Rousseau Et Pufendorf

Test de révision sous forme de QCM Une question peut faire l’objet d’une ou de plusieurs réponses Par déduction (par la maîtrise du cours), il est possible de retrouver les réponses à certaines questions Réponses en page 3 1°/ Locke, Hobbes, Rousseau s'accordaient-ils pour dire que la société a pour objet "la sauvegarde de la liberté naturelle à l'état civil" ? a°/ Vrai b°/ Faux 2°/ Concernant l’accessibilité du droit pour les sujets et les citoyens, quels sont les intrus dans la liste suivante :

ethnie, de sa nationalité, ou de toute autre considération. Les premières formulations du concept de droit naturel viennent de l'école de Salamanque, et ont ensuite été reprises et reformulées par les théoriciens du contrat social (Hobbes, Locke, Rousseau). Les théoriciens et les défenseurs de la notion de droit naturel sont appelés jusnaturalistes, et la doctrine correspondante jusnaturalisme. Au sens large, le droit naturel désigne toute recherche objective de normes de droit en fonction des

sociabilité( Kant) c) une solution : le microcosme III LES CONSEQUENCES POLITIQUES DE LA NECESSAIRE COEXISTENCE COMMUNE I) Maître/ valet ( Pufendorf Du Droit de la nature et des gens,) l’incapacité de certains à subsister seuls les conduit à se vendre à un maître. II) La critique par Rousseau de la thèse de Pufendorf ; l ‘appropriation des terres a induit la dépendance et avec elle, l’oppression. III) Le contrat social pour assurer la coexistence dans la liberté ? L‘égalité

généralité du titre est trompeuse : ce n’est ni du statut d’esclave en général, ni du fait historique de l’esclavage dont il sera dans ce chapitre question. Rousseau se donne un objet plus déterminé : réfuter les théoriciens de la servitude volontaire ou, plus précisément encore, de la servitude contractuelle. Dans les chapitres précédent, Rousseau a montré que la souveraineté politique ne doit reposer ni sur l’autorité naturelle qu’un homme détiendrait sur ses semblables, les hommes étant tous égaux

y a un droit qui préexiste à l’Etat et qui lui est antérieur. Ainsi, le dépositaire de l’autorité publique édicte des règles, le droit positif, qui trouvent leur force obligatoire dans leur position de soumission au droit naturel. Grotius et Pufendorf et le droit des gens. On assiste à une laïcisation du droit naturel. Contrairement à Thomas d’Aquin l’existence et le contenu du droit naturel peuvent être découvert sans référence à l’existence de Dieu. Le rationalisme est mis en avant. C’est Grotius

préliminaires (extrait) Document n° 2. Hans Kelsen, « Qu’est-ce que la théorie pure du droit ? », 1953, rééd., trad. fr. par Philippe Coppens, Droit et société, n° 22, 1992, p. 551 (extrait) Document n° 3. Hobbes, Le Léviathan, 1651 (extrait) Document n° 4. Rousseau, Du contrat social, 1762 (extraits) Document n° 5. Olivier Beaud, « Histoire. Fédération, l'Europe écrit ton nom », Libération, 25 janvier 1995, p. 6 (extraits) Document n° 6. « La loi NOTRe pour les collectivités territoriales définitivement adoptée

instituant l’Etat. L’Etat est une institution, le Léviathan est plutôt un automate (créature imaginaire) qu’un organisme. 3. L’auteur traite la nécessaire subordination du pouvoir ecclésiastique au pouvoir civil dans les deux dernières parties. Pufendorf reprocha à Hobbes de faire la théorie du despotisme (le souverain n’est pas lui-même engagé dans le contrat = définition du pouvoir absolu que de conditionner les lois sans être conditionné soi-même par aucune loi) et distingua le pacte d’association

Droit naturel moderne (Rousseau) : Le droit naturel moderne obéit à logique très différente. C’est une invention de la renaissance. Il est marqué par certaines idées qui viennent de là et qui ont pénétré la philosophie du droit au 16/17eme siècle. * Le rationalisme (Descartes) : la primauté de la raison * La laïcité : distinction société civile, État et Église. * Progrès  Les grands noms de l’époque : Grotius, Leibniz (le droit dans les maths), Pufendorf (un des inventeurs du droit

L’inaliénabilité de la liberté comme fondement du droit. Étude du Livre I, chapitre IV du Contrat Social de Jean-Jacques Rousseau Introduction Le Contrat Social de Rousseau, publié en 1762, s’interroge sur les conditions de possibilité d’établissement d’un pouvoir politique légitime, c’est-à-dire d’un pouvoir capable de garantir la liberté et l’égalité des citoyens. Il s’agit pour le philosophe de trouver le fondement logique d’une autorité capable de protéger le droit fondamental et

liberté et du droit dit «naturel» qui a animé les masses durant la révolution. Ainsi les concitoyens auraient un droit a contracter de manière libre, c’est à dire sans entrave. 
 Ainsi d’après le juriste et philosophe allemand du XVIIème siècle, Pufendorf, l’égalité supposée entre les hommes qui est ancrée, depuis la période révolutionnaire, dans les esprit «consiste en ce que tant qu’il n’est point encore intervenu d’acte humain ou de convention particulière entre les hommes personne n’a aucun pouvoir