Rousseau Les Fables Pour Les Enfants

(problématique retenue) L’argumentation : Les diverses formes d’argumentation Argumenter / convaincre L’engagement en littérature Titre, auteur Extraits - L’essai :  Etude comparée des textes de Voltaire, « article homme » qui critique Rousseau dans son Discours sur l’origine et le fondement de l’inégalité parmi les hommes.(extraits) - La lettre ouverte :  Zola, « Lettre à la Jeunesse » - Le dialogue :  Bernardin de Saint Pierre, Paul et Virginie, dialogue central :« C’était donc au pied

« Je me sers d’animaux pour instruire les hommes » Ce vers de la dédicace à Monseigneur le Dauphin du recueil de 1668 des Fables de La Fontaine exprime la visée argumentative de l’apologue et son efficacité. Car convaincre et persuader le lecteur peut se faire non seulement de façon claire et nette avec, par exemple, l’ essai, mais aussi par le biais de récits qui affichent une double ambition « plaire et enseigner ». Cependant est-il réellement

son époque par le biais de ses fables qui, pour la plupart, mettent en scène des animaux reflétant les travers de la cour du roi. « Le vieux chat et la jeune souris » présente une scène où un chat veut manger une jeune souris. La souris va donc essayer d'argumenter, en espérant naïvement que le chat la relâche. Mais ses paroles n'auront aucun effet face à l'insensibilité du chat. Dans la « Préface aux fables choisies », Jean de la Fontaine déclare que ses fables sont « un tableau où chacun de nous

société, dès le plus jeune âge à discerner le bien du mal, on éduque aux enfants la morale. Tout d’abord grâce aux parents qui ont la nécessité de leur apprendre afin de les protégés de la société et leur éviter de faire ce qui est mal ou aussi grâce aux fables de la Fontaine. J. J. Rousseau porte d’ailleurs une violente critique des fables dans Emile ou de l’éducation : «  On fait apprendre les fables de La Fontaine à tous les enfants, et il n'y en a pas un seul qui les entende. Quand ils les entendraient

fascinants 3- Le rôle du lecteur II) Les limites de l'argumentation indirecte 1- Se laisser séduire et oublier le message, la dénonciation 2- Le danger des contre sens 3- Absence de raisonnement développé, détaillé Pour éduquer les enfants, on recourt aux histoires, souvent destiner à forger leur vision de la vie ou à les édifier. L'âge adulte oublie un peu ce goût du récit, en tout cas considéré comme moins sérieux que les autres formes d'argumentation. Cependant, des écrivains comme

séquence : Nous verrons que la littérature a souvent été au service des idées et qu’elle est souvent apparue comme le lieu de la dénonciation de l’injustice et de l’oppression. Lectures analytiques : La Fontaine, Fables, " Les animaux malades de la peste "; VII, 1 La Fontaine, Fables, " Les obséques de la lionne ", VIII, 14 Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, " Les adieux du vieillard " ( "C’est vieillard qui parle... vertus chimériques" ) Lecture cursive : Diderot, Supplément

L’auteur cherchera à convaincre son lecteur en touchant sa raison à travers un développement logique et claire comme on peut l’observer dans Emile ou De l’éducation Rousseau réfute pas à pas l’utilité des fables. Commençant tout d’abord par le récit puis par la morale pour arriver une conclusion générale sur l’interprétation possible de fables. L’écrivain cherche aussi l’exhaustivité dans son propos et présente alors le sujet traité sous la perspective la plus large possible. Ainsi Descartes dans son

Auteur : Jean de La Fontaine Mouvement littéraire : Classicisme Siècle : 17ème Titre de l’œuvre : Les Fables de La Fontaine Contexte de publication : Genre : Apologue, Fable Bio/Bibliographie : Passage : Livre I, fable 5 : Le Loup et le Chien Résumé de l’œuvre : Un loup, maigre et faible, rencontre un chien menu qui lui propose de venir le rejoindre afin de quitter sa misère. Le loup d’abord convaincu, refuse car il ne veut pas renoncer à sa liberté. Registre : Thème : Difficultés :

littéraires peuvent être concernés et la critique peut prendre différentes formes. L’essai et le pamphlet, par exemple, se prêtent plus à l’engagement car ils sont argumentatifs mais il existe de la poésie engagée, des romans engagés, des contes, des fables. Lorsque l’écriture littéraire se met au service d’un combat, elle agit sur la société en dénonçant des faits parfois inconnus ou tabous. Elle est efficace en tentant de convaincre ou de persuader son lecteur, mais aussi car l’auteur engagé a

littéraires ne se contentent pas seulement de faire part de sentiments, mais les écrivains sont aussi porte-parole auprès de ceux qui ne peuvent pas se faire entendre : Victor Hugo critique, par exemple, le travail démesuré que doivent faire des enfants dans son œuvre : Les Contemplations et Montesquieu dans L’esprit des lois critique entre autre l’esclavage des nègres (p ar une démonstration par l’absurde : « Si j’avais a soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce