Ruy Blas Masque

théorie de l'art. En 1838, on pouvait faire en France le premier bilan critique du théâtre romantique, de ses succès, de ses espérances et de ses faiblesses. C'était l'époque où Victor Hugo avait donné non seulement Cromwell et Hernani, mais aussi Ruy Blas, celle où Alexandre Dumas père avait fait jouer Antony et Kean, celle enfin où l'on avait déjà vu Chatterton de Vigny et les premières pièces d'Eugène Scribe. C'était une époque qui orientait tout na­turellement l'attention des contemporains et de

l'allié objectif est le niais, et enfin le traître. En trois actes, on passe de l'amour et du bonheur au malheur et enfin au triomphe de la vertu. L'intérêt principal réside dans la peinture du malheur. Le retour à l'ordre, ou plutôt à la norme, ne masque cependant pas le plaisir de voir souffrir ceux qui tombent dans le malheur. Là s'accomplit la lutte du bien et du mal, qui aboutit à une maxime morale, laquelle renvoie à une conception religieuse du monde. Une véritable éthique mélodramatique se

t'appelles-tu ? - Ekalé, répond-elle. - C'est mon homonyme, enchaîne ma grand-mère. Oui, elle s'appelle Ekalé comme moi. - Mais toi, rétorqué-je sans détour, tu ne t'appelles pas Ekalé ! Tu t'appelles Iyo, pas Ekalé ! Dans notre langue, ekalé c'est le masque. Toutes deux éclatent de rire [...] - Aïe ! Mwana, ne me fais pas mourir de rire pendant que je travaille. Francis Bebey, L'enfant-Pluie, Sépia, 1994. .A quelle personne ce roman est-il raconté ? .Repérez les interventions du narrateur. Quel

laid aime, mais c'est forcé ! la plus belle qui soit ! [page 86], la lettre d'amour qu'il a faite, page 109) alors qu'elle l'est de Christian. Le pacte méphistophélique, faustien, entre Cyrano et Christian, permet à la passion de s'exprimer sous un masque, à travers un substitut : «Donne-moi ton corps, ta beauté, je te donnerai mon âme, mon esprit, et, à nous deux, nous ferons un personnage». Par vengeance, De Guiche envoie Christian à la guerre en disant : «C'est mon Roi que je sers en servant ma

Villers Cotteret : tout acte officiel sera rédigé en langue vulgaire : français 1549 : Du Bellay : Défense et illustration de la langue française ; 1ère moitié du XVI : Rabelais M. de Navarre Clément Marot Retour aux textes antiques sans le masque du commentaire. Accès individuel par la traduction de textes originaux. La Question Religieuse : L’Evangélisme : Accès direct au textes . C’est l’attitude de Erasme ou de Lefebvre d’Etaples, son disciple français : aller directement à la source

fois de n’être pas trompé (on sait que c’est un roman), et de lire comme si on l’était (on le lit comme si c’était vrai) ; le lecteur peut jouer à être la dupe du texte sans l’être vraiment ; le mensonge redoublé de l’éditeur et du rédacteur, masques de la narration, conduit ainsi à une conscience de la fiction qui est peut-être le plus haut degré de vérité du mensonge. Dans cette seconde interprétation, le dispositif qui règle le statut de La Vie de Marianne n’aurait pas pour fonction de renforcer

l'expression en anaphore, on a des adverbes, des circonstancielles, des noms. Citations culturelles de Racine « andromaquent », à Corneille « courent, volent et nous vengent » en passant par Baudelaire « leurs ailes de géants empêchent de voler » et Hugo « Ruy Blas ». Jeux de mots et de sons pour montrer la bêtise de l'élite : « croient croire », « croa-croa ». On file du bruit de la grenouille au coq peut-être avec les « plumes », symbole de la pédanterie. Au début, on a de la poésie en vers libres et ensuite

Clopin porte deux costumes principaux au cours du film: Un costume bouffon (voir à droite) qu'il porte au Festival des Fous. Il porte également un costume similaire dans les catacombes, mais il est presque entièrement violet sans garniture d'or, pas de masque, et pas de cloches. Dans "La Cour des Miracles», il porte un habit d'avocat, un costume de juge, de bourreau et une tenue pendant de brèves périodes de temps. Il apparaît dans le film cinq fois. La première apparition est quand Clopin chante "Les

de Goethe, « Die Räuber » et « Wellenstein » de Schiller, « Prinz von Homburg » de Kleist. Drames historiques qui font revivre des moments d’histoire étrangère  « Don Carlos », « Marie Stuart », « Guillaume Tell » de Schiller, « Hernani » et « Ruy Blas » de Hugo, « La mort de Danton » de Büchner. Théâtre réaliste  « Woyzeck » de Georg Büchner les personnages parlent en dialecte, thème romantique de l’aspiration de l’émancipation, met en scène l’injustice sociale. Auteurs dramatiques utilisent

la passage du valet de comédie à un personnage romanesque. Il y a une rupture avec les valets de comédie traditionnelle. Figaro est tout à fait unique en son genre, après lui, plus aucun valet de comédie ne sera ainsi. Son premier successeur est Ruy Blas. SED NON SATIATA Déité : déesse Obi : sorcier noir Faust : personnage qui a vendu son âme au diable Constance : vin exotique du Cap (Afrique du Sud) Nuits : vin capiteux de Bourgogne Partir en caravane : mener une vie de débauche Mégère :