Rousseau Réprimer Ses Passions

les pièces appelées miracles ou mystères) ou des représentations allégoriques à visée édifiante (dans les moralités). Voir miracle, mystère et moralité. Les miracles, qui privilégient d'abord les épisodes bibliques, notamment la Passion du Christ (le Mystère de la Passion d'Arnoul Gréban est considéré comme un chef-d'œuvre du théâtre du XVe siècle), prennent progressivement en compte toute l'Histoire sainte, en particulier la vie des saints (ainsi des jeux de Jean Bodel composés entre le XIIe et le

| | | |Jean-Jacques ROUSSEAU (1762) | |

laes, de lllontagnes, de baiscl's ¿hes (1) tendrcment échangés sous les grands cMtaigniers; la vie splendide de la cour ot des chateaux fut dédaignée pou!' une fausse simplicité rustique; on visita l' lle des peuplieJ's, le tombeau de JeanJacques Rousseau, dans le pare d'Ermenollville, jal'dinet philosophique) désert prétontieux qui avait remplacé la vieillc et noble demeuI'e des Montmorency-Condé. On prit les habitudes el'un romanesque sentimentalisme; on joua au (1) Expressiollb de Ronsseau qui

grandes réflexions philosophiques et c’est l’ordre juridique et politique qui se voient peu à peu contestés. Pourtant, en dépit de l’unité apparente, les critiques du droit et du système politique par les penseurs phare comme Montesquieu, voltaire et rousseau, sont loin d’aller dans le même sens. Ces critiques vont déboucher sur la révolution française. Du point de vue technique, ce nouvel idéal législatif va culminer dans l’idée de code ; l’idée de code et celle de codification va s’imposer sous Napoléon

arguments de sa confidente, et veut voir Titus. Acte II Scène 1.Titus paraît et renvoie sa suite. Scène 2. Avec son confident, Paulin, il analyse les raisons qui le poussent à ne pas épouser Bérénice, au mépris de ses promesses et de leur passion commune. Comme il interroge Paulin sur ce que pense Rome de son mariage avec une reine étrangère, il apprend que la ville, bien qu’elle garde le silence, n’est pas favorable à cette idée. Titus révèle que, refusant surtout de bafouer la loi romaine

rurales, qu’un moyen de les pressurer de taxes et de corvées. L’absolutisme, triomphant sous Louis XIV, s’est vu contesté par les philosophes. Voltaire a montré les mérites du parlementarisme anglais. Montesquieu a défendu la séparation des pouvoirs. Rousseau, plus radical, s’est déclaré partisan des principes démocratiques et républicains, tout en dénonçant les inégalités sociales... Dès la fin du règne de Louis XV, des oppositions ont surgi au sein des parlements qui revendiquent un rôle législatif

son appartenance au monde judiciaire, Montesquieu connaît bien les thèses parlementaires visant à la limitation du pouvoir royal. Pourtant, c’est un modéré, un noble qui ne veut pas voir se modifier l’état social. Il se passionne davantage pour les sciences, la littérature, la philosophie politique, les voyages, … et oriente sa curiosité vers les humanités à travers la littérature et la philosophie. En 1791, il publie anonymement les Lettres persanes :

débarrasser du carcan de la religion chrétienne, dont il combat l’intolérance. Sur ce point, il met en péril l’assise théocratique du roi, monarque de droit divin. ROUSSEAU (1712-1778) : connu pour son contrat social. Il estime que la souveraineté réside ds le peuple, en opposition avec le Roi se proclamant seul souverain. Rousseau parle donc de délégation humaine de la souveraineté opposée à la délégation divine. La responsabilité des Lumières dans la Révolution Française OUI, ils ont une

Jaurès, ou celle du jeune Léon Blum l’illustrent parfaitement et témoignent du glissement de jeunes intellectuels, en quête de justice, vers le socialisme. Toutefois, le gouvernement modéré réprime aussi vigoureusement les manifestations ouvrières, préférant favoriser l’ordre et la propriété contre la montée anarchiste. De fait, avec la crise économique, les conditions de vie de la classe

africains, pouvant invoquer l’exemple des régimes socialistes européens et encouragés par l’indulgence quasi incitative des Etats démocratiques occidentaux, avaient pu imposer sans complexe par les textes ou dans les faits le système du parti unique et réprimer les oppositions naissances au nom de l’unanimisme de 1’Etat Nation. Certains leaders n’hésitaient même pas à soutenir que la séparation des pouvoirs était contraire aux traditions politiques africaines ou qu’au contraire la concentration des pouvoirs