Réaction Physique Du Rire

exactitude la situation du coup de foudre, nous n'avons pas les symptômes qu'éprouvent les personnages car l'auteur s'attarde souvent sur la description physique où la situation dans laquelle il est. Le côté scientifique n'entre pas en question. Le fait d'avoir étudié la partie scientifique auparavant, nous aide à mieux comprendre les réactions des personnages. Dans L'éducation sentimentale de Flaubert, l'auteur arrive à nous décrire en une phrase une véritable scène de coup de foudre : « Leurs

Sheldon : Tu te ferais des particules de terre dans une suspension colloïdalec’est a dire . De la boue. Homosapien qui s’accouple Sheldon ricane. Leonard : Sheldon, ne fais pas ça. C'est irrespectueux. Sheldon : J'espère bien. C'était un rire de dérision. Sheldon : Change de place. - Lingette ? Penny : Pourquoi tu... Leonard / Howard : Ne demande pas ! Sheldon : Je vais te le dire. Je dois me désinfecter les mains parce que l'université a remplacé les serviettes en papier par des sèche-mains

Diaboliques de Barbey d'Aurevilly ; la servante d'auberge de la nouvelle de Rémy de Gourmont Les Yeux d'eau. Toutes appartiennent à une marginalité attirante. Mais la diversité des points de vue adoptés et des descriptions de femmes, dont certains traits physiques ou mentaux sont mis en évidence, donne lieu à des représentations différentes de la séduction féminine. Pour les femmes des trois premiers textes perçues à travers le regard désirant d'un homme (le narrateur don José pour Carmen ; Robert de Tressignies

idée du sexe féminin comme secondaire ou numéro deux : « Le féminin est toujours décrit comme défaut, atrophie, revers du seul sexe qui monopolise la valeur: le sexe masculin » (68). « Nous serions deux, dans leurs calculs. Ça ne te fait pas rire? Un drôle de deux. Laissons-leur le un. Le privilège, la domination, le solipsisme du un: aussi du soleil. Et cette étrange répartition de leurs couples, où l'autre est l'image de l'un. Image seulement » (207). Dans ce contexte la femme n‘a pas

bien _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ 20 • Faire régulièrement de l’exercice éloigne la dépression _ _ 5 • La luminothéraphie diminue la dépression_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ 5 • Que pouvez-vous faire pour devenir plus heureux, et rire à nouveau ?_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ 5 • Tableau récapitulatif _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ 7 chapitre 2 Le stress : un ami qui nous fait du mal_ _ _ _ _ _

somnolence, parfois accompagnée de nausées, de vertiges et d'un ralentissement du rythme cardiaque. Quelles plaisirs peuvent éprouver les jeunes à sniffer et fumer des drogues car celles-ci provoquent des dépendances psychologiques (comme le cannabis) et physiques. De plus la vie de l'usager et celle des autres sont mises en danger, comme c'est le cas avec l'alcool au volant (1.200 tués par an en France) sans parler des risques pour la santé ni de la dégradation, voire de l'anéantissement des relations sociales

éclats avec la deuxième proposition, et la puissance de la noblesse est ainsi présentée comme étant absurde et illégitime. La satire vise également la métaphysique, c’est-à-dire la philosophie étudiant Dieu (« métaphysique » : « au-delà du monde physique »). Voltaire n’est pas athée, mais déiste : il pense que le monde a été créé par Dieu, mais que celui-ci n’intervient pas dans la vie des hommes. Ce qu’il reproche à la religion catholique, c’est son lien avec la monarchie de droit divin. Si le

sujet de synthèse et d'écriture personnelle sur le rire : Vous traiterez les deux questions suivantes : 1) Vous ferez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants consacrés au rire. (40 points) 2) Pensez-vous que le rire soit un bon moyen de communiquer ? (20 points) Document 1 : [Monsieur Jourdain, bourgeois qui veut imiter les nobles, s’est fait faire un habit d’homme de qualité, qui provoque l’hilarité de sa servante.] Nicole, Monsieur Jourdain, Laquais. Monsieur Jourdain

épouse en opposant le pauvre Bobby à ce qu’elle a dit : la pauvre Bobby. Mme Smith parle elle-même ensuite de cette ambiguïté puisqu’elle indique qu’elle s’appelait comme lui Bobby Watson. Ce qui crée un comique de situation à cet endroit c’est la réaction de M. Smith qui est surpris par la phrase de sa femme :tu veux dire « le » pauvre Bobby :en principe, cette remarque ne serait pas drôle, il s’agit juste d’un mari qui corrige une étourderie de sa femme et là M Smith réagit de façon rationnelle :ici

deux, l'un derrière l'autre, celui de derriere doit lancer le stylo à celui de devant qui ne doit pas regarder derrière... on constate que la personne qui est devant tente de voir, est excitée. C'est une situation de stress (réaction physiologique, organique, appréhension ou rire = émotionnel...) Evaluation : y 'a t-il des enjeux personnels ou non ? A-t-on les ressources affectives, physiologiques... pour faire face aux enjeux personnels ? Reponse : adapté = on dispose des ressources pour y faire