Rousseau Les Fables Pour Les Enfants

et le Roi de nous faire saisir tout le génie de La Fontaine, considéré à tort par beaucoup comme un écrivain modeste. Car La Fontaine a sans nul doute du génie, une critique contemporaine déclarait dans son introduction à propos du poète : «  les fables paraissent rassurantes quand elles devraient nous inquiéter, quand elles devraient nous déranger ». En effet, le fabuliste sait à merveille dissimuler ses critiques derrière des situations banales et rassurantes, parfois même si bien dissimulées que

Charles V et le fils de Louis Ier, duc d’Orléan et de Valentine de Milan. Il fut bercé dans le gout des lettres et des arts. A seize ans son père fut assassiné par le Duc de Bourgogne et sa mère mourut un an plus tard en laissant comme but à ses enfants de poursuivre le meurtrier de leur père. Lors de la bataille d’Azincourt(1415), Charles fut grièvement bléssé et fut amené prisonnier en Angleterre ou il demeura pendant vingt-cinq ans. Ces lors de cette captivité qu’il écrivit ses plus beaux poèmes

Document A : Jean de La Fontaine et les fables. (document inspiré de l’Encyclopédie Larousse) Jean de La Fontaine est né en 1621. Il appartient à la bourgeoisie provinciale d'« officiers » – c'est-à-dire, à l'époque, de fonctionnaires. La Fontaine acquiert une modeste charge de maître des Eaux et Forêts à Château-Thierry et devient propriétaire terrien. Ce contact avec la vie rurale inspirera bon nombre de ses fables. S’étant dessaisi de cette charge qu’il a exercée pendant 20 ans, il se tourne

effraierait les gens, nous servant de trompette, Et le Lièvre pourra nous servir de courrier. Le monarque prudent et sage De ses moindres sujets sait tirer quelque usage, Et connaît les divers talents : Il n'est rien d'inutile aux personnes de sens. Fables (1644) de Jean de la Fontaine Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle  Et qu'un douteux combat dérobe la douceur,  Que de deux camps

FRANCAIS I ) Dans le texte A il s agit d un texte poétique de Jean de la Fontaine , fables (XII,5) intitulé " Le Vieux Chat et la Jeune Souris" parut en 1694 . Dans le texte B , il s agit d un texte argumentatif de Jean Jacques Rousseau , intitulé "Emile ou De l` éducation" parut en 1762 . Dans le texte C il s agit d un texte argumentatif ( lettre ouverte ) d Emile Zola , intitulé "Une lettre à la Jeunesse" parut le 14 décembre 1897 . QUEL EST LE THEME COMMUN AUX TEXTE DU CORPUS

Introduction : Cette fable est la première du livre I des Fables de Jean de La Fontaine, écrivain classique du 17ème siècle, né en 1621 à Château-Thierry et mort à Paris en 1695. La Fontaine appartient au courant littéraire du classicisme comme Boileau, Molière, Racine, Perrault. Dans la Querelle des Anciens et des Modernes, il se range du côté des Anciens, défendant ainsi l’Antiquité et ses auteurs qu’il admirait. D’ailleurs, ses fables sont inspirées de celles d’Esope, fabuliste grec (VIIe siècle

Dissertation. Le genre des fables qui, même si le grec Esope est considérécomme son inventeur, relève d'une longue tradition orale et écriterencontreune grandepostéritépuisque des auteursmodernescontinuent à I'utiliser. Pourquoi ? La Fontaine, fabuliste du XVII" siècle, explique que si elles se présentent"en apparence"comme des "badineries", "elles portent un senstrès solide" et apportentdes "connaissances". Nous pouvons alors nous demanderquel est I'intérêt des fables. Pour cela, nous montreronsen

fable quand elle n’est pas implicite, le lecteur devant la dégager lui-même. Pour Phèdre, le fabuliste latin, « Le mérite de la fable est double : elle suscite le rire et donne une leçon de prudence1. » Cette portée didactique des fables peut expliquer que les fables ont circulé et ont été reprises d'une culture à une autre. Selon G. K. Chesterton, « la fable est une sorte d'alphabet de l'humanité au moyen duquel on a pu écrire les premières certitudes philosophiques; et pour cette raison les figures

Puis, ses fables en prose on était reprises par le fabuliste latin Phèdre au Ie siècle avant J.C. Au 17ème siècle, le célèbre fabuliste Jean de la Fontaine reprend à nouveau les fables de ses ancêtres et les améliore d’un point de vue non seulement esthétique et poétique mais aussi symbolique et les accomode au contexte de son époque, société dominée par le règne de Louis XIV, le Roi Soleil. « Le Loup et le Chien » est une fable de la Fontaine située dans le Livre I de son recueil Les Fables qu’il

les émotions du lecteur, avec notre affectivité, ce qui rend la transmission d'idées plus facile, comme dans "Le Petit Prince" de Saint-Exupéry, qui joue avec nos sentiments car nous avons une sorte d'attachement pour le petit prince, pour ce jeune enfant. Quand Saint Exupéry veut alors faire passer son idée, c'est alors beaucoup plus simple de le faire sur un lecteur attendri. Ainsi, le lecteur se laisse entraîner par le récit, et se laisse aussi surprendre par la morale que l'apologue contient.