Rousseau Principe D éducation

La Laïcité La laïcité est un principe de liberté, liberté de croire ou de ne pas croire à une religion. Elle est au fondement de notre société et par conséquent de notre système éducatif. Ethologiquement le mot laïque vient du grec «  laos  » qui signifie peuple. Donc à l’origine est laïque ce qui n'appartient pas au clergé ni à un ordre religieux. Historiquement la laïcité est un concept assez tardif. Dans

faites en partie de préjugés. Or, un préjugé n’étant qu’un jugement porté par avance sur quelque chose sans qu’il n’ait été vérifier de manière concrète; il serait donc difficile d’ estimer valables les opinions influencées par la société. D’ailleurs Rousseau disait: «La raison, le jugement, viennent lentement, les préjugés accourent en foule. », d’après ce philosophe, les préjugés sont nombreux et sont très facilement assimiler par un individu, contrairement à la raison qui elle est beaucoup plus compliquée

Jean-Jacques Rousseau, Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes, Flammarion, Amsterdam,1755. « Quelle est l'origine de l'inégalité parmi les hommes, et si elle est autorisée par la Loi naturelle ? » Dédicace Rousseau décrit la meilleure des sociétés humaines : Celle-ci présente tout d'abord une superficie réduite (aux facultés humaines) afin que tous se connaissent et que rien ne puisse être caché au public, que ce soient les vices ou les vertus. Ainsi

reçu aucune éducation, une fille peut donc se faire piéger par un charmeur trop facilement. De plus, instruire les filles permet de contrecarrer la mauvaise foi des hommes. En effet, Émile de Jean-Jacques Rousseau, publié en 1762, illustre cette mauvaise foi. "Force-t-on vos filles à perdre leur temps en niaiserie ? Leur fait-t-on malgré elles passer la moitié de leur vie à leur toilette, à votre exemple ? Vous empêche-t-on de les instruire et faire instruire à votre gré ?". Rousseau s'adresse directement

ts stades de sa croissance.    La  révolution pédagogique  apportée  par les  pédagogies actives fut de réclamer la participation active de  l'apprenant  à  sa  propre  formation,  de  l'inciter  à  aller  au­devant  de  son  apprentissage.  Ce  principe  essentiel  trouve  sa  source dans les multiples théories pédagogiques  basées  sur  la confiance  en  la bonté  originelle de la  nature  humaine qui marquèrent la  deuxième moitié  du 18ème  siècle ​ ( J.J.Rousseau ­ H.  Pestalozzi ).    Pestalozzi 

public, il rassemble autour de lui les « Indulgents » qui s’opposent à la Terreur. Robespierre le fait guillotiner en avril 1794. Maximilien de ROBESPIERRE (1758-1794) : Avocat à Arras, il est élu député du Tiers-Etat en 1789 et défend les idées de Rousseau sur l’égalité et la fraternité. Il est élu à la Convention en 1792 et devient le véritable dirigeant du comité de Salut public : c’est pourquoi il met en place la Terreur pour faire face aux périls qui menacent la République. Accusé de vouloir la

législation est à peu près incurable snas d’énergiques préparatifs… » « l’ordre juste est celui où s’établit une hierarchie intangible, où la vérité commande à l’erreur, où le savoir domine l’opinion , et où la raison contient les désirs » Jean Vioulac Education : 2 fonctions Le PROLONGEMENT de la philosophie politique grecque dans l’ère chrétienne Rappel : les stoïciens disent que si vous êtes ajusté il ne faut pas craindre la mort car on va faire partie de ces fragments du COSMOS La philo politique

TENTATIVE DE REPUBLIQUE SOCIALE Louise MICHEL: Née en Haut-Marne, Louise Michel est élevée par ses grands-parents, elle reçoit une bonne instruction et une éducation libérale, elle lit Voltaire et Rousseau. Mais en 1850, devient institutrice et fonde une école libre où elle enseigne pendant trois ans selon les principes républicains. A Paris, Louise Michel fait la connaissance de Jules Vallès, Eugène Varlin, Rigault, Eudes, et surtout Théophile Ferré. Elle écrit pour des journaux d'opposition

régime démocratique sans se soucier des conditions le rendant possible ou souhaitable ? Cela ne vient-il pas du fait qu’on ait traité cette question comme un tout, au lieu de la traiter comme la partie d’un tout ? Car, comme le dit un grand esprit, Rousseau, il faut d’abord qu’un peuple soit un peuple avant qu’il ne songe à se gouverner ou à être gouverné. Si tel est le cas (nous y reviendrons), on peut déjà conclure que l’un des principaux enseignements du texte de Léo Strauss réside moins dans la

jour. François GALICHET s’interroge sur le décalage qu’il y a entre morale et citoyenneté les rapports sont fluctuants et oscillent entre deux pôles extrêmes : celui qui fait de la citoyenneté une simple application au réalisation empirique des principes universels de la morale et des droits de l’Homme (tolérance, respect d’autrui, solidarité, etc.) ; celui qui, à l’inverse, fait de la morale une extension, sublimation, amplification d’une exigence qui serait d’abord concrète, liée à l’insertion