Récit Avec Des Paroles Rapportées Au Discours Indirect

Séquence CLASSE DE TROISIÈME Un long dimanche de fiançailles de Sébastien Japrisot SOMMAIRE Séance 1 › Un récit d’amour et de guerre p. 2 › Cinq soldats dans la tourmente p. 3 Dominante : lecture-découverte de l’objet-livre Séance 2 Dominante : lecture analytique Fiche élève › Écoutez lire Séance 3 › Le portrait de Mathilde p. 4 p. 5 Dominante : lecture analytique Séance 4 Un long dimanche de fiançailles de Sébastien Japrisot est également disponible

caractéristiques du récit II. Les discours des personnages III. La leçon I. Les caractéristiques du récit a) Temps, lieu, personnages Le temps et le lieu sont toujours imprécis, avec cependant un lieu implicite: la cour du lion (˜Louis XIV). On note cependant des temps du passé: imparfait, passé simple. Au niveau des personnages, les animaux sont humanisés car ils parlent beaucoup et individualisés par leur discours. Nous sommes dans une société hiérarchisée (cour du roi Louis XIV) Le récit est long et

des pages. Les paroles des personnages sont le plus souvent rapportées avec le discours direct comme par exemple dans Le chêne et le roseau. ( « (…)La nature envers vous me semble bien injuste. _Votre compassion, lui répondit l arbuste (…) » vers 17 et 18. ) Il y a tout de même quelques exceptions comme par exemple dans la fable intitulée la Mort et le bucheron. Dans cette fable, les paroles sont rapportées au discours indirect libre : Il appelle la Mort ;

Enoncé ancré / énoncé coupé. La différence entre un énoncé ancré et un énoncé coupé ressemble un peu à la différence que l’on peut faire entre le discours direct et le discours indirect ; entre le discours et le récit. Pour comprendre un énoncé ancré dans la situation de communication, on a besoin de connaître les circonstances dans lesquelles s’est produit cet énoncé. En revanche, l’énoncé coupé de la situation de communication se comprend par tout le monde, sans avoir besoin d’un supplément

Delpeuch, professeur agrégé de lettres modernes. C L A S S I Q U E S A B R É G É S Notre-Dame de Paris Victor Hugo Introduction : L’intérêt pédagogique La lecture de Notre-Dame de Paris trouve parfaitement sa place dans le cadre de l'étude d'un récit du xIxe siècle, au programme des classes de quatrième. La séquence qui suit permettra de mettre en évidence la puissance dramatique du roman, par des lectures analytiques centrées sur la narration, la description et les dialogues ainsi que par une

d’énonciation  « dis­je »  « je laisse » Discours ou récit L’évolution des personnages . Récit  .« un  certain  loup »,  « un  cheval » :  il    s’agit  de  catégories.   Recherche  de  .Discours  du  narrateur,  qui  apprécie  nourriture :  comportement  animal,  et  « quelle joie »… humain .  Passé  simple :  élément  .La  violence  de  la  nature :  « chasse »,  déclencheur « aperçut  un  cheval »  « croc », « proie » …et  raconte  en  s’effaçant  derrière  les  v.6 paroles des personnages 3. Première  péripétie 

                                                                                  Les livres 7 à 12 présentent des fables plus amples (le 12° a été édité en 1693) que celles du premier recueil composé en 1668 à l'intention d'un enfant, le Dauphin. Comme toute fable, elle allie le récit à l'enseignement (docere et placere=instruire et plaire). Hérité de l'Antiquité, ce genre, illustré notamment par Esope en Grèce et par le fabuliste latin Phèdre a été repris et développé par La Fontaine qui en est devenu le maître Cette mise en scène

progressivement Manon après avoir été enfermé une année dans sa chambre. La sagesse progressivement revenue le conduira à entamer des études de théologie. Des Grieux se distingue alors dans un exercice de fin d'année d'étude tenu à la Sorbonne. Son discours émeut l'assistance. Seulement, Manon était présente et dès le retour de des Grieux dans son séminaire elle vient l'appeler au parloir. Après deux années d'absence, l'apparition frappe le jeune homme et va bouleverser ses convictions d'ecclésiastique

mène sa critique en voulant à la fois plaire et instruire. Nous cerneront l’art du conteur puis nous montreront qu’il y a une parodie de procès et nous cerneront la dimension critique de la fable. I. L’art du conteur A. La composition du récit 1ère étape : situation initiale (v.1 à 14) Elle contient l’élément perturbateur puisque la situation initiale évoque la peste qui atteint les animaux. On peut noter que le fabuliste dramatise la situation : il commence par des périphrases hyperboliques

rencontré le chevalier Des Grieux. Le récit de Des Grieux commence aussitôt après et la scène de rencontre se situe presque au début du récit, ce qui souligne son importance dans l’histoire. C’est une rencontre qui est présentée sous le signe du hasard et de la fatalité (souvent associée à une destinée), puisqu’elle est caractérisée par un véritable choc, un coup de foudre. Elle est rapportée à travers une alternance de récit à la première personne et de discours rapportés. Avec le recul du temps, le