-que-parfait, futur dans le passé) et pronominal (troisième personne exclusivement) du récit. Les diverses

aristocratique, tels Mme de Blinval ou le chevalier, qui ne daignent pas se pencher sur la misère des classes populaires. Ensuite, on peut regrouper des soi-disant gens de lettres tel le philosophe, qui en fait ne sait pas réfléchir et se fait le porte-parole d’une société bienpensante et le poète élégiaque qui est l’antithèse de l’écrivain tel que Victor Hugo le conçoit. Il se contente de composer de vains poèmes lyriques alors que l’homme de lettres doit conduire et éclairer le peuple. 6 Dans le cadre

les unes contre les autres, non seulement sans avoir aucun intérêt au procès, mais sans savoir même de quoi il s’agit. ». La formule négative latine non solum … sed etiam est la conclusion d’une série « dont la mémoire même ne subsiste plus, ces discours ne parviennent pas seulement aux oreilles du prince ». Le rythme des évènements est très rapide et les deux procédés amènent à l’idée d’un mécanisme autonome et sans contrôle. Dans le second, le texte n’émet aucune thèse mais il offre un spectacle

les unes contre les autres, non seulement sans avoir aucun intérêt au procès, mais sans savoir même de quoi il s’agit. ». La formule négative latine non solum … sed etiam est la conclusion d’une série « dont la mémoire même ne subsiste plus, ces discours ne parviennent pas seulement aux oreilles du prince ». Le rythme des évènements est très rapide et les deux procédés amènent à l’idée d’un mécanisme autonome et sans contrôle. Dans le second, le texte n’émet aucune thèse mais il offre un spectacle

..................................... 10 Les séquences : corrigés et exemples de mise en pratique Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence Séquence 1 : Le récit (1) : chronologie et durée ........................................................ 2 : Le récit (2) : narrateur et point de vue .................................................. 3 : Le roman : présence des personnages ................................................. 4 : Le théâtre : du texte

Marceline réagit avec violence, en femme qui a pris l'habitude de se battre. Alors que l’assemblée s'apprête à la condamner pour avoir fauté, elle devient l'accusatrice et fait un discours polémique contre les hommes, qu'elle qualifie avec des termes dépréciatifs (« séducteurs », « ingrats »). La violence de son discours se trouve aussi dans les exclamatives :« Hommes plus qu'ingrats, qui flétrissez par le mépris les jouets de vos passions, vos victimes! » ❖ Fantine incarne pour sa part la résignation

puis j’ai vu », au début du dernier quatrain, avec un connecteur logique qui indique la suite et la fin de l’action, idée que renforce l’’expression « pour la dernière fois » : le je lyrique est au sol et décrit sa dernière vision. On a donc un récit de chute en trois temps, composée de l’entrée trébuchante du poète, de son écroulement et de sa sortie, toujours raconté dans le prisme de son rapport aux autres. Partie I : On remarque que le titre est double : « Hypermarché - Novembre ». C’est