Ruy Blas Moliere

diffèrent selon les profs demande donc à d'autres plus de précisions.     4. le théâtre classiqueVoilà un mouvement bien français. On observe une rupture avec le baroque. Les auteurs les plus connus sont bien sûr Corneille, Racine pour les tragédies, et Molière pour les comédies. Toutes les tragédies et une partie des comédies sont écrites en vers. Chaque changement de scène correspond à une entrée  ou sortie de personnage. On respecte la règle des trois unités: un seul lieu, une seule journée, une seule

lecture mais surtout lors de la représentation. On peut prendre de nombreux exemples comme dans le Tartuffe de Molière, à l’acte deux scène deux, dans l’opposition entre Orgon et Dorine, les didascalies permettent de visualiser les réactions des personnages, leurs mimiques et mouvements et contribuent ainsi à l’effet comique, « Il lui veut donner un soufflet et la manque. » ou encore dans Ruy Blas de Victor Hugo, « Il va à la porte, l’entrouvre et revient. » , dans Le roi se meurt de Ionesco, « Le Médecin

pathétique. C’est le cas dans Dom Juan de Molière. Même si la pièce est ambiguë du début à la fin, on peut voir en la mort de Don Juan la mort mérité d’un homme sans morale, et sans foi. De ce sens-là, c’est une mort juste, amplement méritée, qui ne suscite pas de pitié chez le spectateur mais qui lui apprend plutôt une morale. On peut également y voir du burlesque, tant défier la mort semble aussi ridicule. Un châtiment, c’est aussi le cas dans Ruy Blas de Victor Hugo, où le personnage éponyme tue

théâtre comme lieu de l'émotion. Mot « théâtre » renvoie d'abord à un lieu magique, au partage d'une émotion (spectacle collectif). 2. Présence sur scène des acteurs. Comédien = être de chair, donne vie au texte, au personnage. Émotion du rire (Molière) ou des larmes (tragédies, Racine...) 3. Rôle du metteur en scène. Étape du processus de création théâtrale. Grands dramaturges souvent metteurs en scène de leur propre texte. Importance accrue des metteurs en scène « professionnels » au XXè siècle

il est bien toujours Scapin, son complice ! Le stratagème porte ses fruits : Argante se « résout à donner les deux cents pistoles » que les deux valets cherchaient à lui extorquer… C’est le stratagème, tant de fois repris dans les comédies de Molière et si efficace, du jeune amoureux qui s’introduit déguisé chez sa belle, sous les yeux même du vieux père : Cléonte, amoureux de Lucile, fille du Bourgeois gentilhomme réussit, déguisé en Turc, ainsi à épouser la jeune fille. Dans Le Malade imaginaire

(exagère/grossit/déforme) Comédie répond a ces caractéristiques. -comédies de caractère (dépeint types humains et leurs défauts, cf  Tartuffe, Les Précieuses ridicules, Le Bourgeois gentilhomme, L’Avare de Molière) -comédies de mœurs (dénonce vice sociétés cf Les femmes savantes de Molière, traitant de l’éducation des femmes) -grandes comédies (a intension morale : Dom Juan) BUT rôle social = fonction ludique plaire et instruire (théâtre divertissement a la base), fonction morale (corrige

répétition) Le parallélisme consiste à construire plusieurs membres de phrases sur une construction syntaxique identique.(Si la répétition est celle d'une structure syntaxique) Ex : « Guerre entre les couvents , guerre entre les provinces » (Hugo, Ruy Blas 1838) L'anaphore est la répétition qui porte sur un terme ou une expression en début de vers ou de phrase. Ex : « Je hais les domestiques , j'en hais l'espèce odieuse et vile. » « Il n'y a pas d'amour qui ne soit à douleur. Il n'y a pas d'amour

pas compte des didascalies, il ampute l'œuvre. Ainsi de Dom Juan et Sganarelle, au début de l'acte III de la comédie de Molière : ils sont habillés l'un en médecin, l'autre en habit de campagne ; si Sganarelle n'est pas en médecin, il ne peut plus prétendre parler sous l'influence de son habit de médecin (« Cet habit me donne de l'esprit... ») et on perd toute l'intention de Molière. 2. Costumes et décors servent d'indicateurs Objets, costumes et décors permettent d'identifier la pièce au premier

SUJET : Dans la Préface de Ruy Blas, Victor Hugo distingue trois catégories de spectateurs : les uns demandent au théâtre « le plaisir des yeux », d’autres « le plaisir du cœur », d’autres enfin, « le plaisir de l’esprit ». En vous appuyant sur les nombreux extraits que vous trouverez dans votre livre Le français méthodique, sur les œuvres étudiées en classe ou sur votre expérience de spectateur, expliquer comment le théâtre peut satisfaire chacune de ces attentes. Le théâtre fait son apparition

motivations poussent les Hommes à aller au théâtre. Léchy Elbernon, personnage crée par Paul Claudel (auteur du roman l’Echange), déclare que le public vient au théâtre pour « se regarder lui-même ». Victor Hugo, qui exprime sa pensée dans la préface de Ruy Blas, estime qu’il existe trois types de spectateurs qui se rendent dans ce lieu pour différentes raisons : « la foule demande des sensations ; la femme, des émotions; le penseur, des méditations ». Pour sa part, le critique Michel Cournot écrit à propos